Nos plus beaux documents autographes
4620 autographes de prestige trouvés
Lettre autographe signée
BLANCHE ÉmileExtraordinaire lettre autographe signée. Passy, 24 septembre 1862 ; 2 pages 1/2. « Je vous remercie de la lettre affectueuse que vous avez bien voulu mécrire [ ]. Je mempresse de vous adresser toutes les pièces dont je vous ai parlé qui peuvent vous intéresser, et je nai pas besoin de vous dire que japprouve davance tel usage quil vous plaira den faire. »À la suite de cette lettre, le remarquable passage sur Gérard de Nerval « Gérard de Nerval est entré pour lavant-dernière fois dans la maison de Passy le 8 8 bre 1853. Il en est sorti le 27 mai 1854 pour voyager en Allemagne. Il a été ramené à la Maison de santé le 8 août 1854. Il en est sorti définitivement le 18 8 bre 1854.Il est mort le 26 janvier 1855. »Le 27 janvier 1855, le docteur Blanche écrivait : « Se croyant la même énergie dimagination et la même aptitude au travail, Gérard de Nerval comptait pouvoir vivre, comme autrefois, du produit de ses uvres ; il travailla plus que jamais, mais il fut déçu dans ses espérances. Sa nature indépendante et sa fierté de caractère sopposaient à ce quil voulût rien recevoir, même des amitiés les plus éprouvées ; sa raison sest égarée, et cest bien certainement dans un accès de folie quil a mis fin à ses jours. »
Affiche
NAPOLÉON III (Charles Louis Napoléon Bonaparte)Affiche. « Communication de S.M. l'Empereur aux bureaux du Sénat et du Corps Législatif, et aux membres du conseil d'État à l'occasion de son mariage ». Paris, 22 janvier 1853 ; 65 x 47 cm. Affiche annonçant son mariage.
Dessin à l’encre, crayon et aquarelle signé
DETAILLE ÉdouardDessin à l’encre, crayon et aquarelle signé, représentant l’Empereur Napoléon Ier.12,5 x 11,3 cm, sur papier. Encadrement ancien.Envoi autographe signé « à Madame Thérèse Jour.. souvenir bien affectueux, Detaille ».
Lettre autographe signée
[NAPOLÉON Ier ]. LE MAIRE Antoine.Lettre autographe signée, adressée à l'Empereur. Moscou, 25 juin 1809 ; 1 page in-4° oblongue, sur papier vert, avec aquarelles originales de guirlandes de roses, quelques taches de rousseurs. Curieux texte un peu illuminé. N'ayant pas reçu de réponse à sa première lettre, il s'adresse à nouveau à l'Empereur. « Pour la seconde fois que l'arpennithecne célèbre Antoine Le Maire de Lunéville a le bonheur de dédié ses plumes arpennithecné, pour la première fois lors de son Consula, l'an 1804, sur la fin de septembre, n'ayant pas été instruit si mes plumes ont été heureuse de parvenir jusqu'au mains de Votre Majesté pour tracer et pour annoncer le bonheur que vous fites à ma dite et chère patrie, j'ose prendre la liberté de prier Monseigneur l'ambassadeur de me vouloir bien m'accorder de sa bonté de vouloir bien se charger d'une centaine de plumes pour tracer la prolongation du vrai bonheur de ma fidèle patrie. [ ] Chacun doit rester dans l'admiration au nom seul de Napoléon, et c'est avec respects si mes plumes sont heureuses de parvenir au Grand Napoléon elles feront l'éloge méritoire de son illustre Empire de France. J'eus le bonheur d'avoir offrir des plumes arpennithechné selon l'ar de sa méthode, d'en avoir présenté de mes faibles mains à sa Majesté impériale Alexandre premier empereur et orthodoxe, ce grand monarque chéris de tous ses peuples. »
Dessin signé « C. Bessin »
NAPOLÉON Ier (Napoléon Bonaparte)Dessin signé « C. Bessin » daprès une peinture de Jean Antoine GROS (1771-1835), « Bonaparte haranguant larmée avant la bataille des Pyramides, 21 juillet 1798 ». Dessin sur papier au fusain et rehauts de craie blanche sur papier bistre. Nous pensons que ce dessin a été réalisé par des élèves dans le cadre de lÉcole des Beaux-Arts. Celui-ci particulièrement réussi.65 x 50 cm.Encadré.
