Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Pièce musicale autographe signée sous un portrait de lui.
PONIATOWSKI Joseph, princePièce musicale autographe signée sous un portrait de lui. 1 page in-4°. Extrait de son opéra Don Desiderio, acte III. Dédicace en italien à M. Scitivaux.
Lettre autographe signée
FRENCH Daniel ChesterLettre autographe signée, adressée à la romancière britannique Mary Kimball Ward. 3 février (ou juin) 1912 ; 2 pages in-8°, sur papier gravé à son adresse à Chesterwood- Glendale, Massachusetts, en anglais.« It seems [...] there is always some important thing over looked and when i had your regret that your name was not linked with her word’s in the book. I felt as if we had indeed committed a gracious sin of omision. I have not yet see the book over i did not appreciate that we had failed to give you the place in ot which should be yours. Of course you know that this was not international. I am very sorry for it. I had to be in Boston at the time the Sculpture Society had it’s meeting in honor of Mrs Ward when the book was distributed to the members, and i suppose mine was left for us. I have not yet received it. I will send the photographe to you tomorrow. The best commission will have a meeting late in this month and i will [...] to find out what it is best to do about the Whashigton. Very sincerely yours. Daniel C. French. »
Lettre autographe signée
HANSI (Jean-Jacques Waltz, dit)Lettre autographe signée, adressée à M. Helsey. Colmar, 5 novembre 1927 ; 2 pages in-4°. Il remercie son correspondant pour son beau livre. « J’ai été très touché surtout de cette affectueuse dédicace et je vous en remercie de tout cœur. Votre enquête a déjà fait beaucoup de bien, elle en fera plus encore sous cette nouvelle forme […]. Ci-jointe la dernière de la maison d’édition Alsatia, pour le cas où vous ne l’auriez pas reçue encore. Cette maison d’édition s’applique méthodiquement à empoisonner la jeunesse alsacienne. Je vois avec plaisir que cette jeunesse ne demande qu’à réagir, on vient me demander conseil et collaboration à chaque instant. […] Je travaille énormément et je n’irai à Paris qu’à la fin du mois. »
Manuscrit musical autographe « Chant Républicain ».
MASSÉ Victor (Félix-Marie dit)Manuscrit musical autographe, signé en tête, « Choeur ».Page de titre et 3 pages in-folio (35 x 26,5 cm).« On nous appelle, nous voici tous »...
Lettre autographe signée
BERNANOS GeorgesLettre autographe signée. Bagnères-en-Bigorre, sans date ; 2 pages in-8°. « Je suis très heureux et très honoré de l’offre aimable que vous me faites, et le “cher maître” me remplit encore de confusion, mais ... Mais je ne crois pas possible, jusqu’à nouvel ordre, de traiter avec un autre éditeur que celui du Sous le Soleil de Satan. Néanmoins votre démarche si généreuse et si courtoise m’autorise sans doute à aller vous faire visite à l’un de mes courts passages à Paris (car je suis plus provincial que jamais !) »
Lettre autographe signée
POULENC FrancisLettre autographe signée, adressée à Mme Fernand Halphen [Alice de Koenigswarter]. Noizay 19 mars [1930] ; 1 page in-4° avec enveloppe timbrée. « Vous êtes mille fois aimable de penser à moi mais le 2 avril est la date de mon départ pour l’Espagne où je vais expliquer aux señoras et aux dingues de la musique moderne française. Je rentre à Paris à la fin de la semaine. Je jouerai le 27 au soir chez Straram mon concerto pour piano et orchestre Aubade. Le connaissez-vous ? Dans l’espoir de vous y voir …»
Lettre autographe signée
POULENC FrancisLettre autographe signée, adressée à Mme Fernand Halphen [Alice de Koenigswarter]. Noizay 15 octobre [1931] ; 1 page in-4° avec enveloppe timbrée. « Vous sachant si bonne et si amie des artistes, je me permets de venir aujourd’hui, vous solliciter en faveur d’un de mes amis musiciens qui doit quitter Paris pour cause de maladie et qui se trouve actuellement dans le plus complet dénuement. Je l’aide dans la mesure de mes moyens mais malheureusement je ne peux à moi seul lui procurer le strict nécessaire et c’est pourquoi je demande à quelques amis charitables de bien vouloir m’aider. J’imagine qu’en cette époque noire on doit souvent frapper à votre porte, aussi je m’excuse bien vivement de faire de même mais j’espère que vous ne m’en voudrez pas de ce geste de confraternité. Je vais passer l’hiver en Touraine car j’ai beaucoup de pain sur la planche. Si vous allez chez votre belle-soeur je compte bien sur votre visite ».
