Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Lettre autographe signée
LA TOUR D’AUVERGNE Théophile-Malo Corret deLongue lettre autographe signée, adressée à « mon cher et respectable compatriote ». Passy, le 4 floréal an VI [23 avril 1798] ; 3 pages 1/2 in-8°. À son correspondant qui se plaint de son silence : « Mettez vous, je vous prie à ma place : comme dans les 3 armées où j’ay servi, par des milliers de mes frères d’armes dont un grand nombre se trouvent à Paris, tous cherchant à s’étayer de mon faible appuy, et ayant comme vous des droits acquis sur le plus tendre interet de ma part ; comment me serait-il possible de résister, ou plutot de ne pas succomber ; si après des courses accablantes et sans cesse renouvelées […] ils n’avaient quelque charité pour moi, en n’exigeant pas rigoureusement que je réponde immédiatement à leurs lettres, me trouvant chargé de dresser leurs mémoires, pétitions et autres écritures. Les jours ne sont malheureusement pas pour moi de 48 heures. […] J’ai été assez heureux d’obtenir l’attache du directeur Reubel […]. Vous êtes bien heureux que le directeur Reubel soit père.» Ses écrits sont très rares.
Ensemble de lettres signées
JOUVE Pierre-JeanEnsemble de 2 lettres signées, adressées à Suzanne Arnoux, secrétaire de la Société des Auteurs et compositeurs et 1 pièce signée.— 24 avril 1962 ; 1 page in-4°. Au sujet de la déclaration de sa pièce Lulu d’après Wedekind.— 18 septembre 1966 ; 1 page in-4°. Il a été pressenti par le doyen de la faculté des lettres de Nice afin « d’autoriser la représentation de mon Macbeth, en désignant la compagnie des acteurs sous le titre Les Vaguants. Vous me demandez de votre côté mon autorisation pour une tournée Morna. Les lieux et les dates coïncident. »— Bulletin de privilège concernant la pièce Les Trois Soeurs jouée au théâtre des Célestins de Lyon du 9 décembre 1970 au 7 février 1971, signé par Pierre-Jean Jouve et Sacha Pitoëff.Les trois documents :
Pièce autographe, signée
JEHAN-RICTUS (Gabriel Randon de Saint-Amand, dit)Pièce autographe, signée « Gabriel Randon ». S.l.n.d. ; 8 pages in-12 et 2 pages in-12 pour le questionnaire. Curieuse suite de notes anecdotiques et pensées de la main du poète en réponse à un questionnaire : — « Qu’éprouvez-vous en vous levant ? » : « L’envie de lire une lettre. »— « Pouvez-vous vous sacrifier ? » : « Oui pour une idée, pour une femme, et pour la joie ridicule d’être malheureux. »— « Quel est votre poète préféré ? » : « Le Dante, Villars, ceux de la Pléiade, et après un grand saut, Baudelaire, Musset, Hugo (certaines pièces) et Verlaine, Moreas, Sauvain, de Hérédia, L. Tailhade. »— « À quel moment de votre vie voudriez-vous mourir et comment ? » : « À trente six ans, aimé, en pleine lutte, avec de la gloire et l’amour des jolies jeunes femmes. Je m’en fous d’être guillotiné pour une belle cause qui pourrait être la justice. »— « Préférez-vous la beauté à l’intelligence ? » : « J’adore la Beauté et j’aime l’Intelligence. »— « Êtes-vous susceptible d’enthousiasme ? »: « Oui, bien que je croie mener dans de tels élans, une lutte inutile. »
Pièce autographe signée, écrite au dos d’une enveloppe
