Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Photographie autographe signée, dédicacée
SAINT-EXUPÉRY Antoine dePhotographie autographe signée, dédicacée à Emile Lassalle. [Vers 1938] ; 146 X 110 mm. Antoine de Saint-Exupéry, en compagnie de son mécanicien André Prévot posent devant un avion, en janvier 1938. « Pour Monsieur Emile Lassalle, en très amical souvenir A.de Saint Exupéry ». Photographie Mondial Photo Presse (cachet au dos).Les photographies dédicacées de Saint-Exupéry sont d’une grande rareté.
Manuscrit autographe
HUGO VictorManuscrit autographe de son Journal. 2 pages in-folio sur papier vergé. 23 février - 6 mars [1881]. Victor Hugo - Choses Vues. Tome Il. Rares et émouvantes pages du journal intime du grand homme, la semaine de son entrée dans sa quatre-vingtième année, au sein desquelles Hugo note le détail de ses activités : Sénat, théâtre, réceptions ... la fête et le retentissement mondial de son anniversaire ... l'attention portée à ses proches, ses petits-enfants et Juliette Drouet. « 12 août. Promenade (Bois de B. 2 h) 6 f Un nouvel abcès s'est déclaré chez Alice. Elle souffre beaucoup. J'espère dans l'opération, mais c'est long et douloureux. [ ] chez MM Maynard 13. Alice va un peu mieux Maison 200 Promenade (b. de B. 2 h) 6 14. Alice va mieux. Les enfants sont rentrés. 15. Maison 200 Blanchissage 34 - 10 Promenade (2 h) 6 16. Fête de la naissance de mon Georges Georges 20 Jeanne 10 (Le 29 septembre, pour la fête de Jeanne, ce sera retourné) Petite fête d'enfants. [ la fille ? ] Guillaumet. Mme et Mlle Maynard. Mlle Juliette Maynard Mme Alice est malade. Grave ombre. Promenade Le gaz du mois 56 - 80 17. Maison 200 Promenade (b. de B. 2 h) 6 18. Hier on a empêché Gambette de parler, aujourd'hui, c'est Lockroy. Promenade (b. de B. 2 h) 6 Retour des enfants. Ils dînent à table. 19. Alice va mieux. Maison 200 Mme Doriant (Charles) est venue nous prendre dans la voiture. Promenade (bois de Boulogne et Paris) 2 h. J'ai donné au cocher 5 20. + 20 21. Maison 200 Promenade (b.de B. 1 h) 3 Avant la promenade je suis allé voter. (Marmottan. Lesclide m'accompagnait. Rue de Longchamp école laïque des filles) 22. Les élections sont bonnes. 23. Maison 200 Promenade. Mme Dorian en tenue à 4 h 1/2 bois de Boulogne Paris jusqu'à 6 1/2 Nous rentrons dîner avec elle et ses deux filles, [Mila et Stora ? ] 24. Promenade (b. de B. 2 h) 6 25. Maison 200 [montant surchargé par la ligne suivante] 26. Promenade (Mme Dorian) Dora dans Paris. On voudrait aller à Vincennes. 4 h 1/2. 6 1/2 Les enfants ont été au jardin d'acclimatation. ils ont acheté deux tourterelles et un chat. Les tourterelles 8 fr chaque, le chat 20. Le chat à la maison a fait caca dans le lit de Jeanne. 27. Maison 200 Promenade (bois de B. 2 h de 4 1/2 à 6 1/2) 6 28. J'écris à la Banque nationale belge une lettre et la co-signature de Mme Drouet pour les 670 actions. 29. Maison 200 Chez Rothschild. puis promenade (dans Paris. 3 h [passage non déchiffré] 8 f 30. Une comète a reparu 31. Maison 200 Nous sommes allés hier soir à l'Hippodrome avec nos deux petits-fils puis Mme Dorian et ses deux filles. dépenses 40 1er septembre. « Nuit singulière. J'ai dormi, car j'ai eu un cauchemar étrange. J'ai traversé deux régions : dans l'une, qui était de l'eau, ma chair se changeait en airain ; dans l'autre qui était du feu, je devenais lumière. Je me croyais mort réveillé, j'ai été stupéfait. + 20 Hier une heure au bois 3 Gages. 205 J'ai quitté aujourd'hui le paletot d'alpaga. la gazette de Guernesey Hier, touché de Lemerre 1000 f J'ai arrangé cette nuit la petite chanson Turlurette. 2. Maison 200 3. Nous sommes allés porter chez Rothschild, puis pour la Banque nationale de Belgique. Les procurations que Rouillon a renvoyées, puis promenade 6 4. Maison 200 Promenade (2 h au bois) 6 40 5. Touché de mes trois éditeurs 3000 6. Maison 200 Vin (traite Rouselle 1170 70 Eau (la ville. 2e semestre de 1881) 240 28 Promenade (Mme Doriant, toute sa famille. Son mari conduisait. St-Cloud) [ ] du chemin de fer à (2 h) Charenton, grand incendie. Rue du Port-Mahon 8. J'envoie à Julie en un bon de 305 f les 303 f qu'elle demande pour septembre et octobre. Reçu de M. Pirson, gouverneur de la Banque nationale de Belgique, le certificat de mes 670 actions. Maison 200 Julie va partir un mois chez Mme De La Roncière. 9. J'ai été chez Rothschild [ ] certificat puis nous avons [ ] une promenade. (2 heures) 6 » On note dans le coin inférieur droit de la première page, une très nette empreinte digitale, probablement celle du poète lui-même. Ce document est accompagné d'un certificat de libre circulation.
