Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Pièce signée
CAPOTE TrumanPièce signée. 11 septembre 1957 ; 1 page in-4°, trous d’épingles en haut. Contrat type entre Capote et CBS télévision employant l’écrivain pour établir les grandes lignes d’une histoire sans titre et être indemnisé de 1 000 $. L’année suivante, Capote publiera Breakfast at Tiffany’s.
4 belles photographies
PICASSO Pablo (Pablo Ruiz y Picasso, dit)Ensemble de 4 photographies représentant Pablo Picasso :— 3 photographies représentent Picasso avec Pierre Bertrand, lors d’un repas (tampon du 20 mai 1956, au dos). Sur l’une des photographies, on aperçoit Jean Cocteau. 15 X 10 cm, chaque.— 1 photographie faite à Vallauris le 3 août 1956, représente Picasso entouré de Hélène Parmelin (femme du peintre E. Pignon), Paco Muñoz, Polo et Jacqueline Hutin (dernière femme de Pablo Picasso). 8,5 X 11 cm.
Photographies
UTRILLO MauriceEnsemble de 4 photographies représentant le peintre et son épouse autour de ses tableaux. 175 X 125 mm. Une des photographies représente le peintre en train de peindre. Beaux plans rapprochés. Rare.
2 lettres autographes signées
CANALS Y LLAMBI RicardoEnsemble de 2 lettres autographes signées, adressées à M. Teyssier :— Madrid, 22 juin 1903 ; 2 pages in-8°. « Je vous prie de m’excuser du retard à vous envoyer les deux esquisses. C’est bien de ma faute, pour avoir laissé le soin de faire l’envoi au même encadreur pendant une excursion que j’ai faite à Salamanca. À mon retour, j’ai du l’envoyer moi-même. »— Grenade, 25 mai 1905 ; 2 pages in-8°. Il fait un voyage en Espagne et en rentrant à Paris il « aurait grand plaisir à vous montrer mes nouvelles productions et comme de juste vous pourrez choisir. Je vous prie de m’excuser ce retard mais réellement j’ai eu beaucoup de mal avec ce tableau et m’a empêché de rien faire d’autre assez intéressant pour vous montrer. »
Lettre autographe signée
PRISE D’ALGERLettre autographe signée « De Sérigny » adressée à sa mère. Camp de Sidi et Ferruch, 1er juillet 1830 ; 3 pages in-4° adresse et oblitération au dos. Texte extrêmement rare à cette date! « Tu vas probablement m’accuser d’inexactitude, et tu ne sais cependant pas toute la peine que j’éprouverais de ne pas pouvoir écrire, j’ai été horriblement fatiguée par le débarquement du matériel, qui du reste n’est pas encore achevé, mais par la suite des évènement je me trouve maintenant le pouvoir de me reposer. J’ai passé une vingtaine de jours, sans prendre un moment de repos, j’étais même quelques fois très heureux quand j’avais la nuit tranquille, du reste la marine ne fait rien, ou presque rien jusqu’à présent, si ce n’est le métier de porte faire, se lever à 4h du matin, et partir de suite pour aller décharger les navires marchands, ne rentrer qu’à huit heure du soir, voilà notre service ; encore un soir qu’il faisait très mauvais temps, je n’ai pas pu retourner à mon bord, j’ai été obligé de passer la nuit dans une embarcations sans souper non plus que mes hommes, le lendemain matin, le temps était devenu plus favorable, je suis parvenu a retourner à mon bord, on m’y a donné le temps de prendre des vivres pour la journée et on m’a fait partir immédiatement, cette fois la j’ai encore été obligé de passer la nuit non à bord de mon embarcation mais à terre, le temps était devenu très mauvais, on a été obligé de mettre tous les canots à terre, pour qu’ils ne soient pas perdus., encore on en a perdu beaucoup, beaucoup on aussi ont été avariés, trois [brigs?] marchands , se sont jetés à la cote et sont perdus, personne n’a été noyé. Tu dois voir que j’ai eu quarante huite heure bien employées. Il y a eu pendant le temps qui vient de s’écouler du changement dans ma position, le 19 du mois de Juin ma frégate est partie, elle a pris la mer, et a été croisé Alger, afin de débarasser la rade qui du reste est très mauvaise, quand à moi je suis passé provisoirement sur le vaisseau de le Duquesne, avec des hommes et des embarcations de notre [bon], pour travailler au