Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
5 lettres autographes signées, adressées au compositeur André Jolivet
BEZOMBES Roger5 lettres autographes signées, adressées au compositeur André Jolivet. 1952-1966 ; 5 pages 1/2 in-4°.Au sujet d’un texte d’André Jolivet [pour L’Exotisme dans l’art et la pensée par Roger Bezombes, 1953], lui conseillant d’élargir le paragraphe historique, craignant que le public soit surpris de ne pas voir citées certaines œuvres exotiques de Saint-Saëns, Boieldieu, Lully, Rameau, Félicien David, Moussorgski, Tchaïkovski, Gluck, Albert Roussel, Bartók, etc. Remerciements pour l’envoi du disque des Pastorales de Noël, félicitations pour ses succès à Moscou, souhaits d’anniversaires, etc.
Ensemble de 2 lettres autographes signées
DIGNIMONT AndréEnsemble de 2 lettres autographes signées, adressées au peintre Constant Baruque : — Paris, le 3 octobre 1964 ; 1 page in-4°. Il s’excuse d’avoir tardé à répondre à son envoi. « Je suis assez sérieusement malade depuis près de trois ans. J’ai maigri de près de trente kilos, hôpital, soins constants, etc. Je ne sors guère de chez moi — le cœur — […] Ps : je vous joins un dessin original en couleurs ayant servi à l’illustration de Courteline. »— « Le 6 Xbre 1964 » ; 2 pages in-4°, enveloppe jointe. Son état de santé ne lui permet d’aller à la poste pour « refaire votre colis que je n’ai nullement sollicité. D’autre part, je ne peux charger ma femme de cette corvée, comme moi, elle est assez âgée et a d’autres courses à faire que de courir mettre votre colis de livres à la poste. Alors, veuillez me le faire reprendre chez moi par un ami à vous. […] Vous me dites textuellement : “J’ai des amis à Paris mais j’ai peur de les déranger !” Alors moi que vous ne connaissez pas, qui vous ai fait gratuitement et sans en avoir été prié un dessin original, qui ai 74 ans, vous n’hésitez pas à me déranger. Avouez, Monsieur, que vous exagérez un peu. »
Trois lettres autographes signées
CLAYS Pierre Jean3 lettres autographes signées :— Bruxelles, 4 janvier 1876 ; 2 pages in-12. Adressée à Auguste Willems : lettre concernant des artistes peintres morts, Van Eycken et Van Ysendick.— Bruxelles, 15 février 1876 ; 1 page in-12. Adressée à M. Jamar : « Je viens de terminer les tableaux que je destine à l’exposition de Paris, et je me permets de vous prier de vouloir me faire l’honneur de venir les voir dans mon atelier rue Seutin 27 du 16 courant au 17 inclus. »— Bruxelles, 25 mars 1876 ; 2 pages in-12. Adressée à Auguste Willems : « Je suis convenu avec François sur le choix de deux tableaux pour l’exposition annuelle de Paris. »
Ensemble de lettres autographes signées
CARJAT Étienne5 lettres autographes signées, adressées à un ami. De 1862 à 1895 ; formats in-8° et in-16. Correspondance amicale dans laquelle il est question de rendez-vous : « Tu as dû m’oublier. Si oui, parle donc ce soir au jeune collégien de la Bonne à tout faire et dis-lui que ma chère fille et moi lui seront vivement reconnaissants s’il voulait bien nous prêter son obligeant concours. Le temps presse. » Chargé par le Comité de la Société des Beaux-Arts d’organiser une soirée musicale, il l’invite un lundi à écouter de la musique. 19 décembre 1862 : il a reçu son magnifique ouvrage, l’en remercie et en rendra « compte dans le n° de dimanche 28... ainsi que d’Atala et des Aventures du baron de Munchausen ».
