Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Pièce signée
CHARLES X Charles Philippe, comte d’Artois puisPièce signée « Charles Philippe ». Versailles, 1er avril 1779 ; 1 page in-folio sur papier. En-tête manuscrit « Nous Charles Philippe, fils de France, Frère du Roy, Comte d’Artois, Colonel-Général des Suisses et Grisons ».Il certifie que de l’agrément du roi, il nomme Jean-Baptiste Knusert du canton d’Appenzell pour exercer la charge de lieutenant de la compagnie du dit régiment. Sceau à sec en du Comte d’Artois.
Correspondance
GUIREC JeanCorrespondance de 16 lettres autographes signées, adressée à R. Vigo, président des Écrivains et artistes de Champagne. 1958-1985 ; pages de formats divers.Très intéressante et dense correspondance :« J’avais demandé mi-mars à notre ami Charles Thibault de s’entendre directement avec vous. » (21 juin 1958) ; « Je sors du Comité des Gens de Lettres qui vient de vous élire Sociétaire à l’unanimité des voix. Je tiens à vous annoncer tout de suite cette brillante élection et à vous en féliciter de tout cœur. » (29 juin 1958).« Votre action est efficace, même si vous ne venez pas à nos réunions. Je vous considère comme notre membre du Comité le plus éminent, le plus solide et le plus utile. » (18 mars 1959) ; « Heureux message de votre amitié et de votre talent, votre dernier livre nous est arrivé fin décembre. Ma femme l’a lu aussitôt et l’a beaucoup apprécié ; elle vous félicite sincèrement pour ce beau roman, original, très attachant. » (24 février 1959) « Ce que vous pourrez faire dès maintenant, c’est contribuer à créer un mouvement en faveur d’une belle réélection au Comité pour moi et de mon élection à la Présidence. » (24 juin 1959) ; « J’achève la lecture des Jeux imprudents […]. Quelle joie, de l’esprit et de l’amitié ! Quelle révélation — excusez le mot — car si heureusement averti que je fusse de votre talent, je n’attendais cependant pas un tel livre dont la résonance est si forte, l’atmosphère si pressante, le style si ferme et si cadré. […] Je vous félicite. Oui, je vous dis, en homme qui comprend et dénote ces choses de la création littéraire, que vous avez affirmé, avec les Jeux Imprudents, un tempérament et un métier de romancier qui a de l’originalité, de la puissance et de l’accent. » (22 août 1959) ; « Je ne sais plus si je vous ai félicité pour votre ruban Arts et Lettres, mais […] je tiens à le faire ou à le confirmer de tout cœur. Et je profite de ce mot pour vous dire que votre dernière lettre m’a beaucoup touché, et pour vous apporter tous mes encouragements et mes voeux de travail littéraire. » (14 novembre 1959).« J’ai appris avec beaucoup de peine que la fin de l’année avait été marquée pour vous par un grand deuil, et je tiens à vous exprimer d’abord mes condoléances bien vives, nos sympathies très attristées et celles des Écrivains de Champagne. » (11 janvier 1960).« Vous avez parfaitement organisé la soirée, vu la présence du Ministre et des personnalités...Évidemment notre ami Arnaud a été un peu long et “orienté”. Mais dans l’ensemble, ce fut un succès pour les écrivains et artistes de Champagne. » (22 novembre 1977). « Je suis confus que l’information littéraire le plus souvent défaillante à l’heure actuelle m’ait privé de vous écrire spontanément. Le regret aussi — et d’autant plus — de ne pas m’être trouvé à Troyes le 21 juin auprès de vous et des jeunes amis fraternels. » (10 juillet 1979). « Je tiens à vous dire tout de suite que je reçois aujourd’hui votre Tragédie à Clairvaux dont la dédicace m’a touché beaucoup, en attendant le très vif intérêt que je prendrai à la lecture. » (12 juillet 1979) ; « Voulez-vous me dire si vous recevez bien le Cerf-volant ? Dans la négative, je vous en ferai parvenir un exemplaire et pourrais à votre choix, en adresser un autre à Arnaud. » (14 novembre 1979). « En ce qui concerne mon activité littéraire durant l’année 1980, il n’y a rien à en dire, à moins que vous ne jugiez utile de reparler de Jean Guirec, romancier de l’Humain et de l’Absolu » (1er mars 1981).« Je me souviens très bien d’André Planson qui était, comme moi, mais par la peinture, Lauréat de la Fondation. » (3 février 1982). « Je n’ai pas connu Henri Vendel, ne l’ayant même pas rencontré ! et […] je ne me sens pas capable de rendre hommage à sa mémoire […] Je n’ai appartenu aux Écrivains de Champagne qu’assez tard, sur la demande de Gandon […] Marcel Arland est assez fatigué, il n’est pas venu au déjeuner annuel des Amis de Rimbaud » (13 mars 1983) ; « La mort d’Armand Lanoux m’a profondément et douloureusement bouleversé, il était pour moi un ami fraternel » (4 avril 1983).Il est question de la célébration de Gaston Bachelard « lors d’un banquet au Procope » et de Jean Follain (2 avril 1985).
