Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Dossier
PAULHAN LouisDossier de cartes signées ou de photographies signées par Louis Paulhan.— Une belle photographie le représente dans son biplan, dédicacée à E. Lasalle. 13 X 18 cm.— Une carte signée, le représentant en vainqueur du raid Londres Manchester sur biplan Farman, en mai 1910.— 13 cartes signées (cartes postales ou photographies de ses exploits).— 1 carte de visite autographe signée : « Vous pourriez avec les documents que je possède faire un récit aéronautique qui puisse intéresser sûrement la belle jeunesse d’aujourd’hui qui jette un regard sur l’aviation. »— 11 cartes postales ou photographies diverses le concernant.Bon dossier.
Ensemble de lettres autographes signées
SUTZKEVER AvromImportante correspondance d’une trentaine de lettres autographes signées, en yiddish. 1969-1975 ; Formats divers, quelques-unes avec des dessins originaux. Quelques enveloppes conservées.
Ensemble de 8 lettres autographes signées, adressées à son fils Arthur
BERTRAND Henri-Gatien, comteEnsemble de 9 lettres autographes signées, 7 adressées à son fils Arthur et 2 à son frère. 1837-1842 ; 9 pages in-4° ou in-8°, 7 avec adresses.25 août 1837, il annonce l’envoi de dix gourdes... Châteauroux 27 mai 1841, longue lettre d’affaires sur le prix du livre que son fils compte publier. « M. J. Janin, m’avait dit qu’avant de fixer le prix à 1500 f le prix dont on avait d’abord parlé pour 1500 exemplaires, il fallait voir le nombre de feuilles d’impression ; que tu devrais venir chez lui débattre tes intérêts avec M. Plon, que l’imprimeur te donnerait six mois pour payer »... Paris 16 mai 1842 : « Mes cartes sont toutes finies et j’espère que demain les corrections du second volume seront à l’oeuvre »... Châteauroux 8 août 1842 : « Nap. est allé à Bourges […] pour entendre M. Crémieux et Michel qui plaident aujourd’huy »... 18 septembre 1842 : « Mon fils Arthur m’a fait une vive peine en se refusant à m’accompagner dans mon voyage. Puisse sa conduite, pendant que je serai éloigné, ne pas augmenter mes chagrins »... Il résume les dispositions qu’il a prises pour la fourniture du bois, le paiement des gages, etc. Saint-Pierre 9 décembre 1842 : à peine arrivé aux Salines, « il m’a fallu en repartir pour venir auprès de Nap; qui vient d’essuyer une fièvre bien dangereuse. Je suis depuis dix jours auprès de lui » ; il est en pleine convalescence et Bertrand assiste à ses repas afin de modérer son appétit… Châteauroux 17 décembre,il transmet à son fils la part de son frère un bouquet pour Mme de Saint-Cyran, « la belle cousine »…2 lettres autographes signées à son frère à propos d’Arthur.
Ensemble de 4 documents.