débarquement, je suis resté sur ce vaisseau jusqu’au 30, que j’ai reçu l’odre de débarquer avec ma compagnie, pour garder le camp retranché, je loge donc maintenant sous ma tente, nous avons des chaleurs épouvantables, dans la journée, et la nuit un froid assez vif, mais j’ai descendu, mon cadre, et je suis comme couché comme dasn un lit, quand à la nourriture elle est meilleure qu’à bord. Enfin je ne serais pas malheureux ici, si ce n’est qu’il est probable que je m’y ennuirai, car nous passerons probablement quelques temps ici, nous ne sommes destinés qu’à garder le camp qui je pense ne sera pas attaqué. Je ne suis certainement pas à t’annoncer la nouvelle du débarquement des troupes qui s’est fait le plus [...] on dit que le général en chef croyait qu’on y perdrait environ six mille hommes, et je crois qu’il en a perdu six ; les Turcs ont été surpris et n’ont pas fait la moindre résistance ; la journée du 19 a été chaude, les turcs occupaient une forte et belle position, la notre n’était pas si avantageuse, l’intervention du Général en chef n’était pas de les attaquer, c’est eux qui y sont venus, ils ont été repoussés avec perte, le général en chef voyant notre avantage, en a profité, il a fait marcher en avant, et ce jour la on s’est emparé de deux [redontes], de leur position et de leur camp, dans lequel on a trouvé beaucoup de butin, qui a en partie tourné au profit des soldats qui étaient très fatigués et qui du reste avaient éprouvés des privations, lorsque le débarquement du matériel a été plus avancé, on s’est porté de nouveau en avant, on a été obligé d’activer plusieurs positions, enfin nous sommes devant Alger ; on a ouvert la tranchée devant le fort l’empereur qui est un fort qui domine la ville, mais nous sommes dans des positions qui le dominent lui même, et je pense bien que demain, nous nous emparerons ; hier les batiments qui croisent devant Alger, ont été échanger quelques coups de canons avec les forts qui donnent sur la mer, afin que toute l’attention des Algériens ne se porte pas du coté de la terre ; du reste l’amiral Duperré vient d’appareiller, il est probable qu’il va se porter devant Alger, pour attaquer par mer, en même temps que notre armée attaquera par terre. Il parait certain que le [day] d’Alger a mis les têtes française a prix, car ils les coupent a tous ceux dont il s’emparent, ils deterrent même les morts pour leur couper la tête ; aussi nos soldats sont exaspérés, et leurs officiers ont beaucoup de peine à les empecher de tuer tous le monde. »
Lettre autgraphe signée
SAINT-SAËNS CamilleLettre autographe signée, adressée à un ami. Las Palmas, le 16 février 1899 ; 4 pages in-4°. Très belle lettre : « Votre lettre du 1er fév. me montre qu’on s’occupe sérieusement de Phrymé à l’Op.(éra) Com.(ique) ; je croyais qu’on n’y songeait plus. C’est moi qui ai demandé à Carré d’égayer le dîner du second acte et de faire une apparition plus suave dans cette nuit subite et complète qui n’a pas de raison d’être ; nul doute qu’avec son goût pour le pittoresque et son talent de metteur en scène, il ne fasse très bien ; pourvu qu’il ne fasse pas trop bien ! en cela comme en tout je n’aime pas qu’on dépasse le but. Mlle Emelen est ravissante ; je lui ai fait dire le rôle et elle y sera très bien. J’ai relu Vendetta comme vous pensez ; c’est maintenant tout à fait au point (me permettez-vous de dire qu’il me semblerait encore utile de retoucher quelques vers par-ci par là ? Mais c’est peu de choses). Oui, c’est tout à fait au point, mais c’est moi qui n’y suis plus. C’est plus fort que moi, je ne puis plus écrire pour le théâtre. Pourquoi ? est-ce une évolution naturelle, ou le résultat de tous les ennuis que j’ai eu dans ces « mauvais lieux de la musique » comme les appelait Berlioz ? Je ne sais ; peut-être les deux. Ce qui est certain, c’est la répugnance, l’horripilation que j’éprouve à l’idée d’entreprendre un travail de telle nature et il me paraît impossible, dans de telles conditions, de faire quelque chose de bon. Je viens d’écrire