Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Lettre autographe signée, adressée à Hudson Lowe
LAS CASES Emmanuel, comte deLettre autographe signée, adressée à Hudson Lowe. 20 décembre 1816 ; 3 pages 1/2 in-folio. « J’ai l’honneur de vous adresser ma lettre au Cte Bertrand, relative à l’offre verbale que vous avez bien voulu me faire de retourner à Longwood. Si dans ma lettre du 18 janvier l’honneur de vous mander que j’attendrais pour lui escrire votre première visite ; c’est que ma facilité en affaires me portait à vous montrer d’avance les brouillons de ces lettres afin de prévenir toute difficulté ultérieure de votre part. Je vous l’envoye aujourd’hui parce que je me trouve pressé par la lettre que je reçois de vous en cet instant. J’ai l’honneur de vous accuser réception de cette lettre du 20 ainsi que de votre décision du même jour, relative à ma déportation au Cap. Je vous prie, Mr le Gouverneur, de vouloir bien aussi m’accuser réception, ne fut-ce que pour la forme, de mes lettres du 30 9bre, du 2, 4 et 18 Xbre demeurées sans réponse jusqu’à ce jour et dans lesquelles je me retirais de ma sujétion volontaire ; je vous sommais (autant que la circonstance l’admettait) de me rendre à la liberté ; je protestais contre la séparation de mes papiers ; je vous ferais connaître l’état déplorable de la santé de mon fils et de la mienne, vous demandant d’être envoyé immédiatement en Angleterre soit pour y être jugé s’il y avait lieu, soit pour y trouver les secours de la médecine, vous offrant d’avance toutes les suretés qui pourraient équivaloir à la quarantaine du Cap et vous observant qu’ici et dans un cas aussi particulier, je voulais que la lettre de vos instructions put vous mettre à l’abri de leur esprit invoqué par la supériorité des lois de S.R. Dès que vous m’auriez mis à même, Monsieur, de connaître le désir de Longwood, je m’empresserai de vous faire parvenir mon choix comme aussi mes observations sur votre décision à mon égard. Une chose m’y a frappé en la parcourant des yeux : c’est que quelqu’un dont la délicatesse s’est trouvée heurtée par l’expression furtive et qui a rencontré une personne aussi empressée à l’effrayer, n’ait pas été plus ménagé dans le choix du mot seducing si faussement appliqué dans votre décision. N’importe, cette circonstance ou tout autre ne sauraient me faire repentir jamais d’avoir suivi l’impulsion de mon cœur vis-à-vis de qui ce soit. J’ai l’honneur d’être, Monsieur, votre très humble serviteur. Le Cte de Las Cases.P.S. Oserai-je vous demander encore, si vous persistez toujours au changement de demeure dont vous m’avez si souvent parlé. Outre l’inconvénient que j’ai eu l’honneur de vous mentionner et que vous me dites avoir si bien saisi vous-même, il est encore l’état de mon malheureux enfant dont les progrès alarmants et journaliers demanderaient des soins suivis. Vous m’avez dit que notre nouvel endroit serait plus sur la route des secours. Nous en sommes ici tellement éloignés que nous ne pouvons être que très mal. Une autre chose (vraiment je suis trop malheureux) c’est que mon fils insensiblement ne peut plus écrire. Je n’y vois pas et vous jugerez que je ne saurais écrire moi-même Ne me serait-il pas possible d’obtenir sous peu de jours un copiste. J’ai tracé quelque chose touchant des objets relatés dans nos conversations. Je ne puis vous l’envoyer faute de pouvoir le faire retranscrire. Pourtant cela pourrait vous être utile et me rendrai heureux si je pouvais par là devenir l’instrument de quelqu’amelioration. »
Diplôme de chevalier du Saint-Empire
LETTRES DE NOBLESSE — LÉOPOLD 1erDiplôme de chevalier du Saint-Empire, décerné à M. Erasme Fovllok, signé par Ferdinand III. Donné le 5 juillet 1653 ; 13 pages in-4° (255 x 305 mm) dont 1 page avec armoiries. Le manuscrit est relié sous une couverture en velours rouge (reliure de l’époque, un peu passée), rubans attenants ; 2 perforations dans les plis du manuscrit, uniquement sur les pages 1 à 6 et dans le dos de la reliure, comme si c’était pour le garder ouvert à la page des armoiries. Manuscrit sur vélin calligraphié à l’encre brune et en lettres d’or, la 7e page est entièrement ornée d’une grande aquarelle à l’or et couleurs représentant les armoiries. Le manuscrit débute par une belle page calligraphié en lettres d’or et encre « Ferdinandus Tertius Divina Favente », etc. Le nom du récipiendaire figure en lettres d’or dans le manuscrit. Ce diplôme est délivré à Erasme Fovllok. Ces armoiries furent enregistrées le 5 juillet 1653. Beau et précieux document.
