Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Lettre autographe signée
OM HABIBEH (Yvonne Blanche Labrousse, dite)Lettre autographe, signée « Om Habibeh Aga Khan », [adressée à A. de Fouquières]. Le Cannet, 15 août 1957 ; 1 page 1/2 in-12.« Votre lettre ma profondément touchée et je vous remercie bien sincèrement de votre sympathie dans mon irréparable malheur » Son époux, lAGA KHAN III est décédé le 11 juillet 1957.
Carte autographe signée
Max d’OLLONELettre autographe signée, adressée à Georges Favre. Paris, 27 mai 1929 ; 1 page in-12, enveloppe avec adresse autographe timbrée. « Je suis heureux pour vous de ce beau temps et j’espère que mes conditions à être satisfait des sujets et de votre travail. Je serai à votre disposition dès votre sortie de loge pour vous aider à trouver des chanteurs. » On joint une carte de viste autographe.
Lettre autographe signée
OLLONE Max d’ (Maximilien Paul Marie Félix, dit)Lettre autographe signée, adressée à Georges Favre. Paris, 27 novembre 1929 ; 1 page in-12, adresse autographe timbrée. « Masson me demande de venir à l’Op. Com. […] samedi prochain. […] Je viens donc vous demander si vous pourriez ne venir ce jour là que vers 6 heures […]. Un mot (ou un coup de téléphone de 8 h du matin à 1 h de l’après-midi demain) s.v.p. »
Partition autographe signée
OLLONE Max d (Maximilien Paul Marie Félix, dit)Portée musicale autographe signée. 1 page in-4°. « Trio en la mineur pour violon. »
Photographie dédicacée
OEHMICHEN ÉtiennePhotographie le représentant devant sa machine, dédicacée « à M.E. Lassalle ce document ancien déjà E.Œhmichen. »17 x 13 cm. Cliché de l’agence Rol. Rare.Il mit au point le premier hélicoptère. Dès 1919, Œhmichen étudia la mise au point d’un hélicoptère. En 1921, son hélicoptère à ballon n°1 réussit à s’élever quelques instants. L’hélicoptère n° 2, débarrassé de tout ballon avait quatre hélices sustentatrices, quatre petites hélices à axe vertical, dites “évolueurs”, un gyroscope à stabilisation et des surfaces orientables de direction qui s’opposaient ainsi à la rotation de l’appareil.
Lettre autographe signée
ODIOT GustaveLettre autographe signée, adressée à M. Debax. Paris, 22 juin 1852 ; 1 page in-4°. En-tête imprimé « Odiot Orfèvre ». Concernant un devis de service d’argenterie pour vingt-quatre personnes. « Cette demande est très vague et je vous serais obligé de vouloir bien me faire savoir si vous désirez une service de couverts complets ou un service avec vaisselle, ou bien encore un service avec pièces de surtout. »
Lettre autographe signée
ODIOT Charles NicolasLettre autographe signée. 21 septembre 1827 ; 1 page in-8°. « Je vous rappelle la promesse, que vous m’avez faite, sitôt le retour de Madame votre épouse de venir dîner à ma maison de campagne, en ville ; j’espère que ma chère cousine Lardillère et le bon M. Fourchi, prendront avec vous des arrangemens, pour me donner un jour, qui me fixera sur le plaisir que j’aurai de vous recevoir. »
2 lettres autographes signées du R.P. Edmond de la Villemarqué,
OBSERVATOIRE DE ZÔ-SÈ, CHINE — DE LA VILLEMARQUÉL’Observatoire astronomique de Zô-sè, Chine, fut fondé et dirigé par les missionnaires de la Compagnie de Jésus. Au sommet de la colline rocheuse de Zô-sè, à 25 kilomètres de Zi-Ka-Weï, l’Observatoire possède depuis 1900 une coupole qui abrite un équatorial composé de deux lunettes jumelées de sept mètres de longueur focale et de quarante centimètres d’ouverture destinées, l’une aux observations visuelles et l’autre aux inscriptions photographiques. Pour donner une idée de l’activité de cet Observatoire, mentionnons qu’on y a pris douze mille clichés du soleil destinés à l’étude des taches, dessiné sept mille protubérances, déterminé les positions de plus de quatorze mille étoiles, étudié douze cents étoiles doubles et des amas d’étoiles, calculé les perturbations produites par Jupiter sur les trajectoires d’une centaine de petites planètes, etc. 2 lettres autographes signées du R.P. Edmond de la Villemarqué, directeur de l’observatoire, adressées à M. ou Mme Ducrest. 1941-1943 ; 2 pages in-4°. En-tête imprimé « Observatoire astronomique Zô-sè ».— 8 décembre 1941 : « J’ai été bien touché de la bonté qui vous fait penser aux ermites de Zô-sè, et nous offrir ce charmant cadeau que le P. Dumas vient de nous apporter. […] Merci aussi à Monsieur Ducrest, si dévoué à l’observatoire. J’ai le plaisir d’entendre, à la radio, ses si prenantes conférences ».— 26 décembre 1943 : Il remercie son correspondant pour les présents de Noël qui sont bien arrivés et parle des conditions de vie : « Ici, nous continuons de tenir. La colline se déboise : bois réquisitionnés, bois volés, bois vendus pour acheter du riz, bois transformés en charbon de bois pour la gazogène. Visites de gendarmes et de policiers inspecteurs — Petits ennuis — Aussi quelle joie de recevoir un petit mot de Français ou de vous entendre parfois à la radio. »