REICHMAN FredEnsemble de 4 documents [adressés à Daria Bogdanovsky en France]. Lettre autographe signée. San Francisco, 23 juin 1960 ; 2 pages in-4°, en français. Il donne de ses nouvelles, « C'est beaucoup de temps depuis j'ai essai à écrire en français [ ] Je suis un père maintenant, a belle fille de 14 mois s'appelle alexandra ! Ma femme Michela et moi nous sommes très heureux avec le soleil qui se leve chaque jour dan sa rire sa joie de vivre ». Il prépare une exposition au musée de la Légion d'Honneur, qui après partira à Los Angeles à sa galerie : « J'ai fait beaucoup de progrès depuis vous avez vu mes tableaux à Paris. Plus de la nature et plus de les choses qui sont très proches même dedans mon coeur » (il a illustré sa lettre de points géométriques, ce qui la rend artistique). Lettre autographe signée. San Francisco 17 février [1964] ; 1 page grand in-8 oblongue, en français, illustrée d'une composition imprimée, grande enveloppe jointe. De retour chez lui après son séjour parisien, il lui a été difficile à se remettre au travail, mais il s'y est bien lancé et prépare sa prochaine exposition. « Sur notre retour chez nous, il était très très difficile à commencer notre rhythme comme l'autre foie. Et, j'ai trouvé qu'il était très très difficile à peindre ! Quel surprise ! Mais, depuis un ou deux mois, j'ai commencé à travailler avec esprit et le travail est maintenant bien ! Nous sommes très contents maintenant » Lettre autographe signée. San Francisco, 25 mars 1966 ; 1 page grand in-8, en français, enveloppe jointe enrichie au dos de dessins de sa fille Alexandra (6 ans 1/2). La lettre est illustrée de points et taches de couleurs, ce qui la rend très attrayante. Il annonce sa venue en France. « Nous irons en france cet été et nous espérons être à Paris pour 15-21 jours entre le 15 juin et ? juillet. Serez-vous à Paris ? Connaissez vous d'une endroit où nous pourrons demeurer ? » Copie d'un article sur lui paru en octobre 1965 en anglais, sur lequel il a ajouté une correspondance autographe signée (7 lignes, 1 page in-4, en français), enveloppe jointe enrichie de dessins aux feutres de couleurs. « Ca va bien ici, je travail, je fait des tableaux et je suis en train de faire quelque progrès. Les enfants sont un joie pour ma femme et moi, même si c'est beaucoup de travail. » L'ensemble est très attrayant.
Ensemble de 9 lettres autographes signées, 7 adressées à son fils Arthur et 2 à son frère
BERTRAND Henri-Gatien, comteEnsemble de 9 lettres autographes signées, 7 adressées à son fils Arthur et 2 à son frère. 1837-1842 ; 9 pages in-4° ou in-8°, 7 avec adresses. 25 août 1837, il annonce l'envoi de dix gourdes... Châteauroux 27 mai 1841, longue lettre d'affaires sur le prix du livre que son fils compte publier. « M. J. Janin, m'avait dit qu'avant de fixer le prix à 1500 f le prix dont on avait d'abord parlé pour 1500 exemplaires, il fallait voir le nombre de feuilles d'impression ; que tu devrais venir chez lui débattre tes intérêts avec M. Plon, que l'imprimeur te donnerait six mois pour payer »... Paris 16 mai 1842 : « Mes cartes sont toutes finies et j'espère que demain les corrections du second volume seront à l'oeuvre »... Châteauroux 8 août 1842 : « Nap. est allé à Bourges [ ] pour entendre M. Crémieux et Michel qui plaident aujourd'huy »... 18 septembre 1842 : « Mon fils Arthur m'a fait une vive peine en se refusant à m'accompagner dans mon voyage. Puisse sa conduite, pendant que je serai éloigné, ne pas augmenter mes chagrins »... Il résume les dispositions qu'il a prises pour la fourniture du bois, le paiement des gages, etc. Saint-Pierre 9 décembre 1842 : à peine arrivé aux Salines, « il m'a fallu en repartir pour venir auprès de Nap; qui vient d'essuyer une fièvre bien dangereuse. Je suis depuis dix jours auprès de lui » ; il est en pleine convalescence et Bertrand assiste à ses repas afin de modérer son appétit Châteauroux 17 décembre,il transmet à son fils la part de son frère un bouquet pour Mme de Saint-Cyran, « la belle cousine » 2 lettres autographes signées à son frère à propos d'Arthur.