CHAISSAC GastonPièce autographe signée, écrite au dos d’une enveloppe, adressée à Pierre Giraud. 9 juin 1948 ; 1 page in-12, adresse timbrée sur le verso.« Cher P.G. De toi je crois que c’est mon évêque ébauchant le geste de la bénédiction des blés que j’aime le plus. Et je t’expliquerai pourquoi quand on se verra. J’ai dessiné hier sur la muraille un gros ventru qui porte un seau et qui est peut être plus trapu que ventru. Je pourrai fort bien exposer des choses à Limoges si ça se trouve. Amitiés. G. Chaissac. »On joint la lettre de son épouse qui était à l’intérieur: grande lettre autographe signée de Camille Chaissac. Cette très intéressante lettre, longue de 4 pages in-folio (31 x 19 cm) foisonne de renseignements sur la vie du couple Chaissac. « Gaston, lui, a l’air d’oeuvrer beaucoup plus au hasard, gratuitement, , il y a des réussites, mais ça m’a toujours gêné de ne pas le voir plus “engagé”. Il est absorbé, concentré bien sûr, mais tout lui ne participe pas au mieux. Son corps n’est là que pour sécréter des toxines qui changent sa vision du monde mais pas la réalisation de l’épanouissement ; et la volonté absente qui doit décider, comparer, choisir ce qu’il convient présentement d’exprimer étant donné les matériaux, la couleur du ciel, l’humeur, l’inspiration etc. Il a bien le désir de créer du beau, de l’harmonieux, du personnel, mais aussi de l’original, du jamais fait non parce que c’est mieux, mais parce qu’il croit être le premier à y penser. »
Lettre autographe signée
SIGNAC PaulLettre autographe signée [adressée à Eugène Dabit]. 24 décembre 1930 ; 1 page 1/2 in-8°.« Je vous remercie de m’avoir envoyé votre nouveau livre : c’est gentil à vous de ne pas oublier votre vieux camarade dans votre jeune gloire. Je l’ai lu avec autant de plaisir que le premier et c’est de tout cœur que je lui souhaite le succès de son aîné. Mais la peinture ? Vous n’abandonnez pas, n’est-ce pas ? »Après L’Hôtel du Nord (Robert Denoël, 1929), Eugène Dabit avait publié Petit Louis (Gallimard, 1930).
Lettre signée
ALEXANDRE VIII en latin Alexander VIII, en italien Alessandro VIII (né Pietro Ottoboni)Lettre signée avec compliment autographe « Sempre de cuore Il Cardle Ottoboni », adressée à Pietro Mocenigo. Rome, 30 juin 1668; 1 page in-folio en italien. Il remercie de l’avoir avisé de son départ pour l’ambassade d’Angleterre et lui adresse ses vœux.
Lettre autographe signée
NADAR (Félix Tournachon, dit)Lettre autographe signée, adressée à un ami. Cannes, 17 février-22 mars 1904 ; 4 pages in-8°. Très belle lettre : « L’adorable adoré parti, votre peine à tous, la tienne, — la permanente inquiétude, quand ce n’est pas l’anxiété pour notre clé de voûte bien aimée, tout hante, excède ma triste vétusté, par les jours, les nuits, —jusqu’à un tout récent suicide par Nice d’un ancien employé de notre maison, — et aussi la pensée obstinée de cette horrible guerre de là-bas... Tout ça est trop pour mon trop peu de force restante. J’étouffe... Le pis est que, malgré tout effort, et il y est, je trouve encore à attrister ce qui est autour de moi déjà triste. Mais tout est noir devant nous. » Il a bien songé à un vieux projet d’article, « mais à cette heure abominable des canonnades asiatiques, pas place ». 22 mars 1904 : retrouvant sa lettre, qu’il avait oublié d’envoyer, il donne des nouvelles d’amis. Il reste à Cannes jusqu’à fin avril, « puis retour à Marseille, — et finalement, vers octobre, espérance de revenir définitivement sur Paris. — C’est embêtant de ne pas même savoir où on mourra ».
