Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Lettre autographe signée
BONNARD PierreLettre autographe signée à une dame. S.l.n.d. ; 1 page in-8°.« Le colis de Montmorillon est bien arrivé et je suis bien reconnaissant de la peine que vous vous donnez pour me procurer ce bon moment gastronomique. Croyez Madame à mes sentiments respectueux et si Mme Lamotte et M. Teriade sont auprès de vous faites leur bien mes amitiés. »Pierre Bonnard évoque Angèle Lamotte [1903-1945], journaliste et critique d’art ; co-directrice, avec E. Tériade, de la revue Verve qui publia ses lithographies.
« MYTHOLOGIES.»
MASSON André« MYTHOLOGIES.» Éditions de la Revue Fontaine, 1946 ; 240 X 320 mm, broché. Un des 250 exemplaires tirés sur papier vergé d’Ingres (exemplaire n°77). Collection l’Âge d’or dirigée par Henri Parisot. Nombreuses lithographies d’André Masson. Texte d’André Masson.
Pièce signée
LÉOPOLD Ier DE SAXE-COBOURGPièce signée. Bruxelles, 18 mai 1849 ; 2 pages in-folio, en partie imprimées à son en-tête, avec pièce jointe manuscrite de 6 pages in-folio et plan aquarellé dépliant, en cahier avec sceau de cire rouge du ministère de l’Intérieur. Brevet d’invention accordé à Charles Rochaz, pour « des appareils destinés à la fabrication de l’oxyde de zinc et son mode d’emploi, brevetés en Angleterre en sa faveur pour 14 ans le 28 février 1849 ». Sont joints le mémoire descriptif signé par l’inventeur, avec précision des appareils et des opérations, et un joli plan aquarellé, également signé. Belle pièce.
Ensemble de manuscrits autographes signés
LIFAR SergeManuscrits autographes signés (l’un de ses initiales). 3 et 2 pages in-8°, en russe (traduction jointe).— Réflexions sur l’Esthétique et la Religion, 20 mai 1938. « En Grèce on aimait la beauté et la religion répondait aux questions posées par l’esthétique, apportait des solutions. En Russie la religion apparaît comme une donnée procédant de la contemplation de la beauté terrestre. »— La Danse et le Rire. Lifar cite ses ballets La vie de Polichinelle où le rire est présent, en soulignant cependant que « quelquefois à travers le rire apparaissent les larmes. […] Comme chez Chaplin ! »
Lettre signée
CHRISTIAN VILettre signée, avec compliment autographe, adressée à la duchesse Maria Elisabeth de Schleswig-Holstein, abbesse de Quedlinbourg. Friedericksberg, 13 janvier 1738 ; 2 pages in-folio. (deuil) ; en allemand. Vœux de nouvel an. On joint une lettre signée de sa femme Sophie-Madeleine née Margrave de Brandebourg [1700-1740], 7 janvier 1736, à la même (2 pages in-folio, réparation).
Tapuscrit corrigé et signé
CALET HenriTapuscrit corrigé et signé « Déjà l’heure du souvenir ». Paris ; 8 pages in-4°. « Grande envie me prend aujourd’hui de parler un peu de l’Algérie, où je me trouvais il y a environ six ans. Il me faut pourtant avouer que je ne l’ai pas bien vue ni même à vrai dire bien regardée […]. En vérité, je comprends à présent que j’étais – encore une fois – resté à la traîne (par l’esprit). Mes pensées ne m’avaient pas suivi là-bas. Cela ne m’étonne point, j’ai fréquemment constaté chez moi ce petit décalage interne. On me croit ici, je suis autre part. »
Grande photographie du studio Harcourt, dédicacée à l’actrice Jeannette Batti
SIHANOUK NorodomPhotographie du studio Harcourt, dédicacée à l’actrice Jeannette Batti [1925-2011]. [1946] ; 24 x 18 cm ; photographie signée par le studio Harcourt, avec le portfolio de la maison Harcourt. « À vous adorable Jeannette. Ce souvenir de votre fervent admirateur, N. Sihanouk. Paris, 22 juin 1946. » Cette photographie a été dédicacée à l’actrice durant son séjour à Paris en 1946. Il rencontra à cette occasion le général de Gaulle. Les archives du roi ont brûlées dans le palais Royal lors de l’arrivée des Khmers rouges.