Manuscrit musical autographe signé
GOUNOD CharlesManuscrit musical autographe signé. En tête de la page de titre, Gounod a inscrit un envoi : « à mon amie Bénédicte ».« L’anniversaire des Martyrs. Paroles de l’abbé Dallet, missionnaire apostolique. Musique de Charles Gounod » Avec sa signature en bas de la première page. [1870] ; cahier de 8 pages petit in-4 (27 x 17,5 cm) précédées de faux-titre et titre, plus 3 pages autographes.Cantique, sur des paroles de l’abbé Dallet, missionnaire apostolique, composé en 1869 : « Ô Dieu ! de tes soldats la couronne et la gloire ! »…L’œuvre est écrite pour chant avec accompagnement de piano à quatre mains, en ré majeur, à 6/4, Moderato e molto maestoso. Après une introduction instrumentale de 5 mesures, vient un couplet de 25 mesures, suivi d’un refrain de 20 mesures. Sur un feuillet à part, Gounod a écrit la partie de chant avec les trois couplets (musique et paroles).
Poème autographe signé « La Maison du berger »
VIGNY Alfred, comte dePoème autographe signé « La Maison du berger - Poëme philosophique ». 1844 ; 4 pages in-4° oblongues, reliées en un volume in-4° oblong (28,3 x 21,2 cm), bradel demi-maroquin noir, pièce de titre de maroquin noir au premier plat. Important fragment (70 vers) d’un des plus célèbres poèmes de Vigny, chef-d’œuvre de la poésie romantique.Précieuse copie, soigneusement calligraphiée, destinée à un album, datée de l’année de sa première publication dans la Revue des Deux Mondes du 15 juillet 1844.Comme le précise Vigny lui-même, en tête du manuscrit, il s'agit d’un « fragment », correspondant aux strophes 10 à 19 (seconde moitié de la première partie du poème) dans lesquelles Vigny décrit et dénonce le chemin de fer, « taureau de fer qui fume, souffle et beugle », vainqueur du temps et de la distance, pourtant si favorables à la rêverie amoureuse.« ... Évitons ces chemins. — Leur voyage est sans grâces,Puisqu'il est aussi prompt, sur ses lignes de fer,Que la flèche lancée à travers les espacesQui va de l’arc au but en faisant siffler l'air.Ainsi jetée au loin, l’humaine créatureNe respire et en voit, dans toute la nature,Qu’un brouillard étouffant que traverse un éclair... »Ce manuscrit est d’autant plus précieux qu'on n’en connaît, à l’heure actuelle, aucun manuscrit complet. Proust appréciait La Maison du berger et André Breton écrivait à son propos qu'il « marque une des culminations les plus éclatantes, les plus vertigineuses de l’amour-passion. ».Ancienne bibliothèque R. et Bernard Loliée.
Livre aux armes
Louis-Philippe« À travers la Bretagne ». Souvenirs et Paysages. Chez Lévy Frères, Paris, 1865 ; 1 volume in-12. Deuxième année dédition. Belle reliure en maroquin rouge, dos orné à nerfs, plats aux armes de Louis-Philippe Ier avec la charte de 1830 au centre. Dentelles intérieures, toutes tranches dorées. Reliure de E. Pouget. Très bel exemplaire.