Lettre autographe signée
COUDOUR HenriLettre autographe signée, avec dessin, adressée à son filleul. Sans date ; 2 pages in-8°. Dessin en vis à vis du texte le représentant enchaîné. « Je ne puis mieux vous exprimer mon désespoir qu’en vous envoyant ma dernière photo. Enchaîné par une circonstance à laquelle je ne puis échapper, je suis au grand regret de ne pouvoir prendre part à la réjouissance si gentiment proposée par vous ».Après quelques années d’étude passées à Lyon où il s’était lié d’amitié avec Régis Gignoux et Léon Werth, était venu se fixer à Montmartre au tout début du XXe siècle. Il avait connu et fréquenté Degas, avait été l’ami de Georges Delaw, imagier de la reine, du dessinateur Pierre Falké et était connu et aimé de tous les artistes de Montmartre.Il fut aussi un grand ami de Dunoyer de Segonzac.
Manuscrit autographe
GUITRY SachaManuscrit autographe. 1 page in-4°, au crayon. Plan de tournage du film « La Poison », avec l’emplacement des acteurs sur la scène. Sont cités parmi les acteurs : Louis de Funès, Max Harry, Arnato, Derives, Mme Silvestre, Poirier, J. Hebert, etc.
Lettre autographe signée
GIONO JeanLettre autographe signée. Sans date ; 1 page in-8°. « Je ne désigne aucun avocat, je ne m’oppose pas à un arbitrage. J’entends simplement défendre mon oeuvre contre une adaptation sans surveillance ni contrôle de ma part. J’entends donc : 1. Que M. Merlhou me communique le texte de son adaptation pour que j’y fasse toutes les modifications que je jugerai utiles. 2. que je sois consulté sur le choix des interprètes, du théâtre, du décorateur. 3. Que je contrôle la mise en scène au même titre que M. Merlhou. Autrement dit : que j’ai mon mot à dire pour cette adaptation d’une de mes oeuvres. »
Photographie signée
LESSEPS Ferdinand Marie, vicomte dePhotographie signée. Photographie format carte de visite (10,5 x 6,3 cm), du photographe Ch. Reutlinger. Belle dédicace de Ferdinand de Lesseps au général Williamson.
Photographie signée
ARAGO EmmanuelPhotographie dédicacée. Sans date ; 16 x 11 xm (format cabinet). « Mes meilleurs souvenirs à M. Martin Vilain. Emm. Arago. »
Lettre signée
SCHWEITZER AlbertLettre signée, adressée à l’éditeur R.E. Haugan. Lambaréné, le 27 mars 1955 ; 1 page in-8°, froissure sur la partie gauche. Lettre écrite en anglais par une de ses infirmières avec 4 lignes autographes signées. « Dr Schweitzer asked me to thank your in his name for the American Annual of Christmas Literature and Art, edited by yourself. It is a beautiful and atistic volume and it was a real pleasure to read it. » Le Dr Schweitzer ajoute quatre lignes en français : « Je vous remercie de cœur de votre grand envoi d’illustrés. On l’a très apprécié ! Votre dévoué Albert Schweitzer. »
Édition originale.
CARTERET Léopold. Le Trésor du Bibliophile Romantique et ModerneLe Trésor du Bibliophile Romantique et Moderne (4 tomes, complet). Édition originale. Tome 1 : Éditions originales.Tome 2 : Éditions originales.Tome 3 : Livres Illustrés du XIXe siècle.Tome 4 : Tables générales. Ouvrages cités, illustrateurs et graveurs 4 volumes fort in-8 reliure demi-chagrin rouge, dos à 5 nerfs, titres dorés, couvertures et dos conservés, L. Carteret, Ancienne Librairie Conquet, Paris, février 1924-1928, 459 ; 501 ; 603 ; 207 pp. Édition originale de cette magnifique bibliographie, aussi belle qu’indispensable. Superbe exemplaire en magnifique état, parfaitement et solidement relié. Comme le précisait Léopold Carteret, « cette bibliographie est un choix de livres du XIXe siècle, les plus estimés parmi les éditions originales et les livres illustrés. Divisée en deux parties, elle est précédée de propos bibliophiliques, notices sur les auteurs et agrémentée de documents, titres, autographes, reliures et couvertures originales en réduction, reproduites en couleur ».
