Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
2 lettres autographes signées
MANZANA-PISSARRO Georges-Henri2 lettres autographes signées, [adressées à Claude Roger -Marx]. Petit-Andely (Eure) mai 1928 ; 1 page in-4° chaque (fentes et petites déchirures) :— 9 mai : au sujet d’une préface sur « les expositions du Foyer des Artistes des Andelys depuis sa fondation, 1921 ».— 30 mai : précisions sur l’exposition annuelle au Foyer des Artistes du Petit-Andely : « Tant que Monet était vivant il envoyait une œuvre tous les ans, mon père aussi. J’ai l’intention cette année de faire une exposition de ses eaux-fortes. »
Ensemble de lettres autographes signées
MANZANA-PISSARRO GeorgesEnsemble de 3 lettres autographes signées :— 4 avril 1910 ; 1 page in-8°. « Vous seriez bien aimable de me faire savoir si vous êtes en mesure de me donner un rendez-vous afin que nous puissions causer de notre affaire, les essais sont terminés et je voudrais bien vous les montrer. »— 13 avril 1910 ; 1 page in-8°. « Êtes-vous en état maintenant de me donner une réponse ? Si je vous le demande, c’est que de l’autre côté on attend votre décision avec impatience. »— 16 août 1910 ; 1 page in-8°. Lettre écrite avec une belle calligraphie. « Êtes-vous à Paris ? Vous serait-il possible de venir me voir ? J’ai quelques eaux-fortes à vous montrer. J’en ai 30 à 40, si vous voulez que nous fassions un ouvrage ensemble, c’est le moment, plus tard, je n’aurai peut-être plus le temps. »
Manuscrit
Note des effets des princesses Charlotte et Pauline« Note des effets des princesses Charlotte et Pauline ». 26 février 1819 ; 3 pages in-folio. Les deux premières pages sont écrites et signées par Émilie Bourdais. Il s’agit de la liste de linge, robes et fichus, bijoux et dentelles des princesses.
Manuscrit dune main non identifiée
MANUSCRIT.Manuscrit d'une main non identifiée. Daté du 3 novembre 1827 ; 11 pages 1/2, in-folio (28 x 19 cm). « Des auteurs d'arts poétiques en vers de diverses langues et de nations différentes ». Il est question d'Horace, de Raymond Vidal, Vida, Vauquelin de la Fresnaye, Raviot, Boileau, Luzan, Le Duc, etc.
Manuscrit anonyme du XVIIIe siècle d’environ 130 pages
MANUSCRIT DU XVIIIe SIÈCLE.Manuscrit anonyme du XVIIIe siècle d’environ 130 pages, cahier in-8° (20,5 x 16 cm) renfermant 35 « Fables de Florian »
« Concession et permission de passage ».
MANUSCRIT DU XVIIe siècle.« Concession et permission de passage ». 17-9-1621 ; 3 pages in-4°, sur vélin, en vieux français.
Manuscrit de Léon Dézeuses sous forme dun cahier avec des dessins aquarellés
MANUSCRIT DU XIXe siècle.Manuscrit de Léon Dézeuses sous forme d'un cahier avec des dessins aquarellés à chaque page. « À Gornièz le 12 mai 1835 »; 27,7 x 19 cm. « Le bonheur de l'homme dépend de Dieu qui l'a créé et qui lui envoie, suivant sa volonté, la santé ou la maladie, la pauvreté ou la richesse ».
Lettre signée
MANUEL Pierre-LouisLettre signée. Paris, 19 novembre 1792 ; 1 page 1/4 in-4°. En-tête imprimé « Municipalité de Paris — Procureur de la Commune », avec petite vignette révolutionnaire. « C’est sans doute une omission […] de la part de celui qui a fait la copie d’un jugement rendu contre le citoyen Nancey, de n’avoir pas fait mention de la signification, car elle lui a été faite à son véritable domicile, rue de Monceau St Gervais […]. Rien ne vous empêche maintenant de vous mettre en mesure sur ce qui vous reste à faire pour parvenir à l’adjudication au rabais de la démolition de la baraque dont il s’agit. »
Document signé par les religieuses du Monastère Saint-Bernard de Manosque.