Photographie
MOZART (Wolfgang Amadeus, dit)Reproduction photographique d’un portrait peint. Format cabinet (16 x 11 cm), coupée dans le bas. Photographie éditée par F. Bruckmann à Munich.
Ensemble de 9 lettres autographes signées, adressées à Claude Monet
MIRBEAU OctaveL’auteur du Journal d’une femme de chambre, était aussi un fervent défenseur des impressionnistes, et ce dès 1884, date à laquelle débute son amitié avec Claude Monet. Suite à un article élogieux dans le journal La France, Monet lui offre le tableau Une Cabane des Douaniers. Mirbeau défendra toujours la peinture de Monet, que le temps consacrera, et forgera à l’artiste une réputation de génie. Une amitié indéfectible les liera jusqu’à la mort. Ensemble de 9 lettres autographes signées, adressées à Claude Monet. Sans date [vers 1892-1894] ; formats in-8° :— « Ma femme a écrit à Madame Monet et nous sommes un peu inquiets de n’avoir pas encore de nouvelles. Nous savons que c’est l’époque où Madame Butler attend le grand événement et nous faisons mille suppositions inquiétantes. Vous seriez bien gentil de nous rassurer sur votre santé à tous, d’un mot. Et les Cathédrales ? J’ai hâte de les voir se dresser dans leur magnifique symphonie de pierre. Nous avons beaucoup pensé à vous tous, tous ces temps, malgré l’effarement de notre déménagement et notre emménagement. C’est une terrible chose. Nous couchons sur des sacs, nous mangeons sur des malles. Et 22 ouvriers dans la maison ! Et pas un coin où se réfugier. »La série des Cathédrales de Rouen est un ensemble de 40 tableaux peints par Claude Monet représentant principalement des vues du portail occidental de la cathédrale Notre-Dame de Rouen, peintes à des angles de vues et des moments de la journée différents, réalisées de 1892 à 1894.— « Nous sommes absolument navrés de l’état de votre femme. Quand nous avons reçu sa lettre, nous croyions y lire la nouvelle de son rétablissement, et puis c’est le contraire. Que cela est triste. N’y a-t-il pas un peu la faute de Madame Monet ? Je vous dis cela parce que je vois ce qu’est ma femme, quand elle est malade. Elle augmente son mal à plaisir par des besognes trop fortes et une activité diabolique quand il faudrait du repos. Et je crois que toutes les femmes sont ainsi. Mais n’importe la raison, le fait est là et il est douloureux pour tout le monde. Dites bien à Madame Monet que nous irons la voir très prochainement, et que nous tacherons de lui donner un peu de courage, et de lui faire bien comprendre que le grand remède c’est le repos. Je ne puis vous dire le jour. Jeudi, vendredi et samedi nous avons du monde. Ce sera pour le commencement de la semaine prochaine. Ma femme écrira le jour. Car tout ici se complique de l’absence du jardinier. C’est avec ce temps, à donner sa démission et à ne plus avoir, qu’un géranium sur le bord de sa fenêtre. A bientôt une lettre, mon cher Monet. Ma femme embrasse bien tendrement la vôtre, et toute la famille, depuis les plus grands jusqu’au plus petit, que nous ne reconnaîtrons plus certainement. Car il doit avoir, déjà des moustaches, depuis le temps. Bien affectueusement votre mon cher Monet, Octave Mirbeau. »— « Vos lettres nous ont fait beaucoup de peine. Nous pensions Madame Monet tout à fait guérie, et vous en pleine joie de travail. Allons allons tout cela s’arrangera. Il