Lettre autographe signée
DIAGUILEV Serge deLettre autographe, signée « SD », adressée au libraire Paguerre. Varsovie 10 octobre 1928 ; 3 pages et demie in-8°; en russe. En-tête Polonia Palace Hotel. La facette du bibliophile chez Diaguilev : Il explique que quelques livres parmi ceux qu’il a reçus ne sont pas en bonne condition : le livre sur le chant d’église de 1772 doit être en deux parties et il n’y en a qu’une. Le livre Les Russes peints par eux-mêmes de 1841 est aussi incomplet du second volume. Il énumère ensuite les livres dont il aurait besoin, en particulier des éditions anciennes de la Bible.... Puis il prie son correspondant de lui envoyer à Paris la liste des livres qu’il a à vendre : livres russes de 1700 à 1840 et livres slavons des XVIe et XVIIe siècles... Rare.
Pièce autographe, signée en tête
CAPOTE TrumanPièce autographe, signée en tête, intitulée « Katie The Elevator Girl ». 8 janvier 1936 ; 1 page 1/2 in-4°, écrite sur une feuille d'écolier. Trous d'archivage. Ce texte a été écrit par Truman Capote, à l'âge de 11 ans, pour un devoir d'école anglais. « It was a bright hot July morning, as a rather sagged [sic] faced old woman was walking into a very ? Bank. As she went into her locked room, she met Jake the janitor of the building of which they exchanged morning greetings. Then she said to herself doggone I forgot to pack up Herbert's red flannels (for this was her husbandd [sic]). I bet he will be as sore heck [sic]. » The story continues with a character called Sadie slipping on some soap across a marble floor towards the clerk's desk, at which point the story becomes ever more surreal, with Sadie heading to the top of the building, where she exchanges jokes with the freight elevator man, and tells a story about a fortune-telling incident. In fine condition, with mild overall toning. Although Capote's most enduring shorter work, Breakfast at Tiffany's, was published in 1958, he had begun writing fiction age twenty-two years earlier in 1936 at the age of 11. As he recalled, I began writing really sort of seriously when I was about 11. I say seriously in the sense that like other kids go home and practice the violin or the piano or whatever, I used to go home from school every day, and I would write for about three hours. I was obsessed by it. Here is one of those earliest works by Capote, written in his own hand for an assignment when he was a student at The Trinity School in New York City. A wonderful example of a budding literary style and humor which he would perfect over the next forty-eight years.
Manuscrit autographe signé
BOURDOIS de LA MOTHE Emmanuel JoachimManuscrit autographe signé intitulé « Faut-il sevrer le Roi ? ». Meudon, 2 mai 1812 ; 4 pages in-4°. Très intéressant et exceptionnel document sur le sevrage du Roi de Rome. « Des 20 dents qui composent le systeme de la première dentition douze sont deja sorties. Aucun accident grave n’a signalé les six premières, mais les six qui ont succédé ont produit de la douleur, un peu d’altération dans les fonctions digestives, de l’affaiblissement et de la maigreur. Pendant ce tems le lait seul de la nourrice a soutenu le Roi. Tout autre aliment , en quelque quantité et sous quelque forme qu’on le présentat répugnait à son estomac et en etait rejetté. […] Mais dira-t-on la pâleur du Roi, ses forces moins grandes qu’on pourrait le désirer, […] et le grand embonpoint de la nourrice, ne sont ce pas la des raisons impérieuses d’accélerer le moment du sevrage ? A toutes ces objections que je me suis faites depuis longtemps je répondrai dans la conscience de mon devoir et de l’immense responsabilité dont je suis chargé. 1° que la paleur du Roi tient au moins autant à sa constitution qu’au lait de sa nourrice, puisqu’il est de fait que le propre enfant de cette nourrice, dans le moment même où il ne vivait que de son lait, se faisait remarquer par l’intensité de ses belles couleurs. 2° que si les forces du Roi paraissent en retard, il faut en accuser la pousse rapide et je dirais presque précoce de 12 dents avant 13 mois. […] 3° que la constitution et l’embonpoint de la nourrice ont depuis longtems excité mon attention et ma surveillance, mais que m’étant journellement convaincu que presque jamais le Roi n’avait vomi son lait, tandis que bien souvent il a rejetté les autres alimens. […] Mais jusqu’à quelle époque le Roi doit il têter ? Mon opinion est que ce soit jusqu’au moment ou le travail actuellement commencé des deux incisives inférieures et des deux canines supérieures soit complettement achevé. […] Je pense aussi que s’il est avantageux de se reserver la ressource de la nourrice, il n’en faut pas moins chercher à diminuer journellement la quantité de l’allaitement, augmentée autant que l’estomac du Roi le permettra, celles des autres alimens et insister de plus en plus sur tous les moiens d’hygiene et de médecine qui peuvent donner au Roi une force tonique plus considérable. Le medecin des Enfants de France Bourdois. » Texte important.