Danseuse debout. Sanguine sur papier.
DERAIN AndréDanseuse debout.Sanguine sur papier.Signée en bas à droite.61 x 46 cm.Sanguine on paper.Signed lower right.Provenance: collection privée.(Anciennes étiquettes de provenance et d’exposition au dos)
Photographie dédicacée
ABD EL-KADERPhotographie dédicacée. 90 X 55 mm dans un feuillet cartonné de 240 x 189 mm.Rare portrait photographique ancien le représentant, tirage sépia monté sur carton avec dédicace autographe signée. Texte en arabe avec traduction en français par l’interprète de l’émir, N. Siouffi.« Les hommes sont la famille de Dieu, celui que Dieu aime le plus c’est celui qui leur est le plus utile. Au milieu de Rabbi-Esvel 1282. l’Emir Abd-el-Kader ».Très rare.
5 lettres autographes signées
DUCOS DU HAURON LouisLettre autographe signée, adressée à « A. Lumière & ses fils ». Alger, 19 juin 1896 ; 4 pages in-4°. Très importante lettre sur la photographie en couleurs, adressée aux frères Lumières. Louis Ducos du Hauron était parti à Alger de 1884 à 1896. Cette lettre est écrite juste avant son retour à Paris.« Mon frère vient d’achever un long ouvrage intitulé La Triplice Photographique des Couleurs et l’Imprimerie, système de Photochromographie, Louis Ducos du Hauron, Nouvelles descriptions théoriques et pratiques mises en rapport avec les progrès généraux de la photographie, de l’optique, des tirages photomécaniques et des arts auxiliaires. Cet ouvrage rend compte de tous les travaux que j’ai consacrés, depuis une trentaine d’années, aux moyens de réaliser cette triplice sous ses différentes formes, et il divulgue d’importantes nouveautés tenues secrètes jusqu’à ce jour. Nous venons de traiter avec la librairie Gauthier-Villars pour l’impression de ce livre qui doit paraître prochainement. Il arrive bien à son heure. Ce qui est certain, c’est qu’en ce moment l’excessive vulgarisation de la photographie noire, devenue le passe-temps de presque tout le monde, prédispose nombre de photographes, amateurs ou professionnels, à vouloir réaliser, fallut-il un travail plus attentif ou plus compliqué, ce prestigieux idéal qu’on appelle la couleur. Vous-mêmes, Messieurs, avez compris toute la puissance de cette aspiration et vous l’avez secondée. Vous l’avez secondée, non seulement par la création des plaques spéciales qui conviennent pour la mise en œuvre de la chromophotographie interférentielle de M. Lippmann, mais encore et à une date plus récente par l’inauguration d’un très beau procédé de tirages par voie de réversibilité d’empreintes, lequel rentre dans la Triplice photographique des couleurs. À notre tour, dans le livre en question, tout en y mentionnant avec soin ce procédé, nous avons fait, mon frère et moi, un exposé complet de tous les autres modes de tirages, qui, en l’état actuel de la science et de l’industrie, s’attachent à la reconstitution de nos trois couleurs. […] Il est hors de doute que cette publication venant s’ajouter soit aux projections polychromes, soit aux impressions pigmentaires effectuées un peu partout, en Europe et en Amérique, d’après le même principe de division et de synthèse des couleurs, va précipiter le mouvement. Dans ces circonstances, je vous prie, Messieurs, de prêter toute votre attention à ce que je vais vous dire : Qu’ils le veuillent ou non, tous ceux qui, sous une forme quelconque, tirages photomécaniques et accélérés ou tirages d’amateur et à petite vitesse, vont vouloir faire de la polychromie photographique en trois couleurs, seront forcément conduits à préférer aux incommodes et encombrantes triples chambres noires proposées soit par moi-même jusqu’à ces derniers temps, soit par différents constructeurs, le dispositif que