Lettre autographe signée
MONTPENSIER Antoine-Philippe d’Orléans, duc deLettre autographe signée « Montpensier », adressée à son frère, le futur roi Louis-Philippe, alors duc de Chartres. 25 juillet 1791, 1 page, in-12, montée sur une grande page.Importante lettre historique, relatant les événements de la fusillade du Champ de Mars, le 17 juillet 1791, qui aura pour conséquence la fuite du roi Louis XVI et de sa famille jusqu’à Varennes. « Je n’ai rien à t’apprendre mon cher Chartres. Je t’ai tout dit la dernière fois. Les Feuillans ne veulent pas se réunir et les Jacobins restent tranquillement à leurs places. Voilà tout. Nous sommes dans un vilain moment, le drapeau rouge est toujours à la fenêtre de l’hôtel de Ville. Au reste il y a mille choses qu’il m’est impossible de t’écrire ce que je te dirais si j’étais avec toi. Je ne sais ce qui empêche de nommer les officiers. Ce que je sais c’est que cela retarde un plaisir bien vif et que cela augmente de jour en jour mon impatience. Adieu mon cher frère je t’embrasse de toute mon âme, tous ces messieurs se rappellent à ton souvenir. Montpensier. Je t’envoye une superbe adresse de Pétion à ses commettans, lis la avec attention. »
Lettre autographe signée
GREEN JulienLettre autographe signée, adressée à un père. 13 juin 1946 ; 2 pages in-4°. « J’ai été très touché de la lettre que vous m’avez écrite et de tout ce que vous me dites du roman, et surtout de ce que vous dites du prêtre et du rôle de prêtre. Peut-être aurai-je un jour le grand plaisir de vous voir à Elioles et nous pourrons alors, si vous le voulez bien, nous entretenir de ces choses si importantes et dont il me semble qu’on parle si peu ici (je pense surtout aux problèmes du romancier). De plus en plus, je me méfie du roman, de tout ce qu’il remue de trouble et e suspect. Parfois des semaines se passent sans que je me sente capable d’ajouter une ligne au livre qui m’occupe en ce moment, et j’en ai écrit un, en 1937 et 38 que je n’ai jamais pu me résoudre à faire imprimer. « Purifiez la source » dit Mauriac. Ce n’est pas si simple. Il entre, en effet beaucoup de raison dans la composition d’un roman, et je ne vois pas très bien comment l’auteur peut se défendre lui-même d’une contamination presque inévitable (Et que dire de ses lecteurs ? Nicole, je crois, a écrit là-dessus quelques phrases assez inquiétantes. Je sais bien que ce n’est pas là une référence d’une valeur indiscutable, mais je crains malgré tout que ce janséniste n’ait raison). Pourtant, il faut bien faire son oeuvre. Nous y sommes tenus. C’est même notre façon à nous romanciers e rendre gloire à celui qui nous a confiés ces petits dons d’écrivains dont nous abusons, parfois, si étrangement. Mais j’ai l’impression, souvent d’avancer dans la nuit. J’ai essayé de dire cela dans mon journal que je vous enverrai. Sans doute ne devrait-on pas parler de soi comme je l’ai fait dans ce livre, mais si je publie ces pages, c’est avec l’idée qu’elles pourront servir à ceux qui, comme moi, cherchent à voir clair. Si elles pouvaient atteindre une personne seulement et l’empêcher de désespérer, ce serait déjà beaucoup. Je voulais passer quelques jours à Elioles, ce printemps. J’en avais même parlé au R.P. Carré que vous connaissez sans doute et qui est de si bon conseil , mais la publication de mon livre m’a empêché e quitter Paris et je suis maintenant plongé jusqu’au cou dans des difficultés d’un autre ordre que vous avez le bonheur de ne pas connaître. »
Lettre autographe signée
[AS DE L’AVIATION - GUERRE 14-18] — BOURHIS JeanIl mourut des suites d’un combat aérien livré le 14 mars 1916 près de Verdun ; atteint d’une balle au bassin, il trouva l’énergie de regagner son point d’atterrissage et mourut huit jours plus tard. Parti comme simple soldat, il termina sous-lieutenant et chevalier de la Légion d’honneur. Il est crédité de 3 victoires homologuées. Lettre autographe signée, adressée au journaliste Jacques Mortane. Toul, 17 février 1916 [moins d’un mois avant sa mort], à Jacques Mortane ; 7 pages in-8° (dernière page défr.). Extraordinaire lettre dans laquelle il raconte ses vols les plus mémorables pour le journal La Guerre aérienne. Le premier est anodin : la chaufferette de bord de son passager ayant enflammé la doublure de sa veste de cuir, les deux occupants du B1 avaient d’abord cru à un incendie de l’appareil. La découverte de la réalité mit Bourhis de bonne humeur. « Je le fus moins le jour où mon moteur me plaquant en Bochie (au-delà de Lens) je dus m’entraîner au vol plané le plus long… et user de douceur avec mon appareil pour l’amener sans accrocs au-delà des lignes boches. Jamais je