Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Pièce signée
PHILIPPE VPièce signée « Yo el Rey ». Aranjuez, 11 avril 1722 ; 3/4 page in-folio, sceau aux armes d’Espagne sur cachet de cire de fermeture. La pièce est contresignée par Joseph Grimaldi.Second fils du Grand Dauphin, petit-fils de Louis XIV, il porta d’abord le titre de duc d’Anjou avant de monter sur le trône d’Espagne en 1700. Très beau et rare document.
Portrait gravé.
PHILIPPE VPortrait gravé. XVIIIe siècle ; 100 X 142 mm sur un feuillet de 165 X 220 mm. Gravure de G.E. Petit d’après Vanloo.
Portrait gravé
PHILIPPE IIPortrait gravé. XIXe siècle ; 70 X 85 mm sur un feuillet (pliure en dehors de la gravure) de 220 X 300 mm.
Photographie dédicacée
PHILIPPE Charles-LouisPhotographie dédicacée à sa mère. 22 décembre 1903 ; 12,5 x 9,5 cm.Il est représenté entre son père et sa mère.« A maman, son fils, Charles Louis Philippe. 22 décembre 1903. »
Lettre autographe signée
PHILIPPE Charles-LouisLettre autographe signée, adressée à des amis. Paris, 18 avril 1909 ; 1 page ½ in-8°, papier quadrillé.Prenant ses précautions, il annonce la tragique nouvelle de la mort de sa maîtresse Milie : « Ne criez pas en lisant ce mot, pensez dès la première ligne à ne pas vous laisser entendre par Angèle. Notre pauvre Milie est morte cette nuit de samedi à dimanche d’une grippe infectieuse à 2 h du matin […] Préparez doucement la chère petite à cette épouvantable nouvelle. Ne la lui annoncez que lentement […] Elle est ce qui me reste de cette si bonne, si aimante, si dévouée Milie ». Lui-même mourra sept mois plus tard.
Manuscrit autographe et lettres autographes signées
PHILIPPE Charles-LouisIntéressante réunion :— Manuscrit autographe de 4 poèmes, Robes. Avril 1895 ; 2 pages in-4° (petite fente réparée). Quatre pièces de vers, de quatre quatrains chacune sauf la dernière (3 quatrains, la fin manque ?), datées du 12 avril, 16 avril et 11 avril 1895. Nous citons le début de la première.« Robe de velours vert, pour le matin : Soleil ! au velours vert des enfants allégés, En fête d’un matin si constant de blancheur ! Soleil de voix ! et précis à des seins légers Ignorés de demain (vers eux, en sa blancheur) »— Lettre autographe signée, adressée à Fasquelle. 30 septembre 1906 ; 1 page 1/2 in-8°. Il remercie de l’accueil fait à son ami Francis Jourdain : « Il n’y aurait en effet qu’à tenir le livre prêt et à le lancer cette année si j’ai des chances. Dans le cas contraire nous le garderions pour l’année prochaine. Peut-être me sera-t-il possible de me faire une opinion justifiée en communiquant les épreuves à Descaves et à Mirbeau. » [Il s’agit de Croquignole, qui n’obtint pas le Goncourt malgré le soutien de Mirbeau.] L’ensemble :
3 poèmes autographes
PHILIPPE Charles-Louis3 poèmes autographes, « Travail », « Repos » et « Louise ». Juillet-août [1895] ; 3 pages 1/2 in-4°. Papier fragile, légères fentes.Rares poèmes de jeunesse.« Travail » (26 juillet) se compose de 8 quatrains :« Et proclamer sa vie, en des gestes de sacreAux muscles venus épandre un jour de leur ordre ! »« Repos » (2 et 16 août) comprend 6 quatrains :« C’est mon repos ce soir, en présence d’amour, Alenti de mouvoir mes songes distingués »Le dernier, titré « Sainte Louise » (« Sainte » a été biffé), daté du 24 août, compte 5 quatrains :« Sainte Louise, c’est vous en lenteur, sous la grâce, Au long de vos cheveux adorés de ce soir, Et c’est vous à moi, parmi cette lenteur lasse, Des yeux de tout mon cœur, adorable à vous voir »L’écrivain a précisé, au bas de deux poèmes, qu’ils ont paru dans la revue belge L’Art jeune.