un quatuor qui sera interminable ; cela me fait peur, mais peur et plaisir à la fois, comme quand on va prendre un bain de mer et qu’il y a de grosses vagues. Que voulez-vous que j’y fasse ? J’aurais toujours la consolation de vous avoir fait faire une bonne pièce qui vous prépare au succès. Le grand effet arrivant à la fin du second acte est ainsi bien mieux préparé, tout s’enchaîne et s’équilibre à souhait. Puisque le rôle principal est destiné à Mer Héglon (et je n’en vois pas d’autres, l’astre de Deluc me semble en train de pâlir). Pourquoi ne proposeriez-vous pas à Xavier Leroux de reprendre le fardeau que je sens trop lourd pour moi et qui lui sera léger ! L’idée d’écrire un rôle pour la belle amie le surexcitera favorablement. Vous n’avez pas oublié d’ailleurs qu’il a triomphé à l’Institut sur votre Diane ! Il me semble que Vendetta lui revient de droit. Je vous perce le coeur, je le sais et cela me chagrine. Mais à quoi bon se leurrer de chimères ? Si vous faites un drame et qu’il vous fasse des choeurs et de la musique de scènes, c’est là une chose dont je me sens encore capable. Tout un opéra, décidément, je n’en suis plus. J’ai acheté tout exprès une belle cartera, comme on dit ici, en maroquin, fermant à clé, pour que votre manuscrit soit bien à l’abri. Si vous le désirez, je l’éplucherai soigneusement et vous signalerai en toute humilité, les petits détails qui me semblent encore susceptibles d’amélioration. Vous avez tenu à garder « ils s’aiment bien, ils sont heureux ! », cela plaira peut-être à un autre, mais moi, je l’aurais certainement retranché... J’ai été vivement touché de cette petite carte de Mme de Lassus ; pourvu qu’elle ne se chagrine pas trop à cause de moi ! qu’elle veuille penser à ce qu’elle ferait si on lui demandait de faire du trapèze ou de danser sur la corde raide, elle se trouvera tout à fait à ma place. Je pense que si Phrymé voit enfin les feux de la nouvelle rampe, vous me donnerez des détails bien circonstanciés sur cet événement. On peut bien dire événement, car c’en est un maintenant de voir représenter un Opéra-comique à l’Opéra-comique ! »
Lettre autgraphe signée
SAINT-SAËNS CamilleLettre autographe signée adressée à un ami. Paris, rue de courcelles, 9 octobre 1913 ; 4 pages in-8°. Il regrette de n’avoir vu son ami lorsque celui-ci est venu le voir , il était chez son coiffeur. « Demain, à 1h 1/2 je repars pour Berlin où je vais diriger Samson, que j’aurai le rare plaisir d’entendre avec les mouvements de l’auteur, j’irai ensuite à Varsovie où je vais jouer du piano et diriger ma symphonie en La Mineur et la Danse Macabre, ainsi que la musique que j’ai écrite pour la foi de Brieux, et je serai revenu le plus tard le 22...» . Il va donner à son retour, un concert au bénéfice de l’oeuvre de la Maison du soldat. « Il est quatre heures du matin, à 7 heures j’aurais 78 ans... je sors de ma 77ème année comme un vieillard en tort et je m’aperçois que j’entre dans ma 79ème. C‘est un chiffre bien élevé pour un homme seul...».
Pièce autographe signée de Fernando Arrabal, illustrée d’une encre et aquarelle signée de Julius Baltazar.
BALTAZAR Julius et ARRABAL FernandoPièce autographe signée de Fernando Arrabal, illustrée d’une encre et aquarelle signée de Julius Baltazar. 1991 ; 29,5 x 22 cm.« Dans le tableau, je voyais l’antagonisme entre le désir et la concorde entre l’ardeur sexuelle et l’harmonie. Le corps est-il esprit, et les deux, noces ? F. Arrabal. 1990.»
Pièce autographe signée de Fernando Arrabal (aux crayons de couleurs), illustrée d’une encre et aquarelle signée de Julius Baltazar.
BALTAZAR Julius et ARRABAL FernandoPièce autographe signée de Fernando Arrabal (aux crayons de couleurs), illustrée d’une encre et aquarelle signée de Julius Baltazar. 1991 ; 29,5 x 22 cm.« Dans les espaces infinis logent des infinités de mondes. Mais dans la jalousie l’espace se referme dans l’instant clos. Arrabal. 1991.»
Pièce autographe signée de Philippe Delaveau illustrée d’une encre signée de Julius Baltazar.