Lettre autographe signée
NUNGESSER CharlesLettre autographe signée, adressée à sa mère. Tucuman, 15 février 1913 ; 8 pages in-8°.« Chère Maman, Depuis trois semaines, aucune nouvelle de France et aujourd’hui, tout d’un coup, trois lettres, deux de toi et une de Robert. Tu me dis que tu as fait toutes les banques, mais n’importe quelle banque te paieras toujours un billet argentin au moins 108 piastres. Je t’en envoie encore un dans cette lettre. Va à la Banque de France ou comme tu voudras, à la banque Victor, en face de la gare. […] Pour mon service militaire je demande aujourd’hui même un sursis d’un an afin d'être tranquille et de ne pas avoir d’ennuis. […] J’espère que tu es en bonne santé et que tu commences à te faire moins de bile qu’avant. Tous les mois, à partir de maintenant, je t’enverrais 50 piastres, soit 108 francs, tous les mois. […] Je pense à toi autant que tu penses à moi et je voudrais déjà pouvoir aller t’embrasser. […] Ce pauvre Robert est assez mal parti à Valenciennes d’après ce que je vois. Connais-tu la jeune fille dont il veut faire sa femme ? Qui est-elle ? […] J’ai revu toute la famille Hautcoeur à Tucuman le jour de l’arrivée de Pierre. J’ai été le chercher en automobile à la station. Il est grandi, grossi, méconnaissable. Il a été très gentil. Nous avons passé une bonne journée ensemble, je t’assure. Mon oncle a payé le champagne et m’a invité à aller à Rio Colorado. J’ai fait la bête et j'y suis allé. […] Jusque maintenant, aucune lettre de Louis, d’ailleurs, je crois comprendre que les Hautcoeur et les Barbieux sont brouillés. Bref, moi, pour le moment, je m’occupe de me faire une situation en dehors de mon travail d’automobile ».
Lettre autographe signée
NUNGESSER CharlesLettre autographe signée, adressée à sa mère. Tucuman, 31 décembre 1912 ; 6 pages in-4°.« Chère Maman, Voilà trois semaines que je n'ai pas écrit et le temps commence à me paraître long, mais en échange j’ai pas mal de nouvelles à t’apprendre. Dans la dernière lettre que je t’ai écrit, je te parlais déjà de mon départ de l’estancia Santa Adela et ce départ n’a pas été tout seul. Mon oncle ne voulait absolument pas que je quitte la maison mais tu comprends bien que je ne suis pas ici en Amérique à 16000 km de ma mère pour gagner 15 pesos par jour en faisant le pion (domestique) de Monsieur Émilie Hautcoeur, bref j’attendais toujours à la casa dans l’espoir des melons, je comptais pouvoir les vendre et en retirer au moins 1500 à 2000 p. et pour comble de malheur ces maudits melons que j’ai eu tant de mal à planter ne valent rien, la semence n'était pas de melon, elle était de cayotte, une plante qui ne se vend pas et tu juges de ma colère quand j’ai su cela. […] Enfin bref toujours est-il que j’ai demandé à mon oncle de partir à Tucuman. À la suite de cette demande, une scène violente s’est produite entre nous deux. Il m’a traité d’insolent, m’a dit qu’il m'avait recueilli, en un mot, j’ai fait ma malle, ma valise et suis parti à Tucuman avec 5 piastres en poche, résultat d’un travail acharné de trois mois. » Sur la recommandation du consul de France, il s’est fait présenter à plusieurs millionnaires de Tucuman. « Monsieur René Hileret m’a dit simplement :“Jeune homme, j’ai trois autos, entre autre une automobile Bayard Clément de 50 chevaux qui n'a jamais marché, si vous pouvez me faire marcher le moteur, je vous prendrai comme mon mécanicien et vous donnerai 180 piastres pour commencer.” Il y a exactement onze jours que je travaille. J’ai démonté l’auto pièce par pièce et j'ai le plaisir de t’annoncer que je suis définitivement chez lui. […] Pour essayer l’auto, il m’a dit de le conduire avec sa fille, une charmante américaine de dix-huit ans dans une montagne à Vio-Etoguès. Moi qui n'ai peur de rien, je t’assure que je n’étais pas à mon aise. La première fois que je conduis une voiture en Amérique, c’est pour monter à 1500 mètres par des chemins épouvantables et toujours au bord de précipices dont on ne voyait pas le fond. Ces Américains sont extraordinaires de sang-froid au bord des précipices. Mlle Grimault chantait, lui lisait le journal avec un chauffeur qui conduisait leur voiture pour la première fois et ne m’ayant jamais vu conduire, c’est réellement extraordinaire. […] Je leur ai montré mon brevet de pilote et il n’aurait rien de drôle qu’il achète un aéroplane. […] J’ai quatre pions pour laver les voitures et astiquer les cuivres ; je vais me promener en auto pour essayer les moteurs une partie de la journée. […] Tu ne vas pas me reconnaître quand tu vas me revoir. Je t’assure que je prends le genre tout ce qu'il y a de plus américain. Autant j’étais bouillant et emporté en quittant la France, autant je suis calme et de sang-froid maintenant. »