Manuscrit autographe signé.
BERNANOS GeorgesManuscrit autographe signé. 3 mai 1944 ; 4 pages 1/4 in-4°. Premier message adressé par G. Bernanos à Radio-Brazzaville. Ce message a été diffusé seulement le 15 mai 1944. « C’est la première fois que je parle aux Français d’un poste de radio situé en terre française. Que mon premier mot soit pour les Confesseurs et les Martyrs de la Résistance Nationale. Pour les morts d’hier et aussi pour ceux de demain. À cet instant même, à Paris ou dans quelque lointain chef-lieu de province, il y a l’homme auquel je pense, auquel nous allons penser tous. C’est celui qui vit ses dernières heures entre sa chaise et sa paillasse, dans la cellule éclairée jour et nuit, avec le règlement de la prison accroché au mur […] il écoute sonner les heures... Français, l’homme qui va mourir est peut-être l’un de ces garçons de seize à huit ans que la Résistance ouvrière, Dante et foyer de la Résistance Française, donne par centaine à la Nation. Il y a quelques jours, la police est venue le prendre à la porte de l’usine, dans le soir louche, et ses copains ne s’en sont même pas aperçu... […] La France n’est pas toute entière en ce moment autour de cet enfant qui va mourir, voilà le crime et la honte. Le crime retombe sur un certain nombre de français indignes, déchus, déshonorés, destitués, mais la honte rejaillit sur nous tous. Le sang de ce martyr ne la lavera pas — son sang ni ses larmes — ses larmes également sacrées, car il est bon qu’un garçon de seize ans pleure comme un enfant avant de mourir comme un homme. »
Photographie signée
HUGO VictorPhotographie signée « Victor Hugo ». Format carte de visite. Belle épreuve malgré quelques piqûres, sur papier photo rose, par Arsène Garnier, photographe à Guernesey (vers 1869). Buste de face : regard perçant, main de droite sous son gilet à la manière de Napoléon !
Manuscrit musical autographe signé
GOUNOD CharlesManuscrit musical autographe signé. En tête de la page de titre, Gounod a inscrit un envoi : « à mon amie Bénédicte ».« L’anniversaire des Martyrs. Paroles de l’abbé Dallet, missionnaire apostolique. Musique de Charles Gounod » Avec sa signature en bas de la première page. [1870] ; cahier de 8 pages petit in-4 (27 x 17,5 cm) précédées de faux-titre et titre, plus 3 pages autographes.Cantique, sur des paroles de l’abbé Dallet, missionnaire apostolique, composé en 1869 : « Ô Dieu ! de tes soldats la couronne et la gloire ! »…L’œuvre est écrite pour chant avec accompagnement de piano à quatre mains, en ré majeur, à 6/4, Moderato e molto maestoso. Après une introduction instrumentale de 5 mesures, vient un couplet de 25 mesures, suivi d’un refrain de 20 mesures. Sur un feuillet à part, Gounod a écrit la partie de chant avec les trois couplets (musique et paroles).