BALTAZAR Julius et DELAVEAU PhilippePièce autographe signée de Philippe Delaveau illustrée d’une encre signée de Julius Baltazar. 2008 ; 33 x 19 cm.« J’ai regardé à terre, entre les feuilles, les files sages des fourmis sur le pont tremblant de brindilles. Galopant d’un bout à l’autre, portant pailles et offrandes. Je regarde par la fenêtre le port, la mer sans marée. Elle trahit, là-bas, son enseigne et les grilles. Le sable en feu brûle nos pieds fragiles. Philippe Delaveau.»
Pièce autographe signée de Salah Stétié, illustrée d’une aquarelle et encre signée de Julius Baltazar.
BALTAZAR Julius (Hervé Lambion, dit) et STÉTIÉ SalahPièce autographe signée de Salah Stétié, illustrée d’une aquarelle et encre signée de Julius Baltazar. 2008 ; 30 x 23 cm.« La plus petite ouverture peut provoquer un vaste appel d’espace.Or l’espace est tragique : « L’espace a pour jouet le cri : je ne sais pas ! ». C’est pourquoi la plupart vivent claquemurés chez eux. Stétié. »
2 lettres autographes signées
LHOTE André2 lettres autographes signées, adressées à une femme : — 30 décembre 1923. « Recevez-vous toujours la N.R.F. ? Si oui, je n’ai pas besoins de vous tenir au courant des événements artistiques, puisque j’en parle tous les mois dans cette revue. […] L’article qu’on devrait y écrire sur moi paraîtra dès le n° de février (C’est dès celui de janvier que j’ai écrit un article sur Rouault, artiste très peu connu et tellement différent de moi que certains, qui ne voient dans le voisin que le reflet d’eux-mêmes, s’étonnent « que j’aime ça ». Au cas où vous seriez, pas au courant des derniers événements artistiques, sachez que la belle vague d’imagination qui depuis Gauguin jusqu’à Picasso berçait les consciences des jeunes peintres, s’est subitement apaisée et que maintenant, c’est l’école réalisto — pour copier — académico-naturaliste qui triomphe. Les gens deviennent fous, peintres et amateurs. Plus de couleur, plus de déformation : c’est l’école des Beaux Arts dans toute sa splendeur. On comprend alors la nécessité du “Salon unique” dont on a tant parlé ces derniers temps. »— 10 octobre 1924. Il a été souffrant et n’a pu répondre à sa correspondante : « Il suffit de la nommer : diphtérie et d’ajouter que je suis par la faute des médecins, ignoré, demeuré 6 jours sans sérum, pour que vous soyez fixée sur la gravité du cas, et, par les lumières de Monsieur Lapidus, sur les désagréables suites de l’aventure : paralysie heureusement localisée aux extrémités des mains. Tout cela a gâché mon hiver et bousculé tous mes plans […] Il me reste à vous parler de votre album, d’une si belle présentation. Si je vous dis que je l’ai regardé, avec plaisir et que j’ai constaté que vous aviez une facilité que j’ignorais à noter les types et à exprimer le pittoresque des rues exotiques, vous trouveriez cela fade et, avec votre modestie habituelle, vous me demanderez des observations profitables. Je vais donc régler mon rôle (hélas) de professeur. Vous composez avec facilité, et bonheur vos planches, comme tableaux, mais il me semble que vous avez tendance à diviser votre surface en parties un peu trop semblables. […] Le tableau (car c’en est un) est composé de 4 éléments répartis en quantités différentes. »On joint l’ouvrage broché « Traité de la Figure ». Éditions Tournon. 1950 ; 140 x 190 mm, broché (usé).