Lettre autographe signée
NUNGESSER CharlesLettre autographe signée, adressée à sa mère. Sans date [11 ou 12 juillet 1912] ; 4 pages in-12 sur papier à en-tête des « Messageries maritimes » (traces de ruban adhésif autour de la lettre). Lettre écrite à bord du paquebot Le Chili : « Quand tu recevras ces quelques lignes, je serai arrivé sur le sol américain ou tout au moins bien près. […] Nous mangeons un peu de vache enragée, un hamac pour dormir, des assiettes en fer blanc, enfin ce n’est rien. […] Je passe mon temps allongé, à l’avant du paquebot, sur une chaise longue et j’apprends l’espagnol, j’ai de charmants professeurs […]. Petit à petit, la fameuse langue espagnole me rentre en tête et je t’assure qu’elle ne me quittera pas de si tôt. Les HLEREZ chez qui je vais aller dès mon arrivée sont universellement connus à bord et presque tous les garçons et bon nombre de passager les connaissent. Je crois que je vais arriver à quelque chose là-bas, je suis plein de confiance, de courage et d’espoir, mais d’illusions, aucune. Je n’en ai plus, j’en ai trop eues. » Il a l’intention à l’arrivée à Buenos Ayres d’aller voir le consul. « Ne montre mes lettes à personnes, brûle-les aussitôt lues. Je te rappelle, en deux mots, ce que tu dois faire pour les quelques ennuis que tu pourrais avoir à Valenciennes. Si tu as n’importe quel ennui avec les îles Britanniques à mon sujet, tu n’as qu’à dire que je suis parti quelques mois en Amérique et qu’aussitôt mon retour, si je ne les règle pas, tu les régleras ; d’ailleurs, ils ne peuvent rien te faire. » Il compte régler ses dettes à son retour. « Quant à moi, je veux réussir et je réussirai […]. Ne te fais pas de bile, car ça va aller. J’ai envoyé des cartes chez Sautien. Va chez eux de temps en temps, ça te distraira. Je termine car la poste part en t’envoyant mille baisers de ton fils. »
Photographie signée
NUIBO FranciscoEnsemble de 2 photographies dédicacées. 23 x 17 cm. Photographies du studio Dufayel :— « À ma Chère camarade Andrée Wally, souvenir affectueux de grande admiration. Chèrement. Nuibo de l’Opéra. Dominique de l’attaque du Moulin. »— « En souvenir d’amitié à mon exquise camarade Andrée Wally, mon admirable Juliette. Nuibo de l’opéra. »
Lettre autographe signée
NOWOWIEJSKI FeliksLettre autographe signée « Felix Now », adressée à Joseph Debroux. Paris, 3 janvier 1904 ; 1 pages in-12, en français, avec portées musicales sur une carte pneumatique.« Recevez tous mes remerciements pour l’agréable soirée que vous m’avez fait passer et surtout pour le délicieux concert […] que vous avez joué que je n’ai jamais entendu exécuté d’une façon si parfaite. Veuillez m’excuser auprès de Mme Debroux que j’a été un peu distrait ». Il donne ensuite l’adresse du compositeur Max Bruch et finit sa correspondance avec deux portées musicales.
Lettre autographe signée
NOWOWIEJSKI FeliksLettre autographe signée [adressée à Joseph Debroux]. Paris, 23 janvier 1904 ; 2 pages in-8°, en français, avec portées musicales (petite fente).« Je viens vous remercier pour le billet que vous avez eu la grande amitié de m’envoyer. Le programme de votre concert est magnifique par son genre classique. Quelle joie pour moi d’entendre une oeuvre de mon maître Max Bruch à qui j’ai écris sur votre concert ! Permettez moi de vous demander un petit mot (sur carte de visite) me faisant connaître à Monsieur Chevillard et me donnant son adresse ».Il termine avec un extrait manuscrit de sa Symphonie n°1.
Lettre signée
NOURISSIER FrançoisLettre signée, adressée à Roger Bornand. Paris, 5 octobre 1987 ; 1 page in-4°. En-tête de l’académie Goncourt. Enveloppe jointe. François Nourissier explique à son correspondant les modalités pour se procurer une de ses photographies en couleurs : « Vous lui demandez une des photos couleurs faites par Mlle Bamberger, lors de son reportage en Suisse chez moi le 29 aôut 1987. Précisez : une photo d’extérieur, avec montagnes et, si possible, mon chien ! Il y en a une, excellente ».