faut en vouloir beaucoup à la chaleur qui est mauvaise aux malades et contraire aux énergies ; c’est elle la grande ennemie. Oui, je vous remontrerai ; et nous prendrons la décision d’envoyer promener le jardin ! Il faut choisir, car on ne peut mener de front le jardin et le travail, ça c’est sûr. Ma femme a remis au chemin de fer un panier d’abricots. Il sera à Vernon demain mardi, à la première heure. Envoyez-le chercher. Demain ou après-demain nous vous écrirons le jour où nous irons à Giverny. Je pense que ce sera samedi. »— « Nous sommes très heureux d’apprendre de bonnes nouvelles et nous espérons bien qu’elles se continueront. Veuillez dire à Madame Monet combien nous lui envoyons toutes nos vives sympathies. J’ai bien grande hâte, mon cher ami de voir vos cathédrales. J’y pense très souvent et elles apparaissent dans mon esprit, chaque jour, en rêves somptueux […] J’aurai un jardinier mercredi. Mais depuis plus de dix jours, mon jardin est à l’abandon. Donc crise, fleurs et légume. C’est un vrai désastre. »— « Voici votre train et il est charmant : Vernon 9 h. 54 — Poissy 11 h. 19. Vous me trouverez à la gare, avec Montesquiou qui vous recevra en vers ; et Magnard qui parlera en prose. Voulez-vous dire à Madame Monet combien nous avons passé une journée délicieuse près de vous tous, et combien votre amitié nous est douce. Dites lui aussi, au risque que je passe pour un rabâcheur, de bien se ménager et d’éviter toutes les imprudences, afin de pouvoir, sans danger, affronter ce grand voyage de Paris que nous attendons avec tant d’impatience ».— « Nous irons demain vous dire un bonjour. Mais ne vous occupez pas de nous, je vous en prie. Nous arriverons sur les dix heures, je pense. N’envoyez pas de voiture, car il possible que nous venions de Bonnières. Ce que nous voulons, c’est vous voir, c’est parler entre vous et Madame Monet, et vous redonner du courage et de l’espoir. Nous vous aimons bien, quand vous êtes heureux, nous vous aimons mieux encore quand vous avez de la peine ».— « Comment va Madame Monet ? Comment va le délicieux bébé ? Comment allez-vous tous. Dites à Mlle Blanche que ma femme s’excuse mille fois auprès d’elle, pour ne l’avoir pas encore remerciée de cette manche idéale qui ressemble à une conque marine. Elle lui écrira demain. Dites-moi aussi comment, à quelle époque, dans quel compost on sème les iris et les glaïeuls. Avez-vous reçu votre autorisation de prise d’eau ? » L’imbécile de préfet n’a pas répondu à Mirbeau. « Pourvu que ma lettre ne vous ait pas nui, au lieu de vous servir. sait-on jamais ce qui peut se passer dans la citrouille d’un préfet ? Enfin mon cher ami; dites aux Darwin de Giverny l’histoire suivante. » Il recommande L’origine des Espèces : pour « qui s’intéresse au grand mystère de la vie, c’est passionnant ». Puis Gustave Geffroy qui a fait des démarches pour avoir la croix : « J’ai appris que notre ami Gustave Geffroy a fait faire d’instantes démarches pour avoir la croix, au 14 juillet. On la remet au 1er janvier. Geffroy ! Oui mon cher ami. Et je ne puis me rappeler, sans mélancolie, qu’un jour, à déjeuner chez vous, au moment des affaires de l’Olympia, Geffroy vous suppliait de ne pas vous laisser décorer. Je me rappelle même la phrase : … ! Monet, ne nous lâchez pas ! » Il évoque ensuite l’affaire du fameux tableau