Grande photographie du studio Harcourt, dédicacée à l’actrice Jeannette Batti
SIHANOUK NorodomGrande photographie du studio Harcourt, dédicacée à l’actrice Jeannette Batti [1925-2011]. [1946] ; 29,5 x 23,5 cm ; photographie signée par le studio Harcourt, avec le portfolio de la maison Harcourt. « À Mademoiselle Jeannette Batti. En très amical souvenir, N. Sihanouk. Paris, 20 juin 1946. » Cette photographie a été dédicacée à l’actrice durant son séjour à Paris en 1946. Il rencontra à cette occasion le général de Gaulle. Les archives du roi ont brûlées dans le palais Royal lors de l’arrivée des Khmers rouges.
Grande photographie du studio Harcourt, dédicacée à l’actrice Jeannette Batti
SIHANOUK NorodomGrande photographie du studio Harcourt, dédicacée à l’actrice Jeannette Batti [1925-2011]. [1946] ; 29,5 x 23,5 cm ; photographie signée par le studio Harcourt, avec le portfolio de la maison Harcourt. « À Mademoiselle Jeannette Batti. En très amical souvenir, N. Sihanouk. Paris, 20 juin 1946. » Cette photographie a été dédicacée à l’actrice durant son séjour à Paris en 1946. Il rencontra à cette occasion le général de Gaulle. Les archives du roi ont brulées dans le palais Royal lors de l’arrivée des Khmers rouges.
Lettre autographe signée
STROUD RobertLettre autographe, signée « Love, Bob, Robert Stroud #594 », adressée à sa soeur, Mamie E. Stroud, Metropolis, Illinois. Alcatraz, California, 19 mai 1952 ; 2 pages in-4° recto-verso. Il évoque ses problèmes de santé de son foie dde ses soins, de ses visites, il évoque une hypothétique sortie de prison, etc. « I am feeling o.k., but there is no danger of that liver getting any better. That is something that does not happen. When the liver starts to harden in a person over fifty, it keeps on doing it. The process may be slowed up by proper treatment and living conditions, but it can’t be reversed. Marc was down to see me Saturday and we had a real nice visit. I had made up my mind not to quarrel with him if I could help it and it developed that he did have some constructive ideas. He admitted that he was wrong in the way he handled that affair last year, but gave as his excuse that he was away in the hole and was trying to get out. He is now doing well […] He seemed very anxious to help me and he said that he now has the money to do it and that he will fly to Washington anytime I think it necessary […] I think he has now become convinced that he can never change me, and will play it my way. If he does, we will get somewhere. […] If things go as ... plan, something can probably be done this summer or in the early Fall, and I think we will be able to see that you do not need anything. If I get out, I know that you will never want, and after the talk we had, I think that he will send you money more often […]. I know that you will be pleased that Marc and I have made up. It was too bad that I had to use the method I did use, but since they have cleared the air». Peu commun.
Ensemble de 2 lettres signées
HAMBOURG AndréEnsemble de 2 lettres signées, adressées à Michel de Saint-Pierre, enveloppes jointes :— Englesqueville-en-Auge, le 5 septembre 1972 ; 2 pages in-4°. Il remercie son correspondant pour son invitation et son « magnifique article. […] Votre fille, que j’ai eue au téléphone, m’a dit que vous rentriez ces jours prochains, et j’espère bien pouvoir vous dire, de vive voix, combien votre article m’a ravi. On se sent soulagé, que cela ait pu paraître dans la presse, et écrit, de cette façon-là par vous. Des réactions officielles se sont-elles manifestées ? […] C’est un véritable combat à mener, contre cette déshumanisation de notre planète, devant laquelle trop restent indifférents... On pourrait penser que cela fait partie d’un complot mondial contre l’intelligence et contre l’homme, pour pouvoir plus facilement le conduire, le mener par le bout du nez... Le soi-disant est contemporain, l’hypocrisie, religion d’État, les murailles de béton, les tours et autres marinas... le mensonge, la prise d’otages, tout cela va bien ensemble. »— Englesqueville-en-Auge, le 22 octobre 1972 ; 2 pages in-4°. « Quel bruit cela a fait dans le milieu peintres. Personne, sauf vous, n’a eu le courage de prendre cette position aussi nette, parmi les écrivains ou les critiques d’art (sauf quelques rares, peu lus, peu connus). Et cela a coûté officiellement dit-on près de 200 millions (réponse à M. Poniatowski)... sans le catalogue, l’éclairage, l’enménagement, le déménagement... etc., c’est-à-dire, en effet 400 millions (ou plus !) […] Certains peintres... des sculpteurs également, pensent que de toutes façons, il serait peut-être bon et utile (en effet, nous pouvons tous nous tromper.... et le Président avoir raison !) pour rendre hommage — déférent — aux déclarations du Pdt, et pour préparer peut-être les futures collections du musée Pompidou ou plateau Beaubourg (sans que, pour une fois, cela coûte quoi que ce soit à l’État), nous pourrions déposer à l’Elysée, un don, à son nom, chacun son petit flacon bien bouché, cacheté même, et daté bien entendu ? De quelle richesse serait en effet une salle, en ce moment, de flacons d’urine (de différentes couleurs... suivant l’âge des peintres... mais on pourrait augmenter l’intérêt de pareilles collections en sollicitant des dons... à différentes époques de leur vie...)... Urines de Michel Ange, de Léonard, de Rembrandt, de Chardin (quelle belle nature morte il en aurait tirée !) »On joint une carte autographe signée où il indique un itinéraire à son correspondant.
