Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Lettre autographe signée
ENTRECASTEAUX Antoine-Raymond-Joseph de Bruni, chevalier d’Lettre autographe signée, adressée aux négociants Roux frères à Marseille. Toulon, 8 janvier 1781 ; 2 pages in-4°. « La petite revue, messieurs mes chers cousins, que j’ai faite de mes fonds ne me permet que de payer le billet de 711 #, et je vous prie de vouloir bien avoir la bonté de comprendre cette somme dans celle que je vous reste devoir et dont vous voudrés bien avoir la complaisance de m’envoyer le compte quand vous en aurez le loisir ; je vous prierai de mettre par apostille ce que je vous devois avant que vous eussiez eu la bonté de me faire prêter de nouveaux fonds pour cette derniere campagne ; c’est a dire ce que je vous devais au commencement de 1779 ; je n’ai pas d’autre maniere, vu mon grand amenagement, de savoir si j’ai plus ou moins dépensé dans cette campagne que dans la precedente. Je serai tenté, messieurs mes chers cousins, de vous gronder des détails. Permettez-moi de vous le dire, bien inutiles dans lesquels vous avez pris la peine d’entrer. Je suis tres aise de savoir que c’est du même sac que manquait cet argent, par ce que je conçois tres bien que mon laquais a puisé dans un de ces sacs confondus avec celui qui etait destiné à ma depense, mais j’aurais regardé comme suspect qu’il mets manque un peu dans chaque sac. Tout le convoi est arrivé à bon port ; il faut convenir que la place de Marseille fait un immense commerce dans le Levant, et qu’il s’y fait avec bien de la sûreté. Si celui des isles avait été aussi protégé, ainsi qu’il avait pu et du l’être le commerce général du royaume ne se serait presque pas ressenti des accidents de la guerre. […] Recevez, Messieurs mes chers cousins, les assurances du […] très tendre attachement avec lequel j’ai l’honneur d’etre votre tres humble et obeissant serviteur. Bruny d’Entrecasteaux. Le 28 janvier 1781. »
Lettre autographe signée
RAIMU (Jules Muraire, dit)Lettre autographe signée, adressée à Henri Alibert. Bandol, dimanche ; 2 pages in-4°. Les lettres de Raimu sont rares.« Mon cher Alibert. Ce mot que j’espère tu vas recevoir avant ton départ. Après mure réflexion, Marius va te faire faire de très gros frais.1° Il faut que tu redemande le décor à Volterra car le tiens pouvais servir pour Fanny Mais il est impossible pour Marius. Il n’est pas à l’échelle, il faudrait en refaire la moitié, il faut faire des portes en bois et dans ce décor en toile légère elles ne tiendront pas. La porte est trop grande, il faut la refaire en entier - il n’y a pas de fermeture en dehors. De plus, jamais Demazis en admettant qu’elle veuille bien jouer César et pas Marius pour un un mois de répétitions, elle va te demander un gros cachet. Et ça il faut un mois de répétition avec tous les artistes, c’est une création donc réfléchi à tout cela. Tandis qu’une reprise de Fanny avec une semaine de répétition nous étions prêts et pas de décor à louer ou à refaire. J’aurais bien voulu te parler de tout cela comme à Cannes, mais devant Pagnol cela aurait pu démolir la suite. Si tu n’as pas donné la signature à Pascal réfléchis et trouve un biais biaise biaise.Hubert me donnera ta décision. A toi, Raimu. »
Lettre autographe signée
COLETTE (Sidonie Gabrielle Colette, dite)Lettre autographe signée, adressée à « Mon petit Léo » [Léopold Marchand, l’adaptateur de Chéri et La Vagabonde]. Sans date ; 3 pages in-4°, sur papier bleu avec en-tête « La Treille Muscate ». Belle lettre : « Je souhaite mon petit Léo que ce billet ne te trouve pas à Paris. Un voisin de campagne, arrivé hier soir, dit que le temps de Paris défie toute la grandiloquence des journalistes. Germaine Patat m’écrit qu’elle s’en va, malade, sur une plage du Nord. Nous autres, nous ignorons ces misères, naturellement, sauf les heures où on s’enferme de 2 h à 5 h 1/2 environ. Le voisin arrivé hier veut bien déjeuner sur sa terrasse aujourd’hui, mais il réclame un pull-over. Je te souhaite du repos et des monstres marins. Je pense que Ma-Misz a appris l’heureuse délivrance, il y a 8 ou 10 jours de Mme Daniel Dreyfus. C’est un garçon énorme, qui pesait neuf livres, et qui s’appelle Denis. Nous l’avons su le jour même par une dépêche du père enivré. Tu vois que nous n’avons pas grand-chose à te dire. […] “Ah ! ... qui me donnera, comme à la colombe un bésigue ailé, dans le soir qui tombe...” C’est dans