Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Lettre autographe signée
JOËTS JulesLettre autographe signée. Saint-Omer, le 5 octobre 1936 ; 1 page 1/2 in-4°. « Vous me comblez dans le Progrès du Nord et par les éloges que vous voulez bien faire de mes oeuvres et pour la reproduction [ ]. De grand coeur laissez-moi vous dire ici mon extrême gratitude. Un voeu pourtant : il me serait infiniment agréable de vous rencontrer à Paris fin de ce mois [ ] de prendre le thé et bavarder avec vous. Si vous me le permettez, je vous avertirai dès mon retour ? Vous serait-il possible de me faire adresser à Saint-Omer une dizaine de numéros du Progrès ? Je voudrais les envoyer à q.q amateurs amis. [ ] Heureux de vous annoncer que le musée de Belfort vient de m'acheter un pastel intitulé : Aire-sur-la-Lys. »
Lettre autographe signée
JOETSLettre autographe signée, adressée à M. Nacenta, directeur de la galerie Charpentier. Paris, le 15 juillet 1948 ; 1 page 1/2 in-8°. « J’ai autrefois, en 1937, publié la note ci-jointe au sujet d’une eau forte en couleurs à sept planches repérées et entièrement exécutées à la pointe à graver, c’est-à-dire sans l’emploi d’aucune autre technique. […] Permettez-moi à l’occasion de votre magnifique manifestation de l’estampe en couleurs, de vous offrir cette note. […] Vous y verrez notamment que dès 1645 Abraham Bosse établit le procédé de la gravure en couleurs, du repérage, de la “poupée” (Traité de la gravure). »
Lettre autographe signée
JOBERT DE LAMBALLE AntoineLettre autographe signée, adressée à Mme Perée. Sans date ; 1 page in-12 « Je suis venu pour vous dire combien je prends part au malheur de Monsieur Perée. Je suis désolé de la mort de cet excellent homme. »
Deux lettres autographes signées, adressées à M. Martin
JOB (Jacques-Marie-Gaston Onfray de Breville, dit)Deux lettres autographes signées, adressées à M. Martin. 2/6 décembre 1901 ; 8 pages in-8°. Longues lettres de colère, adressées à son éditeur. « Je comprends maintenant pourquoi, si mal organisée, la publication devait sombrer et pourquoi, maintenant que son envoi, sa fabrication, sa publicité sont régulièrement,t dirigés, elle sera une excellent affaire, s’annonçant déjà sous les plus heureux auspices. J’ai reçu quelques exemplaires des Chants nationaux. Je dois vous avouer qu’il est difficile de voir q.q. chose de plus laid. Le papier est infâme, l’impression adéquate. Si, pourtant, Montorgueil me dit qu’il y a plus laid encore ! La réimpression de France en 3 volumes - heureusement je ne l’ai pas vue et j’aime mieux l’ignorer. […] Je suis moins sensible à l’argent perdu , qu’à voir mon nom, chez les libraires, sur des publications grossièrement imprimées sur du papier à chandelles et avec un tel mépris de tout sentiment artistique que le public, j’espère, pensera que je ne suis pour rien dans de si traitresses reproductions ! »On joint un ensemble de 4 reçus signés « J. de Breville » pour les volumes Jean la poudre, Flamberge au vent, et pour ses dessins de l’album Montorgueil.
Rare ensemble de 6 pièces et lettres autographes signées concernant ses illustrations de livres de la Librairie d’éducation de la jeunesse
JOB (Jacques-Marie-Gaston Onfray de Breville, dit)Rare ensemble de 6 pièces et lettres autographes signées concernant ses illustrations de livres de la Librairie d’éducation de la jeunesse. 13 pages, formats divers, lettres fatiguées ou en mauvais état. La correspondance est parfaitement lisible et donne de nombreux renseignements sur l’activité d’illustrateur de Job. Il est question de ses illustrations pour les numéros de l’Uniforme (« Il est nécessaire que chaque graveur ait une livraison entière, sans cela l’imprimeur n’ayant pas la gamme couleur ne pourrait s’en tirer ») ; pour Jean de la poudre, de ses relations avec Montorgueuil, pour l’album France, etc. Très intéressant.