j’ai imaginé et breveté sous le nom de Polyfolium Chromodialytique : c’est un mince cahier constitué par une alternance d’écrans colorés pelliculaires et de pellicules sensibles s’impressionnant les unes à travers les autres, le tout contenu dans le châssis négatif d’une chambre noire quelconque. Le livre que nous allons faire paraître contient la minutieuse description de ce dispositif. Je viens de l’expérimenter à fond : il fonctionne dans la perfection, il me procure le trio irréprochable des trois phototypes, créés, l’un par la lumière bleu-violette, le second par la lumière verte, le troisième par la rouge-orangée. Pour ces expériences j’ai dû, faute de trouver dans le commerce les trois pellicules toutes préparées, m’accommoder de pellicules Planchon mises en vente par votre maison ; j’ai dépouillé du gélatino-bromure d’argent deux de ces pellicules et j’y ai substitué les préparations transparentes voulues, la troisième, celle du rouge-orangé, étant laissée telle quelle. Une pression très modérée du livret dans le châssis a assuré la grande finesse des trois images. […] Je viens maintenant vous proposer de vous charger de la fabrication industrielle de ce polyfolium. […] Autre chose non moins importante que j’ai à vous soumettre : dans ma lointaine, trop lointaine résidence, j’ai appris les considérables succès de votre cinématographe ; je sais qu’il fait courir tout Paris ; mais j’ai appris également […] que M. Francis Jenkins aurait imaginé un appareil baptisé par lui du nom de phantoscope qui constituerait un progrès. […] Il y a un grand nombre d’années, j’imaginai non seulement le principe, mais tous les détails de cet art merveilleux qui, théoriquement présenté plus tard par M. Maret en France et exécuté en Amérique par Edison sous une forme défectueuse, a été repris par vous dans de meilleures conditions ; je pris soin de garantir en ma faveur, par les moyens légaux, tous mes droits d’antériorité, de propriété sur cette invention. Les circonstances ne me permirent pas la mise à exécution du système. Il entre absolument dans les projets de mon frère de publier une brochure spéciale rétablissant, tout au moins dans un intérêt honorifique, mes droits d’inventeur : les mémoires ou je consignai mes descriptions d’autrefois vous fourniraient au besoin des armes à l’encontre des prétendus perfectionnements de M. Francis Jenkins dont je décrivis nettement le système procurant à la fois la continuité du mouvement et la non intermittence de l’éclairage. […] Je suis prêt, Messieurs, avant de m’adresser à tout autre[…] à vous faire bénéficier de ma science spéciale et des documents dont je dispose. Voyez, Messieurs, dans quelles conditions vous pourriez m’encourager à vous faire ouvertement mes communications ».On joint : DUCOS DU HAURON Alcide [Langon, 1830 - Savigny-sur-Orge, 1909], avocat à Alger et frère de Louis. Ensemble de 3 lettres autographes signées, adressées à Auguste Lumière. 1896-1912.— Sans date, « Mardi » ; 1 page 1/2 in-12, à l’encre rouge. « C’est avec une bien grande joie que nous voyons arriver le moment, où, enfin nous allons avoir le bonheur de faire votre connaissance. C’est par un simple mot, comme vous le feriez avec des parents, que nous vous prions de nous annoncer votre arrivée en nous disant simplement le jour où vous viendrez déjeuner ou dîner avec nous. Notre installation est simple mais n’en est pas moins confortable, et certainement ce serait de très bon coeur que nous vous verrions accepter une hospitalité entière. Nous avons une bonne chambre à offrir […] vous serez absolument chez vous, à 15 minutes du centre de Paris. »—1896 : Lettre dans laquelle Ducos du Hauron présente son travail