d’Édouard Manet, Olympia, conservé au musée d’Orsay à Paris. Peinte en 1863, l’œuvre fut exposée pour la première fois au Salon de 1865 pour être rachetée par Monet : « Je ne puis me rappeler, sans mélancolie qu’un jour, à déjeuner chez vous, au moment des affaires de l’Olympia, Geffroy vous suppliait de ne pas vous laisser décorer. Je me rappelle même sa phrase : “Ah ! Monet, ne vous lâchez pas !” Vous verrez, ami, qu’il n’y aura que nous deux qui mourrons dans l’impénitence cruciale. Répondez moi, un mot, vite ; et surtout que votre réponse soit l’annonce de la guérison complète de Madame Monet, et de la pousse de la première dent du bébé. ». En post-scriptum, il décrit l’étonnant paravent que lui a fait Niederkorn.— « Voilà ce que vous pourriez faire, et ce qui serait charmant, et qui arrangerait tout. Puisque vous n’êtes pas libre maintenant, ces dames pourraient venir tout de suite et puis dès que vous seriez libre, vous viendrez avec ces dames. Cela nous donnerait la joie de les avoir d’une fois. Cette combinaison vous plaît-elle. A nous, elle va admirablement. […] Le temps est doux : il serait bon d’en profiter car qu’est-ce qui va nous arriver après ce précoce printemps ? Les travaux marchent ici. Mais que d’aria ! et que d’ennuis ! C’est à vous dégoûter d’avoir un jardin ! […] Nous pensons toujours bien à vous et nous sommes souvent, par l’esprit, à Giverny, où nous nous divertissons des mines délicieuses du baby, qui doit commencer à parler comme un ministre. Quel ennui de n’en avoir un ou deux autour de soi ! La vie est bien pauvre et bien vide quand on n’a que soi. Enfin , voilà Madame Monet guérie. Le printemps va lui donner le dernier encas. Elle va pouvoir aller et venir, comme autrefois nous nous en réjouissons, vraiment de tout notre coeur. Donc, cher ami, je résume ma proposition 1° Ces dames sans vous2° Vous avec ces damesEt vive la joie !Nous embrassons le baby, et nous vous envoyons à tous nos meilleures amitiés. »— [1893]: « Qu’est-ce que nous apprend Madame Monet ? Que vous avez été tous empoisonnés. Voilà une terrible histoire quand on a passé par là, on doit trouver la vie meilleure, une fois guéri. Je me rends compte des transes effroyables par ou, durant toute une nuit, ont du passer ceux qui n’avaient pas mangé de ces écrevisses […]. Nous irons lundi fêter votre résurrection, mon cher ami à moins que l’état de Mde Monet ne permet plus que cette fête ait lieu ici, encore, mais, pas d’écrevisses, hein ? D’ailleurs au point de santé ou je suis, cela n’aurait, quant à moi, que peu d’importance. C’est un demi-mort que vous recevrez, et un gâteux complet ! J’ai perdu l’espoir de guérir. » Il ajoute en post-scriptum : « P.S. J’oubliais, lundi, il faut que nous soyons là le matin. Nous arriverons de très bonne heure dans l’après-midi et nous resterons à dîner. Mais un de ces jours, nous irons, en bicyclette vous demander à déjeuner. »
Photographie
MEYERBEER GiacomoReproduction photographique d’un portrait peint par C. Jäger. Format cabinet (17 x 11 cm). Photographie éditée par F. Bruckmann à Munich.
Manuscrit musical signé
MENGES HerbertManuscrit musical, signé à plusieurs reprises « R. Ch. », d’après une œuvre de Herbert Menges. 27 novembre 1922 ; 31 x 23,5 cm; 19 pages in-folio. « For songs from Maud-Tennyson. » Pour choeurs, violon et pianoforte.