n’ai tant regretté le ronflement du moteur qu’on trouve parfois assommant… mais qui couvre si bien le sifflement des balles et rend l’éclatement des obus plus sourd. […] Jusqu’au 10 octobre 1915 rien de bien saillant. Ce jour 10 octobre, j’eus la satisfaction de « descendre » un Boche et cette fois en territoire français. Je ne vous parlerai pas beaucoup du combat qui ne fut guère émotionnant. Je tirai dans de bonnes conditions et dans un temps très court une quarantaine de cartouches et ce fut fini : mon adversaire descendit à pic de 3000 m. Mais la partie émotionnante fut mon atterrissage : j’ai atterri « par bonds successifs » m’ont dit les camarades… et aussitôt hissé sur des épaules robustes j’ai fait dans cette position un certain parcours qui m’a permis de me rendre compte de ce que peut être un voyage à dos c’est-à-dire à bord du vaisseau du désert. » Bourhis a gardé pour la fin son plus beau vol, « le seul vol émouvant, angoissant même ». C’était au mois d’août 1915, en plein midi, par une forte chaleur. Il volait depuis plusieurs heures, son appareil traînant un grappin. « Tout à coup un point noir paraît à l’horizon. Il grandit rapidement et se dirige sur moi. C’est un énorme avion noir barré de croix blanches : un boche ! Attention, nous allons nous rencontrer ! D’un effort violent je lance mon appareil dans un bond vertigineux, au dessus de la sombre machine ! Un choc — Le grappin l’accroche ! Je tire le câble : il tient. Je respire enfin ! mais je suis brisé par l’effort. Au bout du câble, accroché solidement au grappin, l’avion boche vaincu se balance tel un jouet… Je suis joyeux et je ris… je ris… Pendant quelques minutes tout va bien. Puis le moteur faiblit, le vol devient pénible. […] Je ne suis plus qu’à 4350 m et brusquement mon moteur s’arrête : c’est la descente folle, vertigineuse. La sueur à grosses gouttes coule de mon menton. […] La chute s’accentue, une aile casse… tout est noir… je tombe comme une pierre… »
Manuscrit autographe
SOUPAULT PhilippeManuscrit autographe « Istambul ». [Vers 1949] ; 4 pages in-4° avec ratures et corrections, au dos de feuillets à en-tête du « Journal of Applied Physics ».« Peut-on écrire, comme le prétendent beaucoup de voyageurs, qu’Istamboul est sans doute la plus belle ville du monde ? Sans aller jusqu’à ce superlatif, on doit reconnaître que cette cité est d’une beauté incomparable. Toute une littérature a été consacrée à ce merveilleux site et l’on est un peu accablé par tant de louanges. Évidemment cette ville qui fut Bysance, Constantinople, ou Istanboul est auréolée d’un passé glorieux. Le rôle qu’elle a joué dans l’histoire de l’univers autant que l’influence qu’elle a exercé sur les civilisations du monde lui a conféré une sorte de majesté et une impressionnante grandeur. »
Manuscrit autographe
SOUPAULT PhilippeManuscrit autographe [« Célébrité d’un sot »]. [1955] ; 9 pages in-8° avec ratures et corrections, au dos de feuillets à en-tête de l’UNESCO. Cet article sur la traduction française de la Vie de Samuel Johnson de James Boswell (Gallimard, 1954) a été publié dans Le Journal de Genève (28 novembre 1955). « Considérée comme un classique par la majorité des anglo-saxons, la Vie de Samuel Johnson par James Boswell vient d’être traduite en français. Ceux qui avaient lu cette biographie dans le texte originel avaient déjà été frappés par la figure singulière de Samuel Johnson et se demandaient si sa gloire n’était pas la conséquence d’un malentendu. Mais, craignant de ne pas saisir toutes les nuances des conversations du Docteur et de son biographe, ils se gardaient de porter un jugement et s’étonnaient seulement qu’on puisse admirer avec tant de ferveur ce discoureur impétueux et intarissable. »
Lettre autographe signée avec dessin
HAMBOURG AndréLettre autographe signée, adressée au général Bank, directeur d’une revue. 2 pages in-4°, avec dessin autographe représentant son chat Zadig, en tête de la lettre. « Nous voici de nouveau, Nicole et moi, “face au phare” et près de Zadig qui est endormi à l’heure présente, c’est pourquoi je vous envoie son portrait “de mémoire” ! […] Remerciez Madame Bank pour son accueil. Nicole me charge de ses amitiés et de sa reconnaissance. […] L’émission d’hier de Jean Nohain où Nicole a chanté Chevaux de bois a été excellente. Nous venons d’entendre la retransmission et j’ai l’impression très objective que, grâce à vos soins, ces chevaux de bois feront ou devraient faire une bonne petite route ! » Il compte se remettre au travail, lui enverra la photographie d’une des deux toiles de l’automne et le remercie pour tout le mal qu’il se donne pour sa femme et pour lui.