Lettre autographe signée
JEHAN-RICTUS (Gabriel Randon de Saint-Amand, dit)Lettre autographe signée adressée à Georges Wague. 23 septembre 1902 ; 3 pages in-8° (18 x 11,5 cm), trous d’archivage dans le haut.« Voici la lettre de Félicia. Êtes vous libre jeudi vers 4 h 1/2 ? Vous passeriez me prendre et nous irons ensemble chez elle. Je ne crois pas, d’après sa lettre, que mon projet ou mon idée lui soit apparue très clairement. Pour moi c’est très simple. dans l’amour pour l’artiste (Pierrot) il y a la Mort souvent. Qui ou quel artiste à quelque période de son existence n’a rencontré sous le vêtement de l’amour, la mauvaise amante, celle qui détruit la vie, les espoirs et l’avenir. D’aucuns ont su lui échapper. C’est une aventure commune à bien des rêveurs. Pierrot, dans ma pantomime, a rencontré cette destructrice, cette énigmatique Femme du Monde, la Mort. Voilà tout. Et il est sauvé par l’Amour humble et sincère qui réparera les blessures et relèvera les oeuvres, les espérances écrasées et à l’agonie. Je pense, mon cher Wague que si vous venez avec moi chez Félicia Mallet, la victoire est assurée : vous lui ferez sentir mon drame car homme, il intéresse plus les hommes. Il semble d’après la lettre de l’actrice, qu’elle cherche toutes sortes d’idées autres que celle que j’ai voulu exprimer et qui à moi me parait si simple. »Provenance : Collection Debauve (tampons au dos des feuillets).
Pièce autographe, signée
JEHAN-RICTUS (Gabriel Randon de Saint-Amand, dit)Pièce autographe, signée « Gabriel Randon ». S.l.n.d. ; 8 pages in-12 et 2 pages in-12 pour le questionnaire. Curieuse suite de notes anecdotiques et pensées de la main du poète en réponse à un questionnaire : — « Qu’éprouvez-vous en vous levant ? » : « L’envie de lire une lettre. »— « Pouvez-vous vous sacrifier ? » : « Oui pour une idée, pour une femme, et pour la joie ridicule d’être malheureux. »— « Quel est votre poète préféré ? » : « Le Dante, Villars, ceux de la Pléiade, et après un grand saut, Baudelaire, Musset, Hugo (certaines pièces) et Verlaine, Moreas, Sauvain, de Hérédia, L. Tailhade. »— « À quel moment de votre vie voudriez-vous mourir et comment ? » : « À trente six ans, aimé, en pleine lutte, avec de la gloire et l’amour des jolies jeunes femmes. Je m’en fous d’être guillotiné pour une belle cause qui pourrait être la justice. »— « Préférez-vous la beauté à l’intelligence ? » : « J’adore la Beauté et j’aime l’Intelligence. »— « Êtes-vous susceptible d’enthousiasme ? »: « Oui, bien que je croie mener dans de tels élans, une lutte inutile. »
Lettre autographe signée
JEHAN-RICTUS (Gabriel Randon de Saint-Amand, dit)Lettre autographe signée « Gabriel Randon », avec dessins à la fin de la lettre, adressée à Charles-Henry Hirsch. 9 juillet 1900 ; 2 pages in-8° sur papier à en-tête illustré d’une chouette. « Samain va un peu mieux certes, ce mieux est à peine sensible, mais enfin il se manifeste... j’attendrai donc encore un peu avant d’aller voir Duvent. Samain est très bien soigné chez son ami Bonheur, et un médecin s’occupe cette fois de son état. Ce médecin donne à espérer en la guérison de notre ami. Voilà. […] Il a été très touché de votre souvenir mon voyage en chemin de fer mais en machine s’est effectué sans incident notable. » Il s’est représenté sur un vélo avec une vache et un chien.
Ensemble de deux lettres autographes signées.
JEHAN-RICTUS (Gabriel Randon de Saint-Amand, dit)Ensemble de 2 lettres autographes signées :— Au collectionneur et bibliophile belge Ivan Lamberty. Paris, 10 octobre 1913, 4 pages in-12. À propos de Barrabas de Lucien Descaves, illustré par Steinlen. Le livre (Paris, Rey, 1914) n’est pas encore imprimé mais Steinlen a terminé les dessins « splendides » qui sont en cours de clichage. Il lui conseille de souscrire l’exemplaire sur japon qu’il désire directement chez Rey et non via Dechenne à Bruxelles. « Certainement Descaves ne me refusera pas de mettre sa griffe sur votre exemplaire. Quant au n° 1 du tirage Japon il le réserve toujours pour son frère. »— À son « cher petit vieux », Paris, 22 avril 1932 ; 1 page sur 1 double feuillet in-12. Une interview de lui va passer à Radio-Paris le 26 à 20 heures ; il lui annonce également une autre interview dans La Rampe et un article de souvenirs sur Verlaine dans Les Nouvelles littéraires.