Salammbô (celui de Reyer). Figurez-vous, mes enfants chéris, que Maurice a cessé de fumer. Ça ne remonte pas, comme il est dit dans le Petit café, à Pépin le Bref et Charlemagne. Son abstention date de huit jours. Mais il est en proie à des phénomènes de désintoxication, qui me feraient pitié si ce n’étaient pas des phénomènes de désintoxication. J’ignore Saint-Tropez, c’est horrible. Il paraît que les commerçants ouvrent à 7 h du matin et ne ferment (je parle des épiceries, parfumeries et objets d’arts, et non des “boîtes”) que quand il n’y a plus de clients. « Je vends du thon à l’huile, du jambon et des nouilles à 11 heures du soir » me confie l’épicière. Ma fille, dans sa villa phalanstère, fait la cuisine. De temps en temps, elle vient avec un panier, le remplit chez moi d’oignons, de pommes de terre et autres denrées, et s’en va comme une pie qui a volé une cuiller à café. »
Lettre autographe signée
KIPLING RudyardLettre autographe signée, adressée à Maurice Guyot. Paris, le 16 janvier 1924 ; 2 pages in-8°, en anglais, enveloppe timbrée jointe.« Dear Monsieur GuyotWhen you first conveyed to me the news of your wife death, I wrote you a letter which - after all - I did not send because it seemed to me too intimate an intrusion on your sorrow. A sorrow that, one knew well, one worse from any stranger or friend, could alleviate. I do not myself, think that even time and the passing of life does much to hunt that grief. One can only sympathize smartely from a distance ! I have not yet received any official intimation from the director of the Information universitaire but I will do my best to meet his news. Thank you for the University bulletin which in my capacity of Rector of the University »…
Lettre autographe signée
PROUT SamuelLettre autographe signée « S. Prout », adressée à M. J. Henderson. Sans date ; 4 pages in-8°, en anglais, traduction tapuscrite jointe. Prout se lamente de la mort d’un ami. « My aversion to letter-writing is unpardonable — and as always —. I must begin with an apology. […] Last week my valued medical friend Doc. Young, whom you met in my room — universally beloved and respected, fell victim to this fearful epidemic in its most fearful asiatic form. This morn’g I was one of the mourners to have the poor body in the tomb, ‘til we meet at the fathering of countless multitudes at the final judgment and solemn crisis. Seldom has there been such a procession of mourners followed by 15 carriages of the respect entertained for the deceased. Every house on Denmark Hill and every shop in the village was closed […] This is a sad gap in our little circle. He had collected with good taste, an extensive number of most valuable draw’gs by the old masters, also rare prints — pictures, bronzes, etc. […] Like yourself he collected treasures of art, with the desire and always ready to contribute to the enjoyment of others […]. Your new Guardi I have not see, and woe is me that a dog at my heels has prevented my seeing your valuables. I may only dream the enjoyment you offer, and indulge imagination. »
Récit de ses obsèques
Les obsèques de ROUGET DE LISLELettre autographe signée, adressée à son neveu Charles Le Forestier à Nancy. Choisy 29 juin 1836 ; 3 pages 1/2 in-4°, adresse.PRÉCIEUX TÉMOIGNAGE SUR LA MORT ET LES OBSÈQUES DE ROUGET DE LISLE À CHOISY-LE-ROI, CHEZ LES VOÏART.L’état de Rouget de Lisle avait gravement empiré le 25, « par la décroissance rapide des facultés morales et des forces physiques de notre pauvre malade », puis il perdit connaissance. « Il ne reconnut plus personne, il ferma les yeux, sa respiration s’accéléra, son agonie commença et à minuit du 26 au 27, il rendit le d[erni]er soupir. »… Voïart fait ensuite le récit des obsèques : « Un détachement de la Garde Nationale commandé par un officier escorta le convoy, une couronne de fleurs blanches et de laurier, son épée, sa croix d’honneur fixée sur son cercueil par des crêpes exprimaient les titres du défunt aux regrets de ses contemporains. […] Un jeune ouvrier de la Maroquinerie apporta un faisceau de fleurs d’immortelles qu’il distribua par bouquets à tous les assistants et à la Garde Nationale qui les mit au bout de son fusil. » Après le discours du général Blein, « nous entendîmes entonner La Marseillaise par les mêmes jeunes ouvriers qui avaient distribué les immortelles et par la Garde nationale. » Élisa Voïart, son épouse, ajoute quelques mots.