et son ouvrage le «Triplice photographique des couleurs et de l’imprimerie » : « J’ai appris les considérables succès de votre Cinématographe […] Monsieur François Jenkins aurait imaginé un appareil baptisé par lui du nom de Phantascope […] Je vais vous faire une révélation que vous ne dédaignerez certainement pas. Il y a un grand nombre d’années j’imaginai non seulement le principe, mais tous les détails de cet art merveilleux. […] Je vous prie soin de garantir en ma faveur, par les moyens légaux, tous mes droits d’antériorité, de propriété de cette invention ».— 11 juillet 1900 ; 4 pages in-12. Importante lettre scientifique. Il remercie L. Lumière pour son envoi de pellicules rigides. « Nos plaques colorées nous ont donné un mal de chien. Un jour les choses se passaient à la perfection, le lendemain, rien ne pouvait réussir. L’insuccès venait toujours de questions de détails, tout à fait en dehors du principe parfait en lui-même. Bref ! aujourd’hui tout va pour le mieux et à l’aide de nos Mélano A avec lesquels on obtient en une seule pose de 8 à 10 secondes et avec un seul objectif, les trois négatifs de n’importe quel sujet, il est aisé d’obtenir de très beaux résultats en couleur. Les amateurs photographes semblent s’intéresser de plus en plus à la photographie des couleurs, et certainement si nous ne réussissons pas, faute de capitaux, d’autres pourront en prenant nos affaires toutes créées, réussir pleinement. Ces derniers modèles d’appareils se vendent bien et l’amateur est heureux de réussir à coup sûr. La préfecture de police pour son service ant[h]ropométrique, vient d’adopter définitivement après essais couronnés de succès, ce nouvel appareil, qui sert non seulement à prendre les trois négatifs qu’on peut utiliser pour n’importe quel mode de tirage, mais aussi à la vision synthétique. Notre modeste exposition a semblé intéresser vivement les membres du jury. Qu’adviendra-t-il de tout ça ? Je l’ignore. Ce qu’il y a de très sûr c’est que de tous les coins de l’horizon, nous recevons des demandes de renseignements, des commandes, auxquelles nous ne pouvons pas donner satisfaction, car notre installation, aussi simple que notre personnel, ne nous permet pas une production très régulière ».On joint : une lettre autographe signée « Al. Ducos du Hauron ». 3 avril 1912 ; 2 pages in-12 sur papier de deuil. « Comment vous exprimer les sentiments que j’éprouve, et mon entourage avec moi, en apprenant l’acte si généreux que m’annonce votre lettre reçue ce matin. […] Nous sommes une fois de plus touchés. Dans les heures si cruelles que nous traversons, quelle détente, quel repos d’esprit vous venez de nous procurer »On joint une lettre très intéressante du docteur Léon Duchesne, à Louis Lumière, concernant la microphotographie (1892).
RELIURE AUX ARMES.
BONAPARTE Joseph, prince, comte de Survilliers« Lettera pastorale » de Bernardo Della Torre. Napoli, nella stamperia Simoniana [probablement 1807] ; in-4°, 14 pages -2 blanches. Basane fauve marbré, dos lisse orné d’une frise de rubans et de fleurs dorée, large encadrement doré sur les plats avec aigle impérial doré au centre frangé de rinceaux végétaux, coupes guillochées (reliure de l’époque). Le vicaire général de Naples compose là un panégyrique de Napoléon et de son frère Joseph (roi de Naples depuis le 30 mars 1806), à l’occasion de la paix qui suivit la victoire de Friedland (14 juin 1807). Exemplaire de dédicace offert par l’auteur à Joseph Bonaparte (fer armorié inconnu à Olivier), estampille couronnée à l’encre rouge « R.B » avec, en dessous, une estampille à l’encre bleue : « duplicado ». Splendide reliure italienne aux armes de Joseph Bonaparte, roi de Naples.