Aquarelle et crayon avec dédicace autographe signée
ROBIDA AlbertAquarelle et crayon avec dédicace autographe signée à son dernier fils Jacques. Circa 1918 ; 24,7 x 16,2 cm sur papier collé sur carton, sous verre.« À mon vieux camarade Jacques Robida. A Robida. ». Sur la gauche : « Croissy (vieille église) ».Au verso de l’encadrement, un long texte autographe signé de Michel Robida [1909-1991]qui décrit la scène: « La terrasse de la vieille église à Croissy sur Seine par Albert ROBIDA mon grand-père - (1848-1926).Cette aquarelle qui se situe vers 1918, représente sous les tilleuls, Mme Th(éophile) Poilpot née Carrier Belleuse, maman, Mme Léo ROBIDA née Jeanne Lemonnier, ma soeur Françoise et moi, assis sur le banc de pierre de la terrasse au-dessus de la Seine. cette terrasse a été détruite vers 1920 pour rectifier le cours de la Seine et la propriété qui contenait l’ancienne église de Croissy a été vendue par mes parents, vers 1922. Cette aquarelle donné par mon grand-père à son fils Jacques a été léguée par celui-ci à ses petits neveux Nicolas et Christophe Grave... qui me l’ont donnée à l’occasion de mes soixante dix ans, en 1979. Michel Robida. »
Photographie signée
TITOPhotographie signée. 17,5 X 12,8 cm. Belle photographie sur papier mat, signée à lencre bleue et datée « 11. V. 1961 ». Très belle pièce.
2 lettres autographes signées du R.P. Edmond de la Villemarqué,
OBSERVATOIRE DE ZÔ-SÈ, CHINE — DE LA VILLEMARQUÉL’Observatoire astronomique de Zô-sè, Chine, fut fondé et dirigé par les missionnaires de la Compagnie de Jésus. Au sommet de la colline rocheuse de Zô-sè, à 25 kilomètres de Zi-Ka-Weï, l’Observatoire possède depuis 1900 une coupole qui abrite un équatorial composé de deux lunettes jumelées de sept mètres de longueur focale et de quarante centimètres d’ouverture destinées, l’une aux observations visuelles et l’autre aux inscriptions photographiques. Pour donner une idée de l’activité de cet Observatoire, mentionnons qu’on y a pris douze mille clichés du soleil destinés à l’étude des taches, dessiné sept mille protubérances, déterminé les positions de plus de quatorze mille étoiles, étudié douze cents étoiles doubles et des amas d’étoiles, calculé les perturbations produites par Jupiter sur les trajectoires d’une centaine de petites planètes, etc. 2 lettres autographes signées du R.P. Edmond de la Villemarqué, directeur de l’observatoire, adressées à M. ou Mme Ducrest. 1941-1943 ; 2 pages in-4°. En-tête imprimé « Observatoire astronomique Zô-sè ».— 8 décembre 1941 : « J’ai été bien touché de la bonté qui vous fait penser aux ermites de Zô-sè, et nous offrir ce charmant cadeau que le P. Dumas vient de nous apporter. […] Merci aussi à Monsieur Ducrest, si dévoué à l’observatoire. J’ai le plaisir d’entendre, à la radio, ses si prenantes conférences ».— 26 décembre 1943 : Il remercie son correspondant pour les présents de Noël qui sont bien arrivés et parle des conditions de vie : « Ici, nous continuons de tenir. La colline se déboise : bois réquisitionnés, bois volés, bois vendus pour acheter du riz, bois transformés en charbon de bois pour la gazogène. Visites de gendarmes et de policiers inspecteurs — Petits ennuis — Aussi quelle joie de recevoir un petit mot de Français ou de vous entendre parfois à la radio. »
Lettre autographe signée
SCHWEITZER AlbertLettre autographe signée, adressée à une dame. Saar-Union 19 octobre 1900 ; 3 pages in-12.Rare lettre de la période alsacienne : « Voilà des semaines et des mois que vos bonnes lettres m’ont trouvé à Strasbourg ? Vous devez trouver que je mets du temps à répondre. Elles m’ont beaucoup touché. La sympathie qu’elles me témoignent me fait du bien. Mais depuis ces semaines d’été, il s’est passé tant de choses, que je ne suis pas arrivé à écrire les lettres les plus pressantes et les plus nécessaires - celle que je vous destinais, rentrait dans le nombre. Il y a eu d’abord mes examens pour le professorat. C’était une quinzaine émouvante. Tout a bien marché. A la fin j’étais à bout. Le médecin m’a défendu tout travail pour des mois. Il n’est pas question que je commence à faire des cours cet hiver. En rentrant à Günsbach (chez mes parents) pour me reposer, j’ai trouvé mon père dans un état assez inquiétant. Il souffrait d’une maladie d’estomac. Nous avions beaucoup de soucis. Il a quitté Günsbach pendant le mois d’août et de septembre pour faire traiter sa maladie à la maison des diaconesses de Fribourg. Pendant tout ce temps j’ai dû le remplacer dans ses fonctions de pasteur à Günsbach. Le voilà remis. Depuis trois semaines nous sommes tout à fait rassurés. vous comprenez que je ne me suis guère reposé pendant ce temps. Pour me changer les idées, j’ai accepté l’aimable proposition d’une de mes tantes de l’accompagner à Oberammergau et au Tyrol. C’était un beau voyage d’automne. La représentation à Oberammergau comme valeur artistique de la pièce, est loin de pouvoir être comparée à la passion de Bacho […]. On m’a défendu la science — je m’occupe de l’art. Je rédige un petit travail sur les chorals de Bach, dont Widor m’a chargé. En approfondissant l’étude sur ces oeuvres poétiques de Bach, je suis tout à fait surpris de découvrir de nouvelles richesses chez lui, dont je ne me doutais pas. »
Huile sur panneau
LEPAPE ClaudePupilles et fleur. Huile sur panneau, signée en bas à gauche.63 x 52 cm.