Lettre autographe signée
BRASILLACH RobertLettre autographe signée, adressée à une femme. Paris, 20 septembre 1941, 1 page 1/2 in-4°. Il répond à une épouse de prisonnier: « Vous semblez croire que j’étais avec lui en captivité. C’est une erreur. J’avais quitté Ingwiller en avril 1940 pour l’état-major de la 3e armée. Nous avons suivi ensuite le sort de nos camarades respectifs, et je n’ai pas eu le plaisir de le revoir. J’étais, moi, en Alsace du Sud d’abord, puis en Westphalie. J’ai eu la chance de pouvoir rentrer, grâce aux efforts de mes amis (réclamé par le gouvernement français dès juillet 1940 !), après neuf mois de captivité, en avril 1941. Hélas je ne puis pas grand-chose de direct pour mes camarades prisonniers, je vous le dis franchement. Je vous demanderais toutefois de me donner le numéro, et l’adresse de votre mari, et un motif de libération, au cas où une occasion se présenterait. Mais, à mon avis, pour lui, le meilleur système reste la raison sanitaire. Il faudrait faire faire des certificats médicaux (vous lui en enverrez un double épinglé à une lettre réglementaire) attestant qu’il a eu une maladie antérieure à la guerre. Vous adresserez le dernier à la Croix-Rouge, soit à Genève, soit à ses représentant dans la France du Nord. J’ai vu plusieurs camarades revenir avec ce motif. […] Les médecins allemands sont très libéraux. Dites-moi néanmoins quels sont les motifs que vous avez mis en avant pour vos démarches (car, en principe, le motif professionnel me semble un peu difficile à alléguer). » Il lui confie les conditions de sa captivité : « Nous avons été chauffés l’hiver dernier bien mieux qu’à Paris, et si la vie de l’officier captif est terriblement ennuyeuse, et moralement pénible, elle est fort supportable matériellement. » Il fera tout ce qui est possible pour son mari et surtout qu’elle ne se décourage pas.
Carte autographe signée
MIRÓ JoanCarte postale autographe signée, probablement adressée à H. Matarasso. Palma, 14 octobre 1960 ; 1 page in-12 oblongue.« Cher ami, je viens de rentrer de Montroig pour me remettre au travail. Je suis très content que vous ayez pu récupérer ces vieux dessins qui ont pour moi une grande valeur humaine. Bravo ! Pour vous et pour votre femme, nos plus affectueuses pensées, Mirò »
Lettre autographe signée
LOTI Pierre (Julien Viaud, dit)Lettre autographe signée, adressée à un ami. Sans date [mai 1883]; 3 pages in-12. Très belle lettre de Loti avant son départ à bord du cuirassier L’Atalante, pour la campagne du Tonkin sous les ordres de l’amiral Courbet.« Je vous écris de Brest, du Parisien, le café légendaire des officiers de marine. Nous sommes là un groupe, tous ceux de L’Atalante, bien des inconnus les uns pour les autres, appelés par notre destinée à vivre dans une promiscuité continuelle, pendant longtemps sans doute, — nous dévisageant, ébauchant pour faire une espèce d’intimité. On nous appelle les Tonkinois et une foule de camarades viennent nous voir parce que nous allons partir... J’entrevois avec une tristesse étrange, une espèce d’horreur, ce Tonkin, ce pays jaune où le sort m’envoie. J’ai le cœur affreusement serré de ce départ inattendu, de tout ce que je laisse derrière moi et que je ne retrouverai peut-être plus, amis, famille, amour... Le lendemain de ma dernière lettre à vous, j’ai reçu cet ordre impossible à prévoir, et je suis parti, sans délai, laissant brusquement tout ; on nous presse et nous allons bientôt prendre la mer... Envoyez-moi un mot d’adieu ; voulez-vous, j’y tiendrais bien ; en me répondant vite, vite, cela arriverait encore. Adressez à Brest, à bord de L’Atalante. Nous ne partons que dimanche. »
Lettre autographe signée