RECUEIL DE POÈMES, DE PENSÉES et dessins
LIVRE DORLivre dor pour le fils de Georges Ricou, Tony Ricou. Superbe album amicorum richement illustré à pleine page de dessins et de pensées autographes signées. De 1913 à 1938 ; 28,5 x 22 cm. Tony Ricou alias Richard Tavernier [1912-1944] fut un résistant français et un dirigeant de combat Zone Nord. Avant-guerre, il est adjoint au chef de cabinet de Camille Chautemps. En juin 1940, affecté au 2e bureau de la Place de Paris, arrêté le 5 février 1942, il est emprisonné à Fresnes au Cherche-Midi puis déporté à la prison de Sarrebruck il est condamné à mort et guillotiné à la prison de Cologne. Le livre dor a été commencé en 1913, par son père Georges, homme politique de gauche, il avait alors 1 an, les derniers écrits sont de 1933. De très nombreux artistes ont laissé une trace de leurs passages dans la vie de cet homme courageux qui a exposé et perdu sa vie au service de la France. Un petit poème de Jean Richepin 1919 Poème de Louis Marsolleau. Une chanson de lécrivain Maurice Maeterlinck. Poème autographe signé dAndré de Lamandé 1920. « Le vieux Mal est toujours tout près dêtre vainqueur,Et le bien ne prévaut quen sy rompant le coeur! » de Fernand Gregh poète et critique littéraire Un petit air composé par Claude Terrasse qui a écrit la musique de la pièce Ubu Roi dAlfred Jarry 1913. Petit poème dAlbert du Bois, homme de lettre de langue française et diplomate belge militant wallon 1919. Une page musicale autographe signée par Manuel de Falla, 1913. Un dessin de Charles Granval acteur 1919 Page de texte du dramaturge français Henri Bernstein.« Ou donc est-il ce temps charmantoù le mot marrivait si vite!Le mot venait dabord, et la pensée ensuite...Jétait un poète vraiment! » de Tristan Bernard. Superbe dessin de Don 1920 Superbe dessin de E. Clair-Guyot 1926. Poème autographe signé de Paul Bourget. Superbe dessin à la gouache de Joseph Hémard. Poème dHenry Marx écrivain français, auteur de romans, de poèmes, de pièces de théâtre et dessais. Petit écrit dHenri Bataille dramaturge et poète français . Petit écrit de Jean Sarment acteur et écrivain français. Très beau poème de Paul Fort, poète et dramaturge français « La Ronde autour du MondeSi toutes les filles du monde voulaient sdonner la main, tout autour de la mer elles pourraient faire une rondeSi tous les gars du monde voulaient bien être marins, ils f raient avec leurs barques un joli pont sur londeAlors on pourrait faire une ronde autour du monde, si tous les gens du monde voulaient sdonner la main». Très beau dessin colorié de Charles Bétout, costumier pour le théâtre et le music hall 1921. Un dessin au crayon de couleur de Jean Gabriel Domergue. Très beau portrait signé par Henri Rudaux artiste peintre. Page de musique autographe signée de Manuel de Falla, 1928. Une page musicale autographe signée dAlfred Bachelet, compositeur et chef dorchestre français 1928 . Une portée musicale autographe signée Georges Hüe compositeur de musique français (prix de Rome en 1879) Une page musicale autographe signée de Max dOllone chef dorchestre, compositeur et musicographe français 1930.- Et bien dautres encore... Un magnifique livre dor.
Lettre signée
HEMINGWAY ErnestLettre signée « Ernest », adressée à son ami Bill Davis. 5 septembre 1960 ; 6 pages in-4°. En-tête gravé : « Finca Vigia, San Francisco de Paula, Cuba ». Superbe et longue lettre à son ami qu’il avait surnommé « Negro ». Le corps de la lettre est de la main de Valerie Danby-Smith, une journaliste qu’Hemingway avait connue à Pamplona quand il avait des difficultés avec sa vue. Il est question d’un article sur la tauromachie écrit en trois parties pour le magazine Life. Le manuscrit sera finalement édité à titre posthume dans ce qui sera considéré comme son dernier roman, The dangerous Summer [L’Été dangereux].« Thank you very much for doing such a wonderful job with the two Krauts. Annamarie’s letter finally came through and you were right that she does not know when she is well off. I cannot give her exact publication dates nor give her some clarity as to her working program for the next few years having just this morning...gone over 92,000 words on something that I hoped would not exceed 18,000 when I started with it. Still at least 15 days of steady work to go. I had to postpone the Paris Book from this fall. But you have to do one damned thing at a time... It was impossible for me to contract with Rowhowlt to write the book since over 60,000 words of it was written before he made the offer. It would be nice to have that money tax free... if Rowhowlt published it before Scribners did I could lose the American copyright... I would prefer not to have him advance me any money on anything where there are possible angles... For years I have never taken advances ever from people that I trusted. Then I took this advance from Life & it has been nothing but a headache... I could have stopped the work at a certain date... rewrite on the Paris book, had it in shape for Scribners & then returned to the bullfight thing & finished it off. But my head was forced by having to produce that cash to pay out Rice’s mistake... I hate to ask you to do anything else... [but] can you get me an account of the Cuenca fight. All I remember is the terrible state of the piso and how dangerous it was and that Pepe Casares would not deal with his bulls and that Chicuelo II & Antonio could, due to greater experience... preoccupation with the dangerous ring drives the rest of it out of my head. I also need accounts in the local papers of the fights in Muncia... I might be wrong in remembering whether Antonio did the truco of kneeling in front of the bull & throwing away the munleta & the sword in the first or the second fight... do you remember too what was done exactly about the picadorsat Cuenca, Villara... & Ronda? Juanito Quintana has looked up several of the fights... Have handled the picador business OK so far & have only one more fight to write, the Ronda one. It is a hell of a difficult book to write, Negro, because of the because of the way it ended & the moral angle & what transcends it is the only frame it goes on... I still have to keep on writing... Val has caught 2 good white marlin & is handling rod very well. Sorry this letter is all business & begging ... »Hemingway a finalement soumis un manuscrit de 75 000 mots au magazine, duquel un extrait de 30 000 mots a été édité en trois parties, la première partie a été éditée le même jour où cette lettre a été écrite. The Dangerous Summer sera publié après sa mort par Charles Scribner’s Sons en 1985.