MANOSQUE.Document signé par les religieuses du Monastère Saint-Bernard de Manosque. 1691 ; 3 pages in-folio. Pièce originale de la réception d’une nouvelle religieuse, Mlle d’Orgon, de Pertuis, par l’abbesse et les religieuses professes du Monastère de Manosque : R. M. de Castellane, abbesse, et les R. M. de Villeneuve, de Vallavoyre de Beaumont, de Thomassin, d’Audiffred, de Gueydan, de Figuière, etc. ainsi que de leur Confesseur.
Pièce signée
MANN MendelManuscrits autographes. Manuscrit autographe signé en tête sur Kiriat Shemoné. 10 pages in-8°. Pièce signée également par deux autres journalistes d’Under Wort. Paris, 9 avril 1967 : lettre collective aux administrateurs d’Under Wort. On joint deux sous-main, provenant de sa succession.
Envoi
MANINLauriers & Cyprès paru chez Lemerre, Paris, 1899 ; in-8°. Page d’envoi autographe « À Émile Zola, au grand écrivain, modeste hommage de l’auteur Manin 95 rue de Ménilmontant, Paris ». Pages seules du début de son ouvrage : page d’envoi, frontispice et sa photographie reproduite.
Lettre autographe signée
MANGINImportante lettre autographe signée. Château d’Ourne (Sarthe), le 22 avril 1911 ; 8 pages in-8°. Étonnante lettre prémonitoire annonçant la Première Guerre mondiale. « Je n’ai pas besoin de vous dire jusqu’à quel point je crois la guerre inévitable. La seule cause qui la retarde, c’est que le personnel dirigeant de l’Allemagne sent fort bien que le temps travaille au profit de cette puissance en accroissant en force et en qualité sa marine militaire contre l’Angleterre et en augmentant la supériorité numérique de son armée en face de l’armée française. » Suit un exposé de politique internationale. Il énumère les causes qui peuvent précipiter les évênements, la crainte du péril socialiste à l’intérieur et les fautes de la politique étrangère de l’Allemagne (visite de Guillaume II à Tanger en 1905, renvoi de Delcassé, ressaisissement de la France en 1908, affaire des déserteurs de Casablanca, recommencement du coup de Tanger par l’Allemagne à Agadir, méconnaissance de cette nation de l’esprit français et anglais, synthèse de l’esprit de ces deux peuples, la Russie en 1905 qui panse ses plaies de la guerre de Mandchourie, en pleine révolution, relèvement depuis cette date, erreur de l’Allemagne présumant trop de la faiblesse de nos gouvernements, élections au Reichtag, etc.). Il résume sa pensée : « L’Allemagne ne veut pas la guerre en ce moment, elle préfère attendre puisque que le temps travaille pour elle […]. Je pense avec vous que cette guerre inévitable sera sans merci et que l’état-major allemand envisage comme très possible un débarquement en Angleterre. Je crois qu’à notre époque c’est une entreprise parfaitement réalisable. La constitution d’une forte armée s’impose donc et à la base le service obligatoire. » Il parle ensuite du rôle des troupes noires, de l’opinion d’Hanotaux, de la mission Marchand, de Fachoda où il commandait l’escorte de la mission Marchand et le fort français, le bataillon des Soudanais, fort belles troupes qu’il croit capables de figurer sur les champs de bataille européens, les forces coloniales anglaises, etc.
Lettre autographe signée
MANGIN Charles-Marie-EmmanuelLettre autographe signée, adressée à un historien. 28 septembre 1924 ; 4 pages in-8°. Papier à en-tête à son nom. Longue lettre évocatrice de la guerre de Crimée et de Canrobert. « Je vous ai proposé de parler sur Canrobert, parce que c’était une figure caractéristique de l’Armée du Second Empire, et dans le cycle que vous parcouriez, il me semblait nécessaire d’évoquer la Crimée, l’Italie, l’Algérie et St-Privat aussi. Or j’ai vu Canrobert, mes oncles ont servi sous ses ordres et ont laissé leurs traditions dans la famille […], et suis en train d’écrire l’histoire militaire de la Nation Française de 1789 à nos jours. Le 2 décembre, si mal connu a son piquant aussi.» Belle lettre.