La galerie, une des plus avant-gardiste de lépoque (dadaïsme et lettrisme)
LIVRE DOR DE LA GALERIE LES MAINS LIBRES DE CHANTAL ET JEAN PETITHORY. 1970-1972.La galerie, une des plus avant-gardiste de lépoque (dadaïsme et lettrisme) était située au 2 rue du Père Corentin dans le 14e arrondissement de Paris. Pablo Neruda : pensée autographe signée avec dessin de fleur, datée du 30 avril 1970. Jussaud (?) : belle dédicace signée Alain Jouffroy (1928-2015) : belle dédicace autographe signée encadrée dans une enveloppe dessinée datée du 29 septembre 1971. Gyula Illyes (1902-1983) ; poète hongrois : dédicace avec dessin de fleur. Henri Maccheroni (1932-2016) ; peintre et illustrateur (il exposera à la galerie en 1973) : lithographie numérotée (12/66) et signée au crayon, contrecollée sur une page avec dédicace autographe signée datée doctobre 1971. Gérard Vulliamy (1909-2005) ; peintre suisse surréaliste, fondateur de la revue clandestine la Main à Plume ; il y sera rejoint par Edouard Jaguer, Domingez, Magritte, Arp, etc. : très belle dédicace autographe signée à Chantal Petithory « pour quelle enchante la forêt de ses rêves » de décembre 1972, sous le collage dun dessin surréaliste à la plume signé de lui daté de 1935 (18 x 13,5 cm) intitulé « chasse au faon rose ». Anne Ethuin (1921-2009) ; peintre surréaliste, fondateur de « Phases » avec son mari le poète Edouard Jaguer, qui y seront rejoints par Picabia, Alechinski : belle dédicace autographe signée à Chantal (« pour Chantal qui eût enchanté le temps des enchantements »), sous un très joli collage revêtu gouaché signé (23,5 x 16,5 cm), représentant des soldats moyenâgeux attaquant un monstre ailé, contrecollé sur la feuille. Edouard Jaguer (1924-2006) ; poète et dessinateur surréaliste, fondateur de la Main à Plume, rédacteur de la revue Cobra, et fondateur de la revue Phases et du mouvement eponyme : dédicace autographe signée sous un dessin signé et daté de 1972, représentant de gentils monstres, contrecollé sur la page de dédicace. Somlyo Györsi (1920-2006) ; écrivain et poète hongrois : pensée autographe signée en référence à son compatriote Illyes, datée du 20 octobre 1972. François Dufrêne (1930-1982) ; plasticien et poète lettriste, spécialiste de laffiche lacérée : affiche lacérée collée et pliée (30 x 54 cm déployée), avec la mention manuscrite sur la page où elle est collée : « le 18 novembre [1972], rue du Père Corentin vraiment ! » [Ce qui signifie que laffiche a été lacérée ce jour-là, dans la rue où est située la galerie]. François Dufrêne : texte autographe surréaliste calligraphié en deux dimensions sur une page entière : « en 2 lignes comme Neruda, mais verticales. Cest dit pour Chantal évidemment » avec un dessin de spirale rayonnante. Aude Jessemin (née en 1937) ; peintre lettriste, la principale femme de ce mouvement, épouse de Jacques Spaccagna (1936-1990) , principal représentant de ce mouvement avec Dufrêne et Isou : magnifique collage (24 x 16 cm) représentant un arbre surréaliste, contrecollé sur la page de dédicace « Pour Chantal », « les mains libres, jécoute » et signature.Références à lexpo « Le domaine des enchanteurs » de Marcel Duchamp et André Breton.
Aquarelle en forme déventail sur papier calque
ROY Louis3 jeunes filles aux cruches à la fontaine. Aquarelle sur papier calque. Signée en bas à droite avec son monogramme et sa signature. Datée 1902. 14 x 28 cm.
Dessin original à lencre.
COCTEAU JeanDessin original à lencre. [Circa 1960] ; 27 x 21 cm. Couple nu, homme et femme, en bonnet phrygien, entourés doiseaux, peut-être les pigeons du Palais-Royal, dont on devine les arcades au loin.
Lettre autographe signée
GAULLE Charles deLettre autographe signée adressée à (Mr Sorel Jean Albert ?). Le 27 Juin 1950, en-tête “ LE GÉNÉRAL DE GAULLE ”, deux pages in-8°. « Cher Monsieur, Votre “ Histoire de France et d’Angleterre ” je l’ai lue avec un très grand intérêt. Vous peignez parfaitement bien ce drame perpétuel qu’est pour l’Europe l’insularité anglaise par rapport à l’instabilité française. Vous avons pu faire l’accord “ in extremis” par l’entente cordiale puis par le 18 Juin. Mais tout reste encore à faire, maintenant come toujours. En vous remerciant de votre envoi et de votre dédicace - qui m’a touché - ».