Dessin en sanguine signé
DERAIN AndréNu de dos.Sanguine, signée en bas à gauche.64 x 49 cm.Provenance : Drouot, 17 mars 2002.
Lettre autographe signée
BLANCHE ÉmileExtraordinaire lettre autographe signée. Passy, 24 septembre 1862 ; 2 pages 1/2. « Je vous remercie de la lettre affectueuse que vous avez bien voulu mécrire [ ]. Je mempresse de vous adresser toutes les pièces dont je vous ai parlé qui peuvent vous intéresser, et je nai pas besoin de vous dire que japprouve davance tel usage quil vous plaira den faire. »À la suite de cette lettre, le remarquable passage sur Gérard de Nerval « Gérard de Nerval est entré pour lavant-dernière fois dans la maison de Passy le 8 8 bre 1853. Il en est sorti le 27 mai 1854 pour voyager en Allemagne. Il a été ramené à la Maison de santé le 8 août 1854. Il en est sorti définitivement le 18 8 bre 1854.Il est mort le 26 janvier 1855. »Le 27 janvier 1855, le docteur Blanche écrivait : « Se croyant la même énergie dimagination et la même aptitude au travail, Gérard de Nerval comptait pouvoir vivre, comme autrefois, du produit de ses uvres ; il travailla plus que jamais, mais il fut déçu dans ses espérances. Sa nature indépendante et sa fierté de caractère sopposaient à ce quil voulût rien recevoir, même des amitiés les plus éprouvées ; sa raison sest égarée, et cest bien certainement dans un accès de folie quil a mis fin à ses jours. »
Gouache sur papier
TERECHKOVITCH Constantin (ou Kostia)Femme au chapeau.Gouache sur papier. 51 x 39 cmSigné et daté en bas à droite « C. Terechkovitch / Printemps 1956 »Au verso : Deux femmes au vase de fleurs. Lithographie en noir. Provenance : Vente Nantes, Couton & Veyrac, 9 novembre 2004, lot 303.Collection particulière, France.L’authenticité de cette œuvre a été confirmée par Madame France Terechkovitch.Cette gouache représente la fille de l’artiste.
Pastel signé en bas à gauche.
PESKÉ Jean (Jan Miroslaw Peszke, dit)Deux femmes dans un intérieur. Pastel signé en bas à gauche. 58 x42 cm.
Pastel signé en bas à droite.
PESKÉ Jean (Jan Miroslaw Peszke, dit)Femme à la broderie. Pastel signé « Peské » en bas à droite.58 x 47 cm.La pastel représent la femme de l’artiste.
Aquarelle en forme déventail sur papier calque
ROY LouisFillettes jouant dans un pré.Aquarelle en forme déventail sur papier calque.Signée en bas au milieu du tampon à son monograme.25,5 x 45 cm.
Dessin à lencre de Chine, aquarelle et encre de couleur sur papier signé et daté
PONÇ BONET JoanPersonnages sous la lune. Daté 1950. Dessin à l'encre de Chine, aquarelle et encre de couleur sur papier signé et daté en bas à gauche « Joan Ponc / 27-I-50 ». 31,5 x 44,5 cm. Dans cette composition, pleine d'emblèmes surréalistes, l'imaginaire de Joan Ponç est synthétisé dans toute sa splendeur. Dans les années 50, période à laquelle appartient cette oeuvre, l'univers plastique de Ponç se nourrissait déjà de visions prémonitoires et de palpitations, donnant forme à un langage clairvoyant, mystique et existentiel. La perspective du temps a réaffirmé la pertinence et l'exceptionnalité de son uvre, ainsi que l'intensité de sa voix et la nécessité de la redécouvrir.