Lettre autographe signée
BRISSAC Jean-Paul Timoléon de Cossé-Brissac, duc deLettre autographe signée, adressée à l’abbé Alary, prieur de Gournay et membre de l’Académie française. Paris, 20 septembre 1768 ; 1 page 1/2 in-4°, adresse avec cachet de fermeture avec armoirie sur cire noire. (Ancienne vente Charavay, 1961).Très amusante lettre dans laquelle il regrette que son âge l’oblige à respecter le beau sexe. Il attend avec impatience le retour de son cher abbé « qui seul instrumente ma joye et mon plaisir, car il ne vous manque que des cornettes pour estre ma maîtresse chérie mais je ne vous nourirai que de meringues car je ne veux pas blesser un régime que nos âges exigent, cher abbé ... »
Lettre autographe signée
LETTRE DE SOLDAT.Lettre autographe signée, adressée à sa femme. « Sur les hauteurs d’Ekersberg le 15 octobre 1806 » ; 1 page 1/2 in 16, trace de marque postale de la Grande Armée. « Nous avons eu hier, ma bien chère amie, une grande bataille contre l’armée du roi de Prusse ; la Victoire s’est rangée de notre côté, l’ennemi se retire de toutes parts et déjà un parlementaire est venu demander un armistice ; nous marcherons aujourd’hui en réserve et peut-être ne donnerons nous plus dans la campagne, car il serait possible que la Paix se fasse à la suite de nos succès. Lagoublaye a été blessé ; pour moi, ma bonne Léna, je suis sain et sauve et je me porte bien ; sois sans inquiétude, je n’ai pas même été blessé. J’ai vu dernièrement le Gal Oudinot, il se portait bien. Présentez mes hommages à Me La Me Soult et recevez ainsi que nos enfants mes plus tendres baisers. Gautier. » On joint une lettre autographe à la troisième personne datée de 1801.
Lettre autographe signée
GORZ AndréLettre autographe signée, adressée à Jean-Paul Sartre. 6 juin 1971 ; 3 pages 1/2 in-8° à l’encre rouge sur papier glacé. « C’est toujours avec retard que vos sorties incidentes (mais quand sont-elles incidentes ?) me travaillent. Et alors je me dis : “ Un de ces jours, il ne sera plus d’accord avec moi tandis que je serai encore d’accord avec lui. Ou avec ce que vous aurez cru comprendre de moi et moi de vous. De vous, en l’occurrence, je comprends que vous ne souhaitez accorder aucune position privilégiée dans les TM à aucun courant ou groupe et je suis d’accord avec vous. Mais d’où vient alors que vous me soupçonnez de “double allégeance” vis-à-vis du “Manifesto” ? De ce que j’ai dit ? Sûrement pas. » Il cite les quatre textes publiés. « Enfin, depuis la création du Manifesto, il m’a été offert au moins trois fois d’être le collaborateur permanent, le correspondant permanent, ou, au moins, occasionnel du groupe. J’ai toujours refusé, tout en les laissant libres de publier ce que je n’écrirai pas exprès pour eux. »
5 lettres autographes signées
[Comte de CHAMBORD] MONTBEL Guillaume-Isidore, baron de5 lettres autographes signées, adressées au comte de Rochelines, lieutenant colonel dartillerie en 1838 attaché à létat-major de Son Altesse Impériale le Grand Duc Michel à Saint-Pétersbourg. 1845-1849 ; 13 pages in-8°.Intéressantes lettres : 1845 : « Jai lu attentivement les memoires que vous mavez fait parvenir et je les ai remis à Madame la comtesse de Marnes : ils font honneur à vos principes politiques, à votre bravoure et à vos talents militaires. Puisque vous me demandez mon avis, jajouterai quil y a toujours de graves inconvénients à montrer au public les faiblesses et les torts des grands personnages encore vivants, par là on risque de leur enlever le respect qui devrait du moins entourer et consoler leur infortune et lon fournit des armes à ceux dont les