Aquarelle
COLIN Paul-ÉmileLa Basilique.Aquarelle sur papier.Cachet de l’atelier en bas à droite.10,5 X 16,5 cm à vue.Pièce encadrée.
4 lettres autographes signées
BLANC Louis4 lettres autographes signées, écrites en exil, adressées à Charles Ribeyrolles [Martel, 1812 - Rio de Janeiro, 1860], écrivain, journaliste républicain français et compagnon d’exil de Victor Hugo.— Octobre 1854 : « Je vous envoie, selon votre désir, quelques pages inédites du 6e volume, qui, du reste, va paraître. C’est une esquisse du parti des Girondins. Si cela vous convient, publiez-le, mais sans coupures, je vous en prie. Car les citations tronquées, comme celles que vous avez déjà faites dans l’Homme — ceci soit dit sans reproche mais avec regret — sont de nature à faire plus de mal que bien au livre dont on veut donner une idée. […] Je vous écrit de Brighton : c’est vous dire que je n’ai pu voir l’ami qui devait me remettre votre billet. ». — 24 mars 1856 : « Ayez la bonté de me renvoyer les pages que je vous ai confiées. Comme je n’ai pas de brouillon, elles me sont nécessaires. » — 25 mars 1856 : « J’ai demain une occasion pour envoyer à Paris mon manuscrit. Je vous prie donc de me faire tenir sans retard les quelques pages que je vous ai données et qu’un billet de moi, écrit hier, vous redemandait. Il y a dans mon manuscrit une solution de continuité que ma mémoire ne suffit pas pour remplir ; car comme je vous l’ai dit, je ne fais jamais de brouillon. Salut fraternel. Louis Blanc. » —29 août 1856 : « Voulez-vous avoir la bonté de me renvoyer la lettre des déportés de Cayenne ? Vous savez qu’elle a paru dans tous les journaux anglais et a produit la plus grande sensation. Le Times contient aujourd’hui à ce sujet un très important article. »On joint un imprimé annoté par Louis Blanc à l’encre : « Cayenne ». Imprimé de 22 pages par Tassillier, daté « des bagnes d’Amérique, île St Joseph, 1854 », imprimé à Manchester en 1855.
Lettre autographe signée
JEHAN-RICTUS (Gabriel Randon de Saint-Amand, dit)Lettre autographe signée « Gabriel Randon », avec dessins à la fin de la lettre, adressée à Charles-Henry Hirsch. 9 juillet 1900 ; 2 pages in-8° sur papier à en-tête illustré d’une chouette. « Samain va un peu mieux certes, ce mieux est à peine sensible, mais enfin il se manifeste... j’attendrai donc encore un peu avant d’aller voir Duvent. Samain est très bien soigné chez son ami Bonheur, et un médecin s’occupe cette fois de son état. Ce médecin donne à espérer en la guérison de notre ami. Voilà. […] Il a été très touché de votre souvenir mon voyage en chemin de fer mais en machine s’est effectué sans incident notable. » Il s’est représenté sur un vélo avec une vache et un chien.
Pièce signée
RAMBUTEAU Claude-Philibert Berthelot, comte dePièce signée. Paris, le 19 octobre 1837 ; 2 pages 1/2 in-folio, effrangées sur les bords. Au sujet du « cautionnement que le Receveur Général de la ville de Paris devait fournir pour sûreté de sa gestion. Mais en 1816, par suite d’une décision ministérielle qui fixait à 800 000 f le maximum des fonds que le receveur municipal pouvait avoir en caisse, le Conseil municipal sur la demande de ce comptable émit l’avis qu’il y avait lieu de réduire son cautionnement en immeubles ». Il est question ensuite de l’augmentation de « valeurs que les propriétés fourières ont acquise depuis 20 ans » et par conséquent qui « représentent aujourd’hui un capital beaucoup plus considérable. » On joint deux documents sur le montant des cautionnements dont un signé par Garnier-Pagès, en 1848, membre du Gouvernement provisoire et maire de Paris en 1848 et par Armand Marrast, maire de Paris en 1848.