Lettre autographe signée
Archevêque de MexicoLettre autographe signée de l’archevêque de Mexico, adressée au père Augustin Fischer, confesseur de l’empereur Maximilien. Mexico, 30 octobre 1866 ; 1 page in-4°. (Ancienne collection R. Schuman.) L’archevêque lui demande d’aider Francisco de Lirardi dans l’affaire qu’il apporte et il lui en sera fort obligé.
Ensemble de 16 lettres dactylographiées ou autographes signées de sa veuve, la générale Massiet, adressées à Louis Guitard.
MASSIET Charles Gabriel RenaudEnsemble de 16 lettres dactylographiées ou autographes signées de sa veuve, la générale Massiet, adressées à Louis Guitard. 1966-1967 ; formats in-8°, oblongues. Correspondance pour la diffusion du livre de Louis Guitard « Lettre sans malice à François Mauriac ».
Pièce imprimée.
MARCHAND Jean-BaptistePièce imprimée. Imagerie d’Épinal, Pellerin imprimeur, sans date ; 49 X 36 cm. Affiche à la gloire du colonel Marchand. Images retraçant sa vie. Peu commun.
Très intéressant dossier : 2 lettres autographes signées, adressées à René Kieffer accompagnées de 2 pages de dessins et une page en couleurs :
[MARBRURE] DUVAL Michel, relieur-marbreur français.Très intéressant dossier : 2 lettres autographes signées, adressées à René Kieffer accompagnées de 2 pages de dessins et une page en couleurs : 8 juin [1967] ; 1 page in-4°. « Merci pour votre petit papier noir. Du papier de cette qualité fait toujours grand plaisir. Rencontré Monsieur Physque dont je vous joins le portrait robot aquagraphié » On joint le portrait robot aquagraphié en couleurs. (21,8 x 14,5 cm). Bondy, le 9 septembre [1967] ; 1 page in-4°. « Comme je n'ai pu aller vous rendre visite samedi dernier, je fais déposer chez vous le résultat de mes cogitations. Je considère ces quelques planches comme un avant-projet. J'ai créé ces illustrations en pensant que tous les feuillets seront collés et que le livre se déroulera comme un dépliant ou comme un fleuve et le poème en pavé en haut. Je pense que cela peut être montré sans honte. » On joint 2 pages couvertes d'illustrations citées représentant son C.V. sous forme de bande dessinée, au crayon noir (27, 5 x 15,5 cm).
Ensemble de documents:
MAISON DE LEMPEREUR.Ensemble de documents: « État nominatif des employés auxquels l'Empereur a accordé des pensions de retraites dont le payement a été effectué sur la cassette de Sa Majesté. » Pièce signée par le Cte de Montesquiou. Paris, 21 juin 1815. On joint 4 documents relatifs à cet objet. « Cérémonies à l'occasion des couches de l'Impératrice ». « Notes sur le mode à suivre pour donner connaissance du bulletin de la santé de S.M. L'Impératrice aux personnes qui viendront s'en informer ». 3 reçus de sommes payées sur la cassette du Roi de Rome. (1813). Voyage de Cherbourg. Indemnités de nourritures accordées aux garçons de garde-robe de S.M. L'Empereur pendant le voyage de Cherbourg. Signé par Constant. Théâtre Impérial de l'Opéra Comique. Frais de représentations à la Cour. Pièce certifiée par Paër. Réclamation pour les frais de loges. Provenance : Maison Charavay.
Pièce autographe signée
[MAGNE] — DUFILHO JacquesPièce autographe signée. Sans date ; 1 page in-4°. Texte écrit pour le portrait de M. Magne par Bruno de Mones.« Entre ces murs tout près du toit, l’imagination de Michel Magne sous forme de musique va passer par ses doigts. Elle s’envole au dessus de Paris, de la campagne, de la mer. Elle se mêle aux tonnerres, aux nuages de pluie, elle se roule dans les vagues des tempêtes, ou s’élève très haut dans le ciel. Elle se chauffe aux étoiles. Là dans ces murs. »