Lettres autographes signées
CHADOURNE MarcEnsemble de 5 lettres autographes signées, adressées à Jean Cayrol : 19 décembre 1928 ; 2 pages in-4°. « Une expression sur un visage. Le visage ne fut-il quentier ne peut suffire à renseigner sur un être. Javais perçu sur le vôtre cette fraîcheur sinon cette douceur profonde dont vos poèmes massurent aujourdhui. Merci de me les avoir envoyés. Ils tiendront plus de place dans mes souvenirs que sur mes rayons. Ne me traitez pas en aîné. Il ne faut être ni laîné ni le cadet de personne. Na-t-on pas soi-même toujours le même âge ? Gardez le vôtre. Écrivez. Surtout vivez non pour vieillir mais pour vous enrichir. Avec tant de grâce et de rêve au coeur, il nous suffira de vivre pour que la vie fasse les livres que vous écrivez ». 7 février 1929 ; 2 pages in-4°. « Jai été extrêmement pris tous ces derniers temps et obligé de me réfugier dans le midi au bord de la mer pour pouvoir mabsorber dans mon travail et poursuivre un roman pour lequel je suis depuis plusieurs moi. Jai communiqué votre dernier poème que je préfère aux autres, à la revue Européenne, en le recommandant. Ce que jaime dans vos poèmes, cest la spontanéité, la fraîcheur des images. Vous me demandez de vous conseiller... ! On ne conseille pas aux arbustes de pousser : cest pourtant tout de ce que je puis faire. Vivez et faites attention à ce que vous vivez en vous, hors de vous. Que la littérature ne soit pas pour vous un but mais un moyen denrichissement. Mais dabord vivre ce nest pas un mot. » Sans date ; 1 page in-4°. « Je nai pas encore reçu vos cahiers du Fleuve. Je crains quils se soient perdus vers la haute mer. Renvoyez-les moi. Je tâcherai de vous donner une page inédite sur le Mexique sil en reste... » Sans date ; 1 page in-4°. « Merci de votre affectueux souvenir, cher ami. Très touché que vous ayez aimé Absence. En ce moment, je travaille dans le midi. Il y fait une bienheureuse chaleur qui coupe toute envie décrire. En rentrant à Paris, je tâcherai de trouver une page pour votre revue. Sachez que le titre me laisse indécis ». Sans date ; 1 page in-4°. « On me communique votre lettre à la revue demandant la correspondance à Bordeaux. Mais nous navons pas de correspondants en province, du moins payés. Je le regrette. Mais de ce que vous voudrez faire pour notre propagande, merci davance. Pour vos vers ils seront soumis prochainement au Conseil de Rédaction. Merci pour ceux que vous madressez ».
« La jeune fille Violaine »
CLAUDEL Paul« La jeune fille Violaine ». Éditions Excelsior, Paris, Cahiers Latins n°3, 1926 ; 120 X 190 mm, broché. Deuxième version. Édition originale, exemplaire hors commerce sur papier japon (mention « Japon » sur le dos de la couverture et mention manuscrite à lencre : « Exemplaire hors commerce A »). Préface de Jean Royère. Envoi autographe signé : « À M. Georges Pécout bien amicalement P. Claudel. » Très bon état.La Jeune Fille Violaine- Paraît pour la première version en 1892 : cest un drame familial inséré dans la région natale de Claudel, le Tardenois.- La seconde version (notre exemplaire), 1898-1899 : lhistoire paysanne devient un drame mystique du sacrifice et de la sainteté.- La troisième version en est la réécriture sous le titre LAnnonce faite à Marie.
Lettre autographe signée
DESBORDES JeanLettre autographe signée, adressée à Jean Cayrol. Sans date ; 3 pages in-8°. « Je suis réellement flatté et heureux de votre lettre et de lintérêt que chez les jeunes, on semble maccorder. peut-être est-ce parce que ces jeunes sentent que du fond de lâme et des années je suis un des leurs. Et rien ne me touche davantage que cet intérêt. Cocteau mavait parlé de votre revue avec sympathie. Je nai rien en ce moment, comme article, contes, rien de détaché. Je nai pas commencé ce second livre si difficile à présenter et à écrire. Écoutez : voulez-vous, quand la revue paraîtra, mécrire de nouveau ? »