MUCHA AlphonseLettre autographe signée. « Rue de la Grande Chaumière 13. Lundi » ; 1 page in-8°. « Je suis désolée de ne pas avoir pu venir saluer hier Monsieur et Madame Manuel. Quel mauvaise infortune. Justement la semaine passée je change d’adresse en déménageant ure de la grande chaumière, en face de mon atelier et c’est pour cela, que la carte ne m’est parvenue qu’aujourd’hui. Comment réparer ma grande faute ? Peut-être dimanche prochain — serai-je importun ? Je pourrai apporter quelques dessins? Toujours à votre service, votre disposition, c’est mon plaisir. »
Lettre autographe signée
CHARPENTIER FrançoisLettre autographe signée (minute avec ratures et corrections), adressée à « Monseigneur ». 30 décembre 1667 ; 3 pages in-4° (rousseurs). Belle lettre sur le catalogue des villes prises par Louis XIV en vue d’une galerie des batailles.« Avant que de vous renvoyer le catalogue des prises de villes et des batailles arrivées sous le règne de Sa Majesté, je l’ay non seulement examiné en mon particulier avec le plus de soin qu’il ma esté possible, mais mesmes j’en ay pris l’avis de quelques personnes fort informées de nostre histoire, et sur tous, des Messieurs qui composent nostre Assemblée [...] J’ay trouvé que le nombre de 53 ou 54 tableaux que vous avez desirez, envelope tout ce qui est de plus remarquable depuis l’avenement de Sa Mté a la Couronne. Car en 1648 que les troubles de la France commencerent jusqu’en 1654, il sest fait peu de choses hors du Royaume, et je nay pas creu qu’on deust marquer les succez des armes du Roy dans ses propres Estats, pour ne point perpetuer la memoire de nos désordres. Depuis 1654 jusques en 58 que l’on commença a parler de la Paix, il sest fait veritablement plusieurs actions considerables, mais il y a eu beaucoup de reprises de villes que les ennemis nous avoient enlevées devant nos troubles, et on ne peut mettre deux fois les tableaux de ces places dans une galerie ou la diversité des peintures fait le principal ornement. »Ancienne collection Jean Hanoteau.
Ensemble de manuscrits musicaux autographes signés
WYLD AlfredoEnsemble de manuscrits musicaux autographes signés :— « Danse chinoise ». Manuscrits autographes, signés en tête, avec cachet de l’auteur. Ensemble de 8 pages in-folio.— « Danse Orientale ». Manuscrit autographe, signé en tête, avec cachet de l’auteur. Ensemble de 4 pages in-folio.— « Méditations ». Manuscrit autographe, signé en tête, avec cachet de l’auteur et de la Société des Auteurs Compositeurs (1938). 6 pages in-folio.— « Rag-Time ». Manuscrit autographe, signé en tête, avec cachet de l’auteur et de la Société des Auteurs Compositeurs (1937). Daté de 1910 ; 4 pages in-folio.— « Toccata ». Manuscrit autographe, signé en tête, avec cachet de la Société des Auteurs Compositeurs (1936). 4 pages in-folio, effrangées.— « Zapateado ». Manuscrit autographe, signé en tête, avec cachet de l’auteur et de la Société des Auteurs Compositeurs (1937). 5 pages in-folio plus la page de titre.— « Bajo la mantilla blanca, danse espagnole ». Manuscrit autographe, signé en tête, avec cachet de l’auteur et de la Société des Auteurs Compositeurs (1937). 7 pages in-folio.— « Paso doble ». Manuscrit autographe, signé en tête et à la fin, avec cachet de la Société des Auteurs compositeurs (1937). 4 pages in-folio.— « Fête villageoise — Piano seul ». Manuscrit autographe, signé en tête, avec cachet de la Société des Auteurs Compositeurs (1938). 8 pages in-folio plus la page de titre.— « Fête des fous - Piano seul ». Manuscrit autographe, signé en tête, avec cachet de l’auteur et de la Société des Auteurs compositeurs (1938). Ensemble de 8 pages in-folio plus la page de titre.— « Les Gitanes ». Suite orientale. 7 pages 1/2 in-folio. On joint un manuscrit (sans doute une copie pour La danse orientale).Belle et rare réunion.
