Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Intéressant ensemble sur H. Farman.
FARMAN HenriIntéressant ensemble sur H. Farman.38 photographies ou cartes postales dont 18 sont signées par l’aviateur postérieurement. Les photographies représentent H. Farman dans les airs sur ses avions dans son voyage du 30 octobre 1908 du Camp de Châlons à Reims, en 17 minutes.On joint une pensée autographe signée sur l’aviation : « L’aéronautique : Une pensée française. H. Farman ». Très bon lot.
Photographie dédicacée
ZOLA ÉmilePhotographie dédicacée à Alfred Riot. Photographie Pierre Petit. Sans date ; 10,5 x 6 cm. Portrait le représentant de face dans un ovale, dédicacé : « À M. Alfred Riot, Émile Zola. »
Ensemble de 32 dessins réunis par Henri Corbière
FONDS HENRI CORBIÈREEnsemble de 32 dessins réunis par Henri Corbière, critique d’art, lors de ses enquêtes mondiales sur la peinture contemporaine. Chaque artiste a exécuté sur feuille in-4° le portrait d’Henri Corbière et parfois ajouté une maxime autographe signée. D’autres ont exécuté un dessin comme Geneviève Guénot qui représente un très joli bouquet de fleurs. Nous retrouvons les noms d’artistes : Jacques Levannier (2), André Moleux, Charles Legros, Ginette Signac, Imann Gigandet, Caro, Nicolas Schöffer, Kurt Van Strub, Eléonor King, Geneviève Guénot, Glazounov (2), Arnaud Denjoy, Costas Valsamis, Juan Alcalde, Filiberti, Shigeyasu Amano, Nicolas Manev, Jillali Gharbaoui, Ferdinand Kulmer, Line Couwenber, Sandor Antal, A Del Debbio, Georg W. Chaimouriez, J.J.J. Rigal, David Maccoby, F. de Hérain, M. Ozuki, Takeo Adachi, Li Wen Ts’ien, Paul Collomb. Très bel ensemble de dessins et d’artistes difficiles à réunir.
4 manuscrits musicaux autographes signés
JOLIVET André4 manuscrits musicaux autographes signés, Indicatifs, 1947-1960 ; 9, 11, 12 et 7 pages in-folios.Musiques inédites pour des indicatifs radiophoniques. — Littérature [K134 a et b], 1947 : 2 indicatifs de début et de fin pour trompette, piano et cordes ; et 18 interventions musicales pour piano, célesta, vibraphone et xylophone ; cachets de dépôt à la SACEM, le 19 janvier 1948. — Frères de sang (Romans jeunesse) [K135, 1947], indicatif pour piccolo, flûte, hautbois, cor anglais, 2 clarinettes, 2 bassons, 2 cors, 3 trompettes, 2 trombones, 2 percussions, et cordes ; cachets de dépôt à la SACEM, le 19 janvier 1948. — Indicatifs pour les émissions de la Comédie-Française [K156], 1950, indicatifs, ponctuations et fonds sonores (9 numéros), pour hautbois, cor anglais, 2 trompettes, vibraphone, célesta, harpe, percussions, et cordes ; cachets de dépôt à la SACEM, le 24 octobre 1950 ; la musique est inspirée du Menuet du Bourgeois gentilhomme. — Indicatifs RTF [K226], 1960 ; 8 numéros pour 3 trompettes, 3 trombones, et 2 percussions ; cachets de dépôt à la SACEM, le 16 janvier 1961.On joint une esquisse à l’encre pour un indicatif radio ; une note autographe sur les « Indicatifs retenus » ; un dossier d’esquisses et brouillons, 18 feuillets principalement au crayon.
Pièce signée
GAINSBOURG SergePièce signée. Paris 30 novembre 1984 ; 1/2 page in-4°. Autorisation manuscrite signée par le chanteur pour diffuser « Love on the beat ».Love on the beat est le seizième album studio de Serge Gainsbourg sorti en 1984, chez Philips. Gainsbourg s’y donne une liberté totale sur le choix de ses thèmes et la crudité de ses paroles. Si l’album choque il ne subira aucune censure. Gainsbourg le chante en live au Casino de Paris en 1985.
Réunion de deux dessins originaux, encre et lavis, signés
TRÉMOIS Pierre-YvesRéunion de 2 dessins originaux, encre et lavis, signés. Sur une double page in-folio (660 x 440 mm). Escargot et portrait signé de Jean Rostand en « grenouille ». Superbe pièce.