Poème autographe signé
JACOB MaxPoème autographe signé, intitulé « Roman de chevalerie ». Sans date ; 2 pages in-8°. « La bradamante et Marphise Se disputent un amoureux À cheval ! À votre guise ! Voici la lance et l'épieu. C'est l'enfer qui les met aux prises : J'ai deux âmes il m'en faut trois. (Dans un château fort à Pise Se meurt Ogier le Danois) [ ] Marphise est païenne infidèle Et votre Dieu me la doit Bradamante tu fais fi d'elle ! Que ton dragon aux cent ailes Vole pour deux meurtres en ce duel. » À la suite de ce poème Max Jacob écrit : « On a jugé cette poésie obscure. J'en donnerai donc l'explication : Ogier le Danois va mourir et Satan guigne cette âme de pêcheur. Ogier possède un miroir qui lui fait voir à distance les femmes qui se battent par amour de lui. Ogier possède aussi un dragon volant et rapide qui peut tuer les deux guerrières. Satan demande à Ogier de lui donner ces âmes. L'amour est indifférent à tout ce qui n'est pas son objet assez cruel pour damner autrui et se damner lui-même. »
Manuscrit autographe signé
FARRÈRE ClaudeManuscrit autographe signé intitulé « Critique dramatique, Phædre, tragédie en trois actes de Gabriele d’Annunzio ». [Juin 1923] ; 15 pages 1/2 in-folio. Long article enthousiaste sur Phœdre de Gabriele D’Annunzio, publié dans Le Gaulois du 8 juin 1923. « Phèdre [...] pour en oser l’escalade après Racine, il faut être titan, ou demi-dieu. Incontestablement, M. Gabriele D’Annunzio était qualifié pour cette tentative. Je n’aperçois guère, dans la littérature contemporaine, que trois hommes qui soient tout à fait au-dessus des autres : Rudyard Kipling, Pierre Loti et Gabriele D’Annunzio [qui] me semble procéder de Pindare, et résumer en soi tout le lyrisme. Voilà qui suffit. Et Gabriele D’Annunzio a bien fait d’écrire une Phèdre : il en avait le droit. » Farrère fait ensuite une analyse détaillée de l’œuvre et la compare à Phèdre de Racine, en soulignant les différences entre les deux conceptions de l’héroïne et le déroulement du drame. Il termine en saluant les interprètes, surtout Ida Rubinstein, « une statue vivante, la plus pure et la plus mobile que l’on puisse rêver », ainsi que le traducteur André Doderet.
Intéressant ensemble de documents sur le mémorialiste.
[SAINT-SIMON Louis de Rouvroy, duc de]Intéressant ensemble de documents sur le mémorialiste.— Lettre manuscrite signée du duc de Choiseul (ministre des affaires étrangères de Louis XV). 21 décembre 1760 ; 1 page in-4°, légères piqûres au début. « Les manuscrits, Monsieur, trouvés au deceds de M. de St Simon ont été renfermés, lors de la levée des scellés, dans plusieurs grandes caisses et laissés en depot au S. de La Leu notaire. Comme ils concernent les affaires du Roy […] vous vous concerterez avec M. Boudot Procureur au Chatelet pour l’exécution de cet ordre, sois pour le temps sois pour le nombre de voitures nécessaires pour les transporter » — Copie (d’époque) de la lettre du notaire du Chatelet de Paris, signée. 21 décembre 1760 ; 1 page in-4°.Ordre « que sur la simple représentation du présent ordre et nonobstant toutes oppositions faites ou à faire […] les clefs des dites caisses (des manuscrits) seront remis au Sieur le Dran premier commis du dépôt des affaires étrangères et ce sur la simple reconnaissance qu’il en donnera […]. Fait à Versailles le 21 décembre 1760 signé Louis et plus bas le Duc de Choiseul . Je soussigné que Monsieur le Dran m’a remis l’original de l’ordre du Roi dont copie cy-dessus avec sa reconnaissance de l’exécution du dit ordre de ma part. A Paris le 22 décembre 1760 » signature Delaleu (?).On joint :— la copie (d’époque) non signée d’une petite lettre (28 juin 1788 ; 1 page in-8°) adressée à Madame la comtesse de Saint-Simon déboutant celle-ci de la propriété des manuscrits des Mémoires du Duc de Saint-Simon. — Arrêt du conseil d’état du roi qui ordonne la suppression des trente premiers volumes de l’ouvrage ayant pour titre : Œuvres complètes de Voltaire : de l’imprimerie de la société littéraire typographique, 1784. Paris, Imp. Royale, 1785, 3 pages in-4°. — Arrêt du conseil d’Etat du roi, qui supprime l’ouvrage intitulé, Lettre du comte de Mirabeau, sur l’administration de M. Necker. Du 6 juin 1787. Paris, Imp. Royale, 1787, 2 pages in-4°.