Lettre autographe signée
JEHAN-RICTUS (Gabriel Randon de Saint-Amand, dit)Lettre autographe signée, adressée à Jean Tenaut. Paris, le 8 novembre 1930 ; 2 pages in-4°. « Le contrat qui me liait à Rey n’était pas tout à fait le “compte d’auteur”. Dans le compte d’auteur, il est bien rare que le dit auteur ne fournisse pas lui-même un viatique important pour l’impression de son oeuvre. Ici, je ne fournissais que le manuscrit : et nous partagions les pertes et les bénéfices. Or, il n’y eut jamais de pertes. Mais la vente était assez lente. Une inconcevable maladresse ou son peu de confiance dans la vente l’empêcha, de prendre les empreintes et à chaque réédition, il fallait repayer de la composition !!! Aussi, aujourd’hui s’il avait les capitaux nécessaires pour payer la recomposition de 2 volumes Soliloques […], il devrait sortir peut-être entre 30 et 40 000 francs, car il n’y a plus de crédit chez les imprimeurs et les magasins de papiers, ainsi que les brocheurs... plus de crédit ou très peu. Et je ne toucherais d’argent que lorsque ces débours seraient amortis... Donc d’ici quelques années. »On joint une photographie signée (au dos), autoportrait, au même.
Lettre autographe signée
JEHAN-RICTUS (Gabriel Randon de Saint-Amand, dit)Lettre autographe signée, adressée au directeur des Éditions de la Riviera. Nice, 4 décembre 1912 ; 1 page in-4° oblongue. Papier à lettre illustré d’un cliché représentant un plâtre de J. Rictus. « En réponse à votre première question : Pensez-vous qu’il soit plus cruel d’être trompé par un ami plutôt que par un inconnu ? Je dirai que cela revient au même, car il est bien rare qu’une maîtresse ne s’arrange pas pour vous présenter l’Inconnu, son amant, et on devient aussitôt une paire d’amis ! Oui que de femmes mariées, devenant adultères, soit par inconscience, soit par raffinement, ne se tiennent pour satisfaites que lorsqu’elles ont présenté leur amant à leur mari ! » Suit sa réponse à la question : « Éprouvez-vous plus de plaisir à contempler les jambes de Mlle Mistinguett que le derrière de Mlle Joséphine Baker ? » Il opte « sans hésiter pour le derrière de Mlle Baker ». Belle lettre.
Lettre autographe signée
JEHAN-RICTUS (Gabriel Randon de Saint-Amand, dit)Lettre autographe signée, adressée à M. Divoire. Paris, 28 novembre 1913 ; 3 pages in-8°, en-tête « Confidentiel ». « Je pense que dimanche matin Comoedia (en tout cas cela ne saurait tarder) publiera de moi un gigantesque poème qui m’a pris huit mois d’efforts quotidiens et dix ans d’attente. Je crois que c’est ce que j’ai écrit de plus ardent depuis que j’ai employé cette forme populaire d’expressions pour être compris. Si c’’est votre avis, je voudrais bien que l chose ne passât pas inaperçue et vous voulussiez bien la signaler soit dans vos On dit que, soit dans votre Boîte aux Lettres. En m’excusant de mon indiscrétion mais confiant en ce que l’oeuvre la légitimera, veuillez accepter mes souvenirs cordiaux. »
Lettre autographe signée
JEANNIOT GeorgesLettre autographe signée. Sans date ; 1 page in-8°. « Les Liaisons dangereuses, en préparation formeront un volume de 350 pages […] avec 30 eaux-fortes en couleurs, préface de Henri de Régnier. Lettres ornées en couleurs gravées sur Bois et un dessin original prix 1000 f, tirage 50 exemplaires ».
2 pièces autographes signées
JEAN-CHARLES (Jean Louis Marcel Charles, dit)Ensemble de 2 affichettes autographes signées au dos. 4 novembre 1981 ; 1 page chacune in-8°.– Couverture du livre Drôle de justice par Jean-Charles, éditions Presse de la Cité. Au dos, figure un dessin dédicacé, représentant un visage avec un bonnet d’âne. « Pour Henri Gros, cancrissimement. » – Couverture du livre Très chères vacances par Jean-Charles, éditions Presse de la Cité. Au dos figure un autographe : « Continuez à me lire et dites bonjour à Angoulême où j’ai quelques amis. Bien cancrement. »
Lettre signée
JEAN III SOBIESKILettre signée « Joannes Rex », adressée à Hieronymo Angelo Flavio Comnene, prince de Macédoine. Javorov, 4 février 1682 ; 1 page in-folio, avec adresse et sceau aux armes sous papier ; en latin.Il rappelle les origines illustres de la maison du prince et les hauts faits de l’Empereur Constantin. Il le félicite pour sa lutte en faveur de la chrétienté, comme le lui ont appris ses lettres et la relation de son secrétaire l’abbé Hacki.