Lettre autographe signée
BRASILLACH RobertLettre autographe, signée « Robert », adressée à Mlle Ennebic. « Canet, lundi 6 septembre, nuit » ; 4 pages in-4°. « Nous sommes toujours à Canet, et toujours dans la-maison-de-la-chambre- qu’-il-pleut, avec les traits d’union chers à Kipling. Nous ne nous sommes pas beaucoup promenés cette année — huit jours — même pas, à Collioure, dont je ne sais pas si je vous ai parlé, ronde ville en étage autour d’un port coquille et bleu avec un clocher rouge-doré par le soleil et des couleurs extraordinaires de lumière partout, à croire qu’on a renversé des pots de peinture dans des pots de miel de soleil. […] Notre vie est toujours la même. Et le Charleston, chose extraordinaire, a, les baigneurs n’étant pas les mêmes, le même succès. Enfin, un mois au moins durant notre vie nous aurons connu ce que c’est le triomphe et la gloire. Vous me reparlez de votre Sylvestre Bonnard : car hélas ! ces vieux messieurs comme vous me les décrivez, j’avais cru jusqu’ici qu’il n’en existait que dans les romans. Ou bien ceux que j’ai connus étaient pleins de charmes envers les autres mais avaient chez eux une victime qu’ils faisaient souffrir. C’est souvent ainsi. D’ailleurs, ne croyez pas que j’éprouve la moindre jalousie envers votre flirt que je souhaite aussi charmant que possible. Vous me parlez de la Fausse Route de Pierre Varillion ? J’en ai pas mal entendu parler, et en bien. Je voudrais bien le lire. Quant à la Gondole à Chimères, c’est de Debroka qui ne manque pas d’un certain “allant” assez drôle. Si vous voulez quelques titres parmi ce que j’ai lu ces temps derniers, lisez : Sous le Soleil de Satan de George Bernanos dont je vous ai parlé — Le Lâche, très beau de Lenormant (illustrations) — Un sujet de Roman, la seule pièce sérieuse et profondément humaine de Sacha Guitry (Illustrations) — 6 Personnages en quête d’auteur et surtout chacun sa vérité de l’admirable Pirandello. » Il lui conseille également de lire les « 13 volumes actuellement parus de Marcel Proust, oeuvre longue, diffuse, ennuyeuse parfois. »
Ensemble de 20 photographies de chanteurs d’opéra en noir et blanc
CHANTEURS D’OPÉRA.Ensemble de 20 photographies de chanteurs d’opéra en noir et blanc. Formats carte postale principalement. On y relève les noms : Otto Wiener, André Dran (cliché Harcourt), Michèle Vilma, Iwan Rebroff, Linda Vajna, Michel Roux, Carol Smith, Pierre Le Hémonet, Montserrat Caballe, Roger Soyer, Anne-Marie Blanzat, Victor de Narke, Amedeo Zambon, Joseph Rouleau, Raina Kabaivamska, Fedora Barbieri, Christiane Stutzmann, Marcel Merkes et Paulette Merval, Gurgneth Jones, Magda Olivero. Bel ensemble.