Lettre autographe signée
WELLSLettre autographe signée. Lou Bastidou, Grasse, 25 juillet 1927 ; 1 page 1/4 in4°. En-tête gravé « Easton Glebe Dunmow ». Lettre concernant un discours.
Lettre autographe signée
COLETTE (Sidonie Gabrielle Colette, dite)Lettre autographe signée, adressée à Mlle Claude Chauvière, sa secrétaire et amie. Paris, 9 octobre 1931 ; 3 pages in-8° sur le papier de l’hôtel Claridge à Paris, enveloppe timbrée jointe.« Mon petit Claude, as-tu lu le feuilleton que te consacre - que nous consacre - Robert Brasillach dans l’Action Française ? Il nous fait honneur à toutes deux, et j’en suis très contente. On sait que Brasillach remplace Bidou, désormais aux Débats. […] Alors, c’est la gaffe, ma demande de bouquin ? Je suis désolée, j’abîme tout ! Mon petit Claude, merci de me préparer de si beaux exemplaires. Bruel va encore faire des folies ! Ce matin je reçois un beau grand papier de chez Didot, qui faut-il remercier ? Je travaille aussi, mais quelle lenteur... Il faut que je me hâte, j’ai coupé les ponts derrière moi, je passe tout de suite après Kessel »...
Dessin autographe signé « Sacha »
GUITRY SachaDessin autographe signé « Sacha ». 23,2 X 31 cm. 3 portraits légendés : « Rejane — Granier — Brandes ».
Très intéressant dossier rassemblant des documents et lettres des protagonistes.
SCANDALE DES VENTES DES DÉCORATIONS (1887).Très intéressant dossier rassemblant des documents et lettres des protagonistes.— CAFFAREL Louis Charles [Bourgoin-Jallieu, 1829 - 1907], général français qui fut impliqué dans le scandale des décorations. Lettre autographe signée, adressée à un président [de la commission d’enquête ?]. Paris 26 novembre 1887 ; 1 page in-folio avec ratures et corrections. Très intéressant document quelques jours avant sa démission suite à ce scandale. Il s’agit du brouillon de sa lettre. « Je lis, à l’instant sur les journaux de ce matin la déposition de Monsieur le général Perron devant la commission d’enquête. Je laisse de coté les appréciations de Monsieur le Ministre sur ma valeur personnelle : si la commission d’enquête avait à la juger, je demanderais simplement qu’on lui apportât mon dossier. Mais, Monsieur le ministre a dit qu’il avait la conviction d’un lien entre l’affaire Aubanel et l’affaire Caffarel. Il a dit aussi (journal Le Matin du 26 9bre) J’ai appris depuis que le Général Caffarel avait tenté de rendre certaines notes au Génie Belge. Je ne puis rester sous le coup d’une pareille accusation. Je vous supplie de m’entendre à nouveau, de me confronter si vous le jugez convenable avec Monsieur le Ministre de la Guerre. On a pu m’enlever ma croix d’honneur, mais on n’arrachera jamais de mon coeur l’amour de mon pays. Vous comprendrez mon indignation en face d’une accusation de trahison. »— ANDLAU Joseph-Hardouin-Gustave, comte d’ [Nancy, 1824 - Buenos Aires, 1892], militaire et homme politique français du XIXe siècle, général mêlé au scandale de “ventes des décorations”.Lettre autographe signée [adressée à M. Gernier Baillier]. 