Lettre autographe signée
BALMAIN Alexander Antonovitch Ramsay, comte deLettre autographe signée, adressée à l'amiral Pulteney Malcolm, commandant de la base navale de Sainte-Hélène. Sainte-Hélène, lundi [25 novembre 1816] ; 2 pages in-8°, adresse et contreseing. Il s'excuse de ne pouvoir venir lui rendre visite. « Si je n'ai pas été des premiers, Monsieur l'Amiral, à venir au devant vous, et à vous féliciter de votre heureux retour à Ste Hélène, qui y ramène la gaieté, c'était samedi, parce que nous n'en avons été averti à Rosemary Hall que trop tard. Dimanche, parce que ce n'est pas chez les Anglais un jour de visite, et aujourd'hui, lundi, parce que mon cheval est malheureusement déferré, qu'il est en ville, et que je n'en ai qu'un. »
Rare lettre autographe signée d’un français, J.-C. Parent, réfugié à Londres, adressé à son épouse et à sa fille à Paris. Londres, 29 décembre 1870
SIÈGE DE PARIS — BOULE DE MOULINS.Rare lettre autographe signée d’un français, J.-C. Parent, réfugié à Londres, adressée à son épouse et à sa fille à Paris. Londres, 29 décembre 1870. Lettre adressée par porteur à un certain Adolphe à Putanges qui l’a affranchie et postée le 3 janvier 1871 ; 1 page 3/4 in-8, , affranchie avec 4 timbres à 20 centimes, mention autographe « par Moulins (Allier) », sans arrivée.On inaugure alors en décembre 1870 un nouveau service de transport de courrier par voie fluviale : les Boules de Moulins. Il s’agit de boules de zinc étanches et munies d’ailettes, en forme de sphères creuses pour disposer le courrier à l’intérieur puis fermées par soudure. Les boules pesant environ 2kg sont immergées sous l’eau et doivent rouler sur le fond du fleuve pour franchir les lignes des assiégeants grâce au courant.Ces nombreux courriers seront centralisés à Moulins sur Allier, ce qui donna le nom de « boules de Moulins » à ce nouveau système de communication postale.Chaque courrier est affranchi à 1 franc dont 80 centimes de taxe était reversée aux inventeurs et chacun portait la mention « Paris par Moulins Allier ». 55 boules furent immergées contenant 700 à 800 plis. Environ 40 000 lettres furent envoyées sur cette si courte période de l’histoire du siège du Paris.
Important album réunissant des autographes et documents signés par des aviateurs brevetés (entre n°101 et 300).
AVIATION — PRÉCURSEURSImportant album réunissant plus de 61 documents : des autographes, documents signés par des aviateurs et des cartes postales montrant des avions.Georges Abrial (CP signée) ; Arrachart (vignette signée) ; Léon Biancotto (CP signée) ; Georges Besançon (carte autographe signée, 1906) ; Mme Louis Blériot (portrait signé et lettre autographe signée) ; Henri Boris (beau portrait photographique dédicacé) ; Elizabeth Boselli (portrait signé et lettre autographe signée) ; Gaston Brabant (photographie devant son avion dédicacée et lettre signée) ; Robert Buron (portrait signé) ; Diomède Catroux (3 lignes autographes signées) ; Madeleine Charnaux (portrait dédicacé) ; Marcelle Choisnet (photographie signée) ; Mathieu Claude (photographie signée) ; Pierre Cot (photographie signée) ; Étienne Denois (2 photographies signées) ; D’Estailleur Chanteraine (2 photographies signées) ; Louis Demougeot (portrait dédicacé) ; Charles Dollfuss (photographie retirée d’un ballon, dédicacée et deux autres au sol dédicacées et une lettre autographe signée) ; général Domino (beau portrait dédicacé) ; René Drouillet ( 2 pièces dédicacées) ; Viviane Elder (portrait signé) ; commandant Raoul Étienne (beau portrait dédicacé et deux lettres autographes signées) ; Alfred Fronval (portrait dédicacé) ; général Girier (carte autographe signée) ; Mme Jaffeux-Tissot (carte signée) ; Fernand Lasne (portrait signé) ; Laurent-Eynac ( 1 lettre signée et 1 autographe) ; R. Lepreux (belle photographie dédicacée en souvenir du survol des Champs Élysées) ; Jean Macaigne (2 photographies dédicacées et un texte autographe signé) ; Fernand Malinvaud (portrait signé) ; capitaine Marchesseau (photographie signée dans son cockpit) ; abbé Marguery (carte signée) ; Henri Mignet (photographie signée) ; Jean Moine (signature) ; Félix Peaucou (las sur son vol en cerf-volant Saconney) ; Pérez (acrobate aérien) ; Émile Picard (carte autographe signée) ; Charles Quatremare (beau portrait dédicacé) ; Marcel Riffard (2 pièces dédicacées ; Jacques Ringel (lettre signée) ; André Turcat (belle photographie dédicacée devant le Griffon et un autre portrait dédicacé) ; Raymond Vanier (carte signée) ; André Vassard (carte signée sur un trapèze sous un avion) ; Raymond Villechanoux (photographie devant un avion signée) ; le constructeur Michel Wibault pièce autographe signée). De nombreux documents d’ordre iconographique enrichissent cette collection.