Lettre autographe signée
RAVEL MauriceLettre autographe signée, adressée à sa marraine de guerre, Mme Fernand Dreyfus. 17 mars 1916 ; 4 pages in-12 au crayon violet. Ravel est alors conducteur aux convois automobiles. Parti de Viroflay, il n’a pas eu beaucoup de temps pour écrire, « il faut que mes amis le comprennent, m’excusent et m’écrivent le plus souvent possible. Sans ça, c’est le cafard ». Il raconte son voyage qui fut affreux : arrivé sous la menace des zeppelins, il a passé une troisième nuit blanche à monter la garde et a été de corvée le lendemain. Le camion qui lui a été confié a révélé une avarie technique et le voilà donc indisponible : « en perspective corvées, garde ». Le quartier est consigné, l’ordinaire n’est pas mauvais mais « on touche le pinard assez rarement. On est couché horriblement ». Belle lettre.
Lettre autographe signée
RAVEL MauriceLettre autographe signée, adressée à sa marraine de guerre, Mme Fernand Dreyfus. 24 mars 1916 ; 3 pages in-12 au crayon violet. Ravel est alors conducteur aux convois automobiles. Il s’excuse du griffonage et raconte qu’il a pour écritoire le volant d’une « charmante camionnette Panhard avec laquelle, pour le moment, je vais du parc à la gare ». Il doit faire avec le même véhicule le service postal mais « avec casque et masques indispensables ». Il reprend sa lettre le lendemain, au retour d’une course faite à vingt-cinq kilomètres dont il est rentré transi après avoir crevé. « J’attends avec une reconnaissante inquiétude la bouillabaisse et le homard. Un camarade m’a moitié rassuré en m’apprenant que c’étaient des manières de conserve. »
Lettres autographes signées
STEINLEN Théophile-AlexandreCorrespondance de 27 lettres autographes signées, adressées à Théo Jungers (peintre animalier). De 1912 à 1923 ; formats in-8° principalement. On joint un dessin à l’encre et au lavis représentant le mont du Golgotha avec les trois croix? (31 x 20 cm).« La pendeloque provient bien d’une parure de la marraine. Inutile de l’envoyer, vous la rapporterez quelque jour en nous venant voir ici — ou bien à l’atelier. » ; « Je ne réponds que de façon bien écourtée à votre bonne lettre de la semaine dernière — c’est bigrement intéressant, il semble, l’affaire de Chevreuse — n’est-ce pas là le moyen d’arranger celle du petit Jean ? » ; « Me voici du coup et du haut parfaitement édenté — ça me fait joli garçon […] À dimanche, n’est-ce pas, la patronne y compte (moi saucisse) » ; « Vous avez sans doute, vous ou le Frère Max, la mémoire assez bonne et précise pour avoir retenu le nom du fabricant de papier, à tout hasard et pour plus de sûreté, je vous envoie le bout de papier qui est resté en panne dans le désordre de ma table. » ; « Sans le soleil, qui est radieux, ce serait peu folâtre, nous avons vu l’exposition. » ; « Nous voici donc installés dans une petite pension, hôtel à 1/4 d’heure de Toulon, face à la mer. » ; « Jean, avec son enthousiasme habituel est persuadé que le pays est fait pour vous plaire et que si on vous y trouvait une maison à acheter, vous vous jetteriez dessus, comme le vautour sur sa proie. » ; « Journeaux m’a dit que vous aviez dû, l’autre jour, passer voir si j’y étais, et je n’y étais pas (en ballade avec Massa) » ; « Je suis en ce moment, totalement dépourvu de dessins de chats. » ; « Nous n’avons pris aucune décision encore au sujet d’un exode aux champs, à la montage, à la mer ? » ; « Sera-ce sans façon ou doit-on faire un brin de toilette ? » ; « Ça a bardé salement vendredi, tout près de chez vous ! Je ne veux pas douter que ne soyez tous trois sains et saufs. » ; « Vous avez bigrement bien fait d’éloigner du danger Madame et Mademoiselle et d’essayer vous-même de prendre un peu de repos. » ; « Mes jours sont en tranches de saucisson, jamais savoir où on en sera, ce qu’on fera demain — pas drôle. » ; « Un petit bonjour de Bruxelles. » ; « Hier Hellen que j’ai vu ainsi que la dame dont je vous ai lu la lettre sont d’avis que je lâche pas le morceau malgré tout le mérite de l’autre. » ; « Malgré les coins où semble-t-il il ferait sûrement bon vivre que nous avons vus hier entre St Raphaël et Toulon. » ; « En train en approchant de Paris ! Dame ; ça fait pas une belle écriture, les cahots... » ; « Ma fille et moi vous sommes tout reconnaissant du traitement amical que vous voulez bien appliquer à notre vieil invalide. » ; « Je n’ai, cette semaine ni vu M. Fraysse ni rien vu au sujet de la maison, nous ne perdons rien pour attendre. » ; « Depuis mon retour, je suis tombé dans tel fourbi de courses et démarches que... » ; « Entré dans une de mes sales périodes — j’y suis en plein — je ne suis propre ni bon à rien. C’est la sale neurasthénie... » ; « Si vous n’avez encore fait emplette de Suzanne et le Pacifique, je l’ai sous la main et puis vous le prêter. » ; «Mais oui, cher ami Jungers, bien souvent j’ai pensé à vous, à votre charmante famille, au jeune artilleur. » ; « Je serais heureux de vous voir, votre ami Besson et vous et vous demandais de choisir vous même le jour de votre visite de me prévenir et que je me ferais un plaisir de vous attendre. »On joint 2 lettres autographes signées de Massa.