mauvaises passions repoussent les princes legitimes en leur imputant une nullité absolue de caractère et de capacité [ ]. Il est dans les idées de Monsieur le duc de Chambord dapporter la plus grande réserve dans ses jugements. Surtout à une époque de récrimination tatillonne ». Janvier 1848 : la comtesse de Marnes [la duchesse dAngoulême] a reçu son poème : « Le siècle nest pas poétique. Les hommes de notre époque qui ont le plus de talent ne trouvent pas de lecteurs pour leur publication en vers. Le théâtre est le seul assisté des muses. On écoute languissamment une tragédie plus gaiement une comédie, beaucoup plus volontiers un mesquin vaudeville. Telle est notre époque ! Je suis loin de lui en faire mon compliment. Par suite les journaux se taisent complètement sur les poëmes, parce que leur premier soin est de servir le public en suivant son gout. Monsieur le comte et Madame la comtesse de Chambord sont allés passer lhyver à Venise. Nous en avons de bonnes nouvelles, ainsi que de Madame la Princesse héréditaire de Parme qui se trouvait à Turin. » Vienne, 29 novembre 1848 : « Votre lettre a été remise à Monsieur le comte de Chambord [ ]. Il compte sur la loyauté dont vous avez donné des preuves dans tant de circonstances.[ ] Monsieur le comte de Chambord est un prince instruit dun esprit remarquable, et ce qui vaut mieux encore doué dune grande rectitude de jugement. Ses ennemis ne peuvent pas lui reprocher de fausses démarches. Dernièrement lun deux a lu à la tribune de lAssemblée une lettre du comte de Chambord. Toute lEurope a pu juger de lélévation de ses pensées et de ses sentiments, et jamais pareil ennemi ne fut plus maladroit. Deux camps opposés partagent la société actuelle : lun combat pour lordre, lautre pour le désordre. Lon voit le bien dans la subversion de toutes les institutions sociales, lautre voit le mal dans la destruction de la propriété de la famille, de lautorité gouvernementale ; lun appelle progrès la révolte de Lamberg, à Francfort par lassassinat de Lichnowsky et dAuerswald à Prague par lassassinat de la princesse de Windischgratz, à Vienne par lassassinat de Latour. Lautre appelle ce progrès par son nom, un mouvement rétrograde vers la barbarie des hordes sauvages des forêts [ ]. Ainsi jai vu bon nombre de magnats hongrois soutenir avec un enthousiasme frénétique les progrès de Kossuth qui les a anéantis et en a déjà fait pendre quelques-uns [ ]. M. le comte de Chambord sait que lhumanité progresse nécessairement parce que comme le dit si bien Pascal, lhumanité est un homme qui apprend toujours. [ ] De toutes les stupidités la plus niaise est celle des aristocrates qui applaudissent aux idées dont lapplication est leur anéantissement. » Frohsdorf, 3 février 1849 : il lui annonce quil peut compter sur lintérêt de la comtesse de Marnes et du comte de Chambord et quil ne veut pas de relation avec la famille impériale russe : « Ils ne sont pas en correspondance avec la famille impériale. Ils se sont fait une loi dobserver à cet égard la plus grande réserve. Bien des circonstances leur ont appris que le malheur doit se respecter lui-même et quil ne doit pas se faire accuser dindiscrétion. Nous avons souvent entendu dire : Res sacra miser... mais linfortune doit se tenir à lécart et cest le parti qua pris Monsieur le comte de Chambord, ainsi que son auguste tante. [ ] Puissent les circonstances changer et donner à Monsieur le comte de Chambord la possibilité dutiliser les talents et la loyauté ce sont des qualités qui nulle part ne sont en assez grande abondance pour quelles soient negligées par un prince intelligent. Lannée 1848 a produit des événements terribles et dutiles enseignements. Ce qui sest passé en Autriche est digne de meditation. Un empire dissous en un instant par des pédants et des folliculaires, et reconstitué rapidement par lénergie des troupes et la fermeté des chefs. Cest lorganisation et la discipline triomphant de lanarchie. En France je crains bien que lanarchie nait le temps de faire encore bien du mal. »