19 avril ; 2 pages in-8° sur papier à à lettre « 41 rue Montaigne ». « Permettez-moi de vous adresser une jeune femme dont la position plus que précaire mérite vraiment toutes les sympathies. C’est Mme la Baronne Baillot femme de ce malheureux qui a échoué si tristement l’an dernier dans la création du Skating Palais avenue du Bois de Boulogne et qui s’est sauvé, laissant cette jeune femme sans ressources avec trois enfants en bas âge. […] Mais je vous écris pour obtenir de vous si cela est possible, une intervention plus utile en sa faveur. Ne vous serait-il pas possible d’obtenir au moins une bourse pour son fils aîné qui a 8 ans, dans un collège de la ville ? »— LIMOUZIN Madeleine, tenancière de maisons closes, aventurière qui fut compromise dans l’affaire Wilson en 1887.Très rare lettre autographe signée, adressée M. Chincholle. 19 novembre 1887 ; 3 pages in-8°, sans doute incomplète. En plein scandale, elle fait allusion à un article paru dans le Figaro au lendemain d’un dîner au « Chat noir ». « Je suis absolument au courant d’une interprétation malheureuse qui m’a été méchamment donnée à notre soirée de samedi ; je serai désolée d’apporter un nuage dans la vie privée de qui que ce soit, je vous ai promis une photographie, je tiens parole, vous priant de l’accepter, non de Madame Limouzin, mais d’un bon camarade, que vous serez généreux de ne pas trop abîmer, car il est tout dévoué à votre cause. Je serais chez Liebert tous les jours à partir d’aujourd’hui de 1 hre à 6 heures maîtresse d’y recevoir qui me plaît […] que pour rien au monde, je voudrais avoir à me reprocher une mauvaise action. Je vous prie très instamment de faire insérer la lettre que je vous ai fait parvenir au sujet du Sire Salis. »
Lettre autographe signée
BRETON AndréLettre autographe signée, adressée à Maurice Noël. « Casablanca, avril 1941 » ; 1 page 1/2 in-4°. « Veuillez m’excuser si je ne suis pas à même de servir ma promesse en vous adressant un exemplaire de l’Anthologie de l’Humour noir et de Fata Morgana. Le premier de ces ouvrages, achevé d’imprimer le 10 juin 1940, m’a été retourné refusé par la censure de Clermont. Le second m’est revenu différé jusqu’à la conclusion définitive de la paix (sic). […] Je me permets de vous signaler que le poème ne comportait pas la moindre allusion à l’actualité, ni rien qui en rendit la publication incompatible avec l’ordre nouveau. […] À l’éditeur qui s’inquiétait des raisons de ce tel achoppement, il a été répondu : “ Ne nous proposez pas d’ouvrages d’auteurs qui sont la négation même de l’esprit de redressement national”. Il est ainsi établi que certains écrivains français sont privés de la parole en France en 1941. J’avais songé — pour en avoir le cœur tout à fait net — à soumettre au contrôle de presse un poème en alexandrins “impeccables” tiré de quelque anthologie et que j’eusse intitulé “ Retour à la terre” mais ne m’en suis pas trouvé le courage en dernier moment. »
Lettre signée
FRÉDÉRIC IIILettre signée. Copenhague, 13 janvier 1766 ; 1 page in-folio ; en allemand. (Ancienne vente Charavay, 24 septembre 1868.) Vœux de nouvel an. Rare.
Pièce signée
FRÉDÉRIC IVPièce signée. Hafnia, 15 mars 1704 ; 3 pages in-folio, grand sceau aux armes sous papier ; en latin. Sauf-conduit donné pour la navigation entre la Norvège et Amsterdam à Jan Jacobsen Rens et son navire Gylden Haab. Rare.