Ensemble de lettres autographes signées
GIONO JeanEnsemble de 15 lettres autographes signées, adressées à la Société des auteurs et compositeurs. 1950-1967 ; Sur papiers in-4° ou in-8°. Lettres en rapport à des autorisations ou paiements de droits pour l’exploitation de ses œuvres. Il autorise notamment Radio Lille à diffuser Lanceurs de graines (1950). Demande de paiement par Noël Vincent des droits à la suite de sa 70e représentation en tournée du Bout de la Route (1950) ; sur les droits d’Un roi, diffusé sur Radio Monte Carlo (1952) ; demande du montant de son compte « avec le détail des droits payés pour ces autorisations » (1957) ; « La R.T.F. vous a-t-elle réglé la seconde émission de Domitien ? Si oui, voulez-vous me faire adresser le crédit de mon compte » (1958) ; etc. Correspondance inédite.
Lettre autographe, signée « P.Verlaine »
VERLAINE PaulLettre autographe, signée « P.Verlaine ». Paris 6 juillet 88 ; 1 page in-8° oblongue. « Je vais écrire à Savine pour quelque avance et j’ai comminatoirement écrit à ma canaille de notaire : j’espère en ces démarches et c’est ce qui m’enhardit à vous rappeler votre bonne promesse de me prêter quelque argent le plus tôt possible par mandat puisque des démarches affreuses me font promener dans ce Paris horrible, mes pauvres pattes ! Votre tout dévoué et bien sympathique P. Verlaine. »
Manuscrit musical autographe signé
AUBER Daniel François EspritManuscrit musical autographe signé. Paris, 8 septembre 1851 ; 2 pages in-folio oblongues avec un joli encadrement doré. Beau manuscrit d’une mélodie (chant et piano) intitulée « Paisible bois, Andante » (40 mesures), et dédiée « À Mademoiselle Palmyre » : la chanteuse Palmyre Wertheimber. Sur la page 3, figure un manuscrit musical autographe signé d’Ignaz MOSCHELES [1794-1870], 10 mesures Allegretto grazioso pour piano, avec dédicace : « À Mademoiselle Wertheimber. Fragment d’une étude Conte enfantin œuv. 95 », daté Paris, 28 juillet 1860. Très jolie pièce.
Pièce autographe. Longwood [vers 1817-1818 ?]
BERTRAND Henri-Gatien, comtePièce autographe. Longwood [vers 1817-1818 ?] ; 1 page et demie in-folio (découpure à un coin) ; portrait gravé joint. Note remise à quelqu'un qui quitte Sainte-Hélène, le chargeant de commissions et démarches à Londres auprès de certaines personnes : Lady JERNINGHAM (« a-t-elle reçu la lettre que le gal lui a écrit en quittant l'Angleterre. S'il écrit rarement cela tient aux circonstances. L'envoi d'une bonne très important »), Lady BATHURST, Lady HOLLAND, Mme SKELTON, Lord RUSSELL, Capitaine HAMILTON, Mme DILLON, Mme de LIEDEKERKE, « nièce de la Csse Bertrand ». Liste d'« Emplettes pour la Csse Bertrand » (chapeau de paille, dentelles) et pour les enfants (souliers pour Napoléon, Hortense et Henri, bonnets et « frocks » pour Arthur).
Pièce autographe signée
TRENET CharlesPièce autographe signée avec dessins autographes. 2 pages in-4°, recto - verso sur son papier à son adresse. Projets de pochettes de disques :— Projet de pochette de disque pour sa chanson L’Ami des lendemains paru en 1989. Il y a dessiné son portrait et indique les polices à utiliser.— Au dos : Il figure un dessin le représentant aux cotés de Jacques Higelin, avec en dessous sa signature « Charles Trenet Tombé du ciel ! 1947 ! ».
Manuscrit autographe signé
GLEIZES AlbertManuscrit autographe signé « La tradition active de l’Orient et de l’Occident ». Saint-Rémy-de-Provence, avril 1946 ; 10 pages 1/2 in-folio. Intéressant manuscrit concernant l’oeuvre d’ Ananda K. Coomaraswamy. Comparaison entre le bouddhisme et la religion chrétienne.