Manuscrit
[BEAUHARNAIS Hortense de]Manuscrit. Arenenberg 12 octobre 1837 ; 2 pages in-4° sur papier deuil, marges effrangées et petites déchirures. Récit des obsèques de la reine Hortense, décédée le 5 octobre. Après 4 jours de recueillement dans la chapelle du château d’Arenenberg, le cortège s’est dirigé vers l’église d’Ermätigen. « Le prince Napoléon Louis marchait le premier, et seul, opposant à la douleur un mâle courage, mais trahissant par la pâleur et l’altération de ses traits les angoisses de son cœur déchiré ». Le service funéraire a débuté par l’oraison funèbre de l’abbé Nicolai de Constance, puis après avoir entendu le requiem de Mozart, a suivi deux heures de cérémonie religieuse avant que le cercueil ne soit porté à nouveau dans la chapelle d’Arenenberg. « On attend la réponse du gouvernement français à la demande qui lui a été adressée pour répondre aux vœux exprimés par la Reine mourante. Elle a désiré être ensevelie à Rueil et se reposer à côté de l’Impératrice Joséphine, sa mère ». Une mention d’une autre main dans la marge indique que cet article fut envoyé par Napoléon III [à son ami le bonapartiste Louis Belmontet] L’autorisation de transférer le corps de la reine en France fut accordée et en janvier 1838, eut lieu l’inhumation dans la crypte de l’église Saint-Pierre-Saint-Paul de Rueil- Malmaison.
Ensemble de lettres autographes signées
AMAN-JEAN Edmond3 lettres autographes signées, adressées à Georges Moreau, directeur de la Revue Encyclopédique Larousse. Formats divers. Il est question dans cette petite correspondance d’autorisations de reproductions d’œuvres dont en mai 1893, « portrait de ma belle sœur », et d’envie de publier son dernier tableau « la Vie renaissant de la mort » qu’il envoie au Champ de Mars : « Il est destiné à décorer l’amphithéâtre de Chimie à la Sorbonne. ». On joint une lettre de son épouse. Peu commun.
Lettre autographe signée
DUNOYER DE SEGONZAC AndréLettre autographe signée, adressée à Ambroise Vollard. Paris, lundi ; 1 page in-8°. « Je traverse Paris. Je reste très peu. Je passerai à tout hasard demain mardi vers 15 h pour parler ensemble des Géorgiques. Mes eaux-fortes avancent sérieusement. »
Lettre autographe signée
VERNET Carle (Charles-Horace, dit)Lettre autographe, signée « Carle Vernet », adressée à un ami, M. Le Brun, habitant rue du Gros-Chenet n°4 à Paris, « dimanche » [29 septembre 1811] ; 1 page in-8°. « Excusez-moi mon ancien ami de n’avoir pas répondu plus tôt à la lettre que vous avez bien voulu m’écrire. J’ai eu tant d’occupations que je n’ai pu trouver le moment de tracer quelques lignes. J’irai un des premiers jours de cette semaine causer avec toi du petit ouvrage en question. Je désirerais savoir à peu près quel sujet conviendrait à la personne qui veut avoir quelque chose de moi ; quant au prix tout ce que tu feras à cet égard sera bien fait et je m’en rapporte entièrement à toi. Je suis bien aise que cette circonstance me procure le moyen de te prouver mon ancienne amitié, je te prie d’y croire ainsi qu’à mon entier dévouement. »
Lettre autographe signée