Lettre autographe signée
MANESSIER AlfredLettre autographe signée, adressée à Mademoiselle [Palaillon], de la revue Quadrige. « Vendredi » ; 1 page in-8°. « Vous pouvez venir me voir à mon atelier 203 rue de Vaugirard mardi prochain au début de l’après-midi; nous regarderons ensemble ce qui pourrait être photographié. J’ai en ce moment peu de toiles. Si nous ne trouvons rien, nous pourrions aller chez M. Drouin qui a actuellement ma production depuis octobre. J’aimerais parler avec vous de la qualité de la photo en couleur, le premier exemple dans Cadrige n’étant, à mon avis, pas du tout concluant. »C’est en juillet 1939 que Manessier s’installe 203 rue de Vaugirard. Il sera sous contrat avec René Drouin de 1944 à 1948. Cette lettre est donc probablement de fin 1944.
Lettres autographes signées
MANESSIER AlfredEnsemble de 9 documents : (6 lettres, 1 carte autographe signées, 1 lettre dactylographiée signée et 1 manuscrit autographe signé), adressés à Marcel Schneider. Principalement sans date, formats in-4° :— « Je ne veux plus tarder à vous dire combien ce “concert dédié à un ami” m’a ému ! (plus que vous ne pourriez le croire). Dans le choix, j’ai reconnu votre sensibilité et votre personnalité. Est-ce que je mérite toutes les équivalences que vous avez évoquées ? Peut-être me surestimez-vous, mon cher Marcel ! »— « Merci de votre article sur Zurbaran qui me donne très envie de descendre jusqu’à la Guadeloupe en sept. comme prévu. C’est une merveilleuse introduction au voyage... »— « Merci, Marcel, pour votre beau livre ... qui a dû être un enchantement pour votre ami Don Alphonso (j’espère que vous lui avez envoyé !) »— « Paris, 9 nov. 1949 ». « Votre dernier livre l’Homme Vert m’est arrivé l’autre jour au milieu d’un atelier plein de toiles. J’étais en plein travail. J’avais grand désir de le lire, mais j’étais si absorbé, si fatigué le soir que je ne pouvais m’y mettre. Je le découpais cependant à la nuit tombante d’un jour “sans lumière” et ma femme le lut. Elle avançait chaque soir un peu plus, et un peu plus chaque fois m’en parlait en termes chaleureux ; vers la fin, elle fut bouleversée, elle a versé de vraies larmes, que vous dire de plus ! À mon tour je viens de le lire et je ne puis que souscrire de tout mon cœur à son émotion et à son éloge. […] Vous avez là, je crois, atteint vraiment à ce merveilleux, qui est, je le pense simplement, la vérité profonde et émotionnelle des êtres et des choses aimées. »— « Merci pour votre nouveau livre reçu ce matin. Les trois premières pages, que je viens de lire, annoncent une […] confidence, confirmée par votre dédicace dont je vous remercie. Et ce : “... que nous poursuivions un trésor ou un secret, c’est à la rencontre de nous-mêmes que nous partons...” me semble bien vrai. »— « 21 avril 1961 ». « Je vous envoie ci-joint mon “hommage” un peu brouillon. Pardonnez-moi mais je compte sur vous pour corriger mon “devoir” et me donner, si possible “la moyenne” ! »— « Emancé, le 15 juillet 1978 ». « Surchargé de travail depuis six mois (vitraux, lithos, expositions...), je vous demande de bien vouloir m’excuser de répondre si tardivement à votre lettre. »— « Je serai heureux de vous présenter les derniers vitraux de l’église des Bréseux le samedi 15 ou le dimanche 16 juillet. »— Manuscrit racontant sa rencontre avec l’écrivain et ses débuts en peinture : « Marcel fut l’un des premiers à acheter ma peinture et à m’encourager, avec ce petit groupe d’amateurs, qui sont devenus mes amis intimes. Il y a 16-17 ans, cela nous reporte au temps de l’Occupation, l’amateur d’art n’allait pas (comme on peut le faire maintenant hélas !) compulser quelque journal de Bourse pour s’intéresser aux travaux des peintres... Il venait en toute pureté et désintéressement, avec sa sensibilité profonde, son enthousiasme, sa confiance... Quelle force alors pour un peintre de se sentir ainsi compris dans son œuvre au-delà de toute spéculation, et snobisme... et l’amitié scellait souvent ces rencontres. »