Lettre autographe signée
NUNGESSER CharlesLettre autographe signée, adressée à sa mère. Tucuman, 15 février 1913 ; 8 pages in-8°.« Chère Maman, Depuis trois semaines, aucune nouvelle de France et aujourd’hui, tout d’un coup, trois lettres, deux de toi et une de Robert. Tu me dis que tu as fait toutes les banques, mais n’importe quelle banque te paieras toujours un billet argentin au moins 108 piastres. Je t’en envoie encore un dans cette lettre. Va à la Banque de France ou comme tu voudras, à la banque Victor, en face de la gare. […] Pour mon service militaire je demande aujourd’hui même un sursis d’un an afin d'être tranquille et de ne pas avoir d’ennuis. […] J’espère que tu es en bonne santé et que tu commences à te faire moins de bile qu’avant. Tous les mois, à partir de maintenant, je t’enverrais 50 piastres, soit 108 francs, tous les mois. […] Je pense à toi autant que tu penses à moi et je voudrais déjà pouvoir aller t’embrasser. […] Ce pauvre Robert est assez mal parti à Valenciennes d’après ce que je vois. Connais-tu la jeune fille dont il veut faire sa femme ? Qui est-elle ? […] J’ai revu toute la famille Hautcoeur à Tucuman le jour de l’arrivée de Pierre. J’ai été le chercher en automobile à la station. Il est grandi, grossi, méconnaissable. Il a été très gentil. Nous avons passé une bonne journée ensemble, je t’assure. Mon oncle a payé le champagne et m’a invité à aller à Rio Colorado. J’ai fait la bête et j'y suis allé. […] Jusque maintenant, aucune lettre de Louis, d’ailleurs, je crois comprendre que les Hautcoeur et les Barbieux sont brouillés. Bref, moi, pour le moment, je m’occupe de me faire une situation en dehors de mon travail d’automobile ».
Ensemble de 13 documents (6 photographies légendées ou signées par lui, 3 lettres autographes signées, 4 lettres signées)
NOBILE UmbertoEnsemble de 13 documents (6 photographies légendées ou signées par lui, 3 lettres autographes signées, 4 lettres signées), adressés au docteur Fernand Fossier. — 7 lettres : de 1968 à 1975, adressées au docteur Fernand Fossier. Il est question de son dirigeable Norge, de Charcot, de son ouvrage « Le Français au Pôle Sud », de l’envoi des photographies ci-dessous, de Voisin « qui était un héros de ma jeunesse », de P. Bellemare dont il est mécontent, d’un neveu qui s’appelle comme lui et qui est médecin, de l’avenir des dirigeables.— 6 photographies : Sa chienne la fameuse Titina qui a vécu lors de son atterrissage forcé sur le pôle sous la tente rouge ; cliché le représentant avec sa fille, Maria (1926) ; cliché le représentant avec sa fille, Maria (1968), signée ; 3 photographies anciennes représentant le dirigeable Norge en vol sur la campagne romaine, l’une d’elle est signée.On joint une carte de remerciements de sa femme, Gertrude, pour un foulard.
Lettre autographe signée
JAMES HenryLettre autographe signée, adressée à Mlle Souvestre. « November 4th »; 16 pages in-12. Sur papier à en-tête du « 34, de Vere-Gardens » (Kensington, Londres). « Dear Mademoiselle […]. I have come back from the country without having written to you again, but I will not come another hour. I took a chill while away which give me a violent cold so that I felt quite too little inactive of any faculties to hold epistolary ... with a lady of your formidable nation ! I will writing these next days, …………… to two friends of mine, one in New York and one in Washington, ………… M. Ribot, so that we will be so good as to call after ... they will be …… prepare to give him a friendly welcome of propose ……… rather than reasons .... impact to you ............ that I have for a long time part found myself forced to observe very religiously ……………………… of not going direct introductions in America to any person with ………… I have not direct personal acquaintance (buy) constant abscence from my owne country has …………… very much the intuinacy of any social relations …… …… it is a simple fact that will ………………… in the americans cities few persons (whose acquaintance would be worth a visitor sanking with whose I am in such terms as to make it all geither confortable to a stranger however