Manuscrit autographe signé
POINCARÉ RaymondManuscrit autographe signé « La réception de M. Barboux ». [Février 1908] ; 9 pages in-8°, découpées et remontées sur des feuillets plus grands pour l’impression.Discours prononcé à la réception de M. Henri Barboux à l’Académie française.M. Henri Barboux, a été élu par l’Académie française à la place vacante par la mort de M. Ferdinand Brunetière, y est venu prendre séance le jeudi 20 février 1908.
Lettre autographe signée
MARTIN HenriLettre autographe signée « HM », adressée à un ami. [Fin 1917] ; 4 pages in-8°.Sur son élection à l’Académie des Beaux-Arts (24 novembre 1917).Il a eu « beaucoup à répondre à des félicitations », correspondance « un peu fastidieuse malgré tout le plaisir qu’elle me cause, et je ne saurais la comparer qu’à un pauvre s/lieutenant se promenant dans une garnison de province sur une promenade couverte de pioupious qui saluent, et auxquels il doit rendre le salut. Vous savez, je suis encore tout épaté de me trouver Immortel, et le milieu est un peu vieillot, ça n’est pas une blague, mais on est entre gens bien élevés, et puis sous la coupole, par comparaison, je me trouve moins vieux et presque jeune. Je n’ai pas encore commandé le fameux complet aux broderies vertes, le tailleur spécial s’est présenté le jour même de mon élection et 2 ou 3 fois ensuite... il m’a soumis des échantillons de broderies plus allumées les unes que les autres et aussi le prix de cet ensemble, total 880 F, il n’y a pas de centimes et dire que je suis obligé d’avoir cet outil !! Je suis dans mon atelier agrandi, et c’est très bien. La semaine prochaine j’aurai ma toile agrandie et je pourrai me mettre à la besogne, jusqu’à présent je n’ai travaillé qu’à mes toiles de la campagne, et ça n’est pas encore fini »...
Pièce autographe signée
CHEVALIER MauricePièce autographe signée. [1960] ; 1 page in-4°. Reproduite pleine page dans le programme (joint) des Compagnons de la Chanson pour la saison 1960-1961 (8 pages, 31 x 23 cm, plus la couverture).« Les Compagnons de la Chanson sont dans le monde du spectacle la marque de l’avance des temps.- talents rassemblés de chaleur et d’harmonie, ils forment un groupe qui porte magnifiquement dans tous les coins du monde les plus belles chansons de France. Ils ont gagné la sympathie et le respect de ceux qui passent pour avoir ennobli la mélodie populaire. Ils ont le rare mélange de classicisme et de modernisme qui fait que toutes les vagues de publics y trouvent leur satisfaction. Ils sont - parmi ceux que j’ai vu apparaître - des purs.Bonne route chers Compagnons. Maurice Chevalier. »
Lettre autographe signée
JAMMES FrancisLettre autographe signée, adressée à Léon Zack. Hasparren, 20 juillet 1933 ; 3 pages in-4°, enveloppe jointe. Francis Jammes évoque sa vie à Hasparren, en comparaison à la vie parisienne : « Il est certain que sur cette côte, d’Hendaye à Biarritz, le malaise est plus grand qu’ailleurs, endettement par une cherté de vie dont il est difficile de se faire une idée. D’autre part, les indigènes […] y sont assez sots, pas avertis, et subissent en ce moment, avec une exagération en sens inverse, la crise économique […]. Je sais une mauvaise petite villa, en ciment armé, qui s’est louée alors 80 000 francs à des Américains pour deux mois et que l’on ne vendrait peut-être pas aujourd’hui pour 40 000 francs [… ]. Moi-même je suis dans l’inquiétude, avec une maison de douze personnes à faire marcher. Oui, les journaux sont pleins de mon nom et les argus me coûtent cher. Mais quand j’essaye de relancer mes éditeurs, autant espérer tirer du sang d’un navet. »