Manuscrit autographe
PHILIPPE Charles-LouisManuscrit autographe. 1 page 1/2 in-4°. « De l’Art — M. Henri van de Putte ». Il pose la question : « pourquoi la société actuelle est incapable de s’exprimer en art ? Mais simplement parce qu’elle est inharmonique! Tout se résume en effet à l’Harmonie; et c’est le mot unique que les poètes, les vrais philosophes et les vrais politiques ont sur les lèvres et dans le cœur. » Peu commun.
Lettre autographe signée
PHILIPE GérardLettre autographe signée, adressée au journaliste René Brest. 20 décembre 1945 ; 1 page in-4°.« Voici les seules photos que j’ai trouvées chez moi. je vous demande de me les renvoyer dès que vous pourrez car j’y tiens. »En post-scriptum il rajoute : « l’une est du “Pays sans étoiles” (45) l’autre est une “amateure” où je suis avec ma grand mère et mon frère (41).»
Ensemble de 2 lettres autographes signées.
PHILIPE GérardEnsemble de 2 lettres autographes dont 1 signée :— Sans date ; 4 pages in-16 oblongues. « J’ai peu de temps à moi. De Bruxelles je n’ai pas pu vous répondre. Ici […] j’ai une soirée où j’ai l’occasion de répondre à votre lettre — mais je n’ai pas le papier adéquat — ma foi tant pis ! Il me semble que j’aurais peu de choses à vous apporter dans la première étape. Le spectacle, vous l’avez fixé dans son milieu. Vous saurez le projeter. Restent les détails d’ordre professionnel. C’est la deuxième étape. Jeu, son, lumière. Si je suis proche et libre, je viendrai volontiers assister à une répétition où je pourrais vous aider, question diction et jeu. Pour le son, il dépend de la conception que vous en avez autant que de la technique. Peu de bruits mais dans le rythme et audible. Pour la lumière, il vous faut essayer de ne pas faire trop d’effets. Mais tout cela vous l’avez déjà éprouvé sans doute et je ne fais que vous rappeler vos soucis. »— Juin 1956 ; 2 pages in-16. « Je serais heureux de pouvoir vous aider. Je ne connais pas la pièce de Brecht mais je vais me la procurer. D’autre part, je suis plein d’occupations cet été. Donnez-moi des détails. Si je peux vous aider, je le ferai volontiers et si je suis absent, je pourrais demander à un de mes camarades du TNP de vous conseiller. »
Photographie signée
PHILIPE GérardPhotographie signée. 24 x 18 cm. Superbe photographie du studio Harcourt.« Gérard Philippe, tous mes voeux. »
Portrait
PHILIDORPortrait gravé par Jules Porreau. XIXe siècle ; 85 X 105 mm sur un feuillet de 220 X 310 mm.
Livre copie dordonnances
PHARMACIE.Livre copie dordonnances concernant la vente des substances vénéneuses. De 1891 à 1892 ; 31 x 20 cm ; 200 pages environ, reliure très usagée. Livre de délivrances de médicaments et de produits pharmaceutiques dune pharmacie parisienne (Louis Ducarie, 128 avenue Parmentier). Figurent les numéros dordre, les noms des médecins, les dates, les noms et le détail des prescriptions, les quantités, les noms des malades ainsi que les prix. On retrouve des substances telles que : bisulfate de quinine, salicylates de magnésie, antipyrine, chlorhydrate damoniaque, iodium de potassium, peptonate de fer, sirop de codéine, teinture de valériane, sulfate de quinine, etc.
Photographie signée
PFEIFFER Georges-JeanPhotographie signée. [XIXe] ; 16,5 X 11 cm. Photographie de J.M. Lopez. « À ma chère cousine Gabrielle Hillemacher, son affectionné cousin. Pfeiffer. » Belle pièce.
Lettre autographe signée
PEYREFITTE RogerLettre autographe signée [adressée à Jean-Michel Royer]. 8 décembre 1985 ; 2 pages in-4°. Sur son papier à lettre illustrée d’un dessin imprimé et collé sur la page : « L’amour est ma justice ».Très longue lettre difficile à déchiffrer : « J’aurais pris la plume pour vous remercier de votre merveilleux article d’Historama car il faut que la plume réponde à la plume ». Il évoque l’histoire du XVIIIe siècle, la Régence, Louis XIV, Voltaire, des articles du Figaro, etc. Texte très intéressant.