HONEGGER ArthurLettre autographe signée, adressée à Marcel Mihalovici à Florac en Lozère. Saint Hilaire , 17 août 1940 ; 1 page in-12, au dos d’un entier postal français.« Mon cher Marcel, je te remercie pour ta carte et suis heureux d’avoir de tes nouvelles et de savoir dans un endroit tranquille. Ici je mène une vie paisible et animale. La plus grande partie de la journée est consacrée au ravitaillement. J’ai repris le vélo à défaut d’auto et j’attends avec patience de pouvoir me remettre un jour au travail. J’ai des nouvelles de Suisse où l’on me propose des concerts et des musique de films mais je ne sais encore si cela pourra se réaliser. D’Harsany j’ai reçu une lettre il parait lui aussi s’ennuyer à Grenoble et je crois qu’il sera heureux s’il peut vous rejoindre à Cannes. J’ai eu l’adresse d’Ibert pour le journal des Beaux-Arts, il est à quelques 80 km de chez nous (à Sorbeti par Nogaro, Gers). Je n’ai rien de Darius auquel j’ai écrit à Aix, ni de Delannoy, d’Hoerée ou de Joubert. Transmets toutes mes amitiés autour de toi, et reçois les affectueuses pensées de tous. A. Honegger. »
Ensemble de 5 lettres autographes signées, adressées au peintre Constant Baruque
CIRY MichelEnsemble de 5 lettres autographes signées, adressées au peintre Constant Baruque. De 1964 à 1967 ; formats in-4°, enveloppes jointes :— « Voici la dédicace. Je vous avais répondu à vos voeux, par mon arlequin, messager des miens »,— « Vous recevrez par le même courrier le catalogue des P.T.T. Le plus simple pour vous sera de m’envoyer à l’occasion la correspondance de 6 Frs de timbres. »— « Merci de tout pour les voeux et l’envoi de cette délectable blanquette, justement réputée. Je garde précieusement le dessin. »— « Je vous ai renvoyé, dédicacée la reproduction que vous m’avez adressée, y joignant la réponse à vos sympathiques voeux. »— « Je vous remercie pour vos bons voeux et m’excuse d’y répondre tardivement. Des voyages et de sérieux soucis. »On joint 2 lettres autographes signées de sa mère.
Ensemble de lettres signées
BROGLIE Louis de9 lettres signées, adressées à Lucien Scheler. 1956-1961 ; 8 pages in-8° et 1 page in-4° à en-tête « Institut de France, Académie des sciences », enveloppe jointe. Comme secrétaire perpétuel de l’Académie des Sciences, la plupart remerciant pour la communication de lettres inédites de Lavoisier, à insérer dans la correspondance en préparation. Textes intéressants.
Ensemble de 2 lettres autographes signées
SUPERVIELLE JulesEnsemble de 2 lettres autographes signées, adressées à A. Leclair de la Société des Auteurs :— 6 août 1947 ; 2 pages in-8°. « Je vous retourne ci-joint, signés, les bulletins que vous avez bien voulu m’adresser, concernant les représentations de Robinson au Théâtre du Parc. Veuillez me tenir au courant d’urgence, de la réponse [...] touchant le Voleur d’Enfants et des intentions de M. Beer. J’ai en effet d’autres propositions pour cette pièce. »— 9 septembre 1947 ; 2 pages in-8°. « Je suis très surpris — et assez désagréablement— de n’avoir pas encore reçu de réponse à ma lettre urgente de la semaine dernière concernant mes deux pièces Le voleur d’enfants dont je vous demandais si je pouvais en disposer et Robinson pour laquelle j’attendais la signature du Théâtre du Parc des bulletins de réception. »
Lettre autographe signée
GUIZOT François-Pierre-GuillaumeLettre autographe signée, adressée à Ivan Tourgueniev. Paris, le 14 juin 1841 ; 1 page in-8°. « Je vous remercie beaucoup, Monsieur. C’est le supplice de Tantale que de recevoir de tels ouvrages et de ne pouvoir le lire. À la vérité, quand le tems ne me manquerait pas, la science me manquerait. Cela diminue un peu mon regret, mais non pas ma reconnaissance. »