Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Photographie signée
GAVRE Suzanne de14 photographies dédicacées ou signées. 1935-1942 ou sans date ; formats divers (par R. Marchand à Bruxelles). Bel ensemble sur la chanteuse au Théâtre de la Monnaie dans les rôles de Mireille (2), Rosine (Le Barbier de Séville, 2), Manon (2), Annette (Chanson d ’Amour), Marie (La Fille du régiment), Mimi (La Bohème), Anita (Giuditta), Leïla (Les Pêcheurs de perles), et en tenue de ville (3). On joint une autre photo en costume de Manon.
Lettre autographe signée
POULENC FrancisLettre autographe signée, adressée à Mme Fernand Halphen [Alice de Koenigswarter]. [Noizay 25 juin 1938] ; 1 page in-12 sur carte postale avec enveloppe timbrée. « Je termine un travail qui me cloue ici en espalier. Je regrette la fraîcheur de vos bois et la chaleur de votre accueil. Fr. Poulenc. »
Lettre autographe signée
PETIT PierreLettre autographe signée, adressée au libraire Aubanel à Avignon. Paris, 13 mai 1898 ; 2 pages grand in-8°, enveloppe timbrée jointe. En-tête imprimé illustré de son portrait. « Nous avons 14 portraits différents de Sa Grandeur Monseigneur Sueur archevêque dAvignon, dont 6 en habit de cérémonies et 2 en grand format 24/30 centimètres et 30/40 centimètres. [ ] Si vous désirez des tirages vous pouvez adresser votre comde : Les cartes 0,40 c les albums 0,80 c. 24/3 les grands portraits 4 francs, 30/40 centimètres 7 francs. La Vierge immaculée 10 francs. » Il indique également dautres tirages disponibles de saint Vincent de Paul, Falguières, etc.
Photographie autographe signée, dédicacée
RENAUX EugènePhotographie signée. Deauville, 1913 ; 13 X 18 cm. Belle photographie le montrant sortant de son hydroplane et dédicacée : « Hydravion M. Farman gagnant du grand prix du Ministère de la Marine. Deauville 1913, Eug. Renaux. » Rare.
Lettre avec dessin
ABEL-FAIVRECarte autographe signée avec dessin aux crayons de couleurs. 2 pages in-12 oblongues. Joli dessin à la mine de plomb, rehaussé de rouge représentant une élégante jeune femme. « Je suis très sensible à votre lettre et à votre charmant envoi. Je vous adresse avec mes remerciements lexpression de ma grande sympathie. »
Aquarelle
ÉCOLE FRANÇAISE DU XVIIIe.D'après la fable de La Fontaine « Le loup devenu berger » Aquarelle 19 x 23,5 cm. Auteur non identifié.
Ensemble de lettres autographes signées
MAULNIER ThierryEnsemble intéressant de 14 lettres autographes signées, adressées à M. Morazzani, de la Société des Auteurs et Compositeurs. 1959 à 1964 ; 13 pages in-8° et 4 pages in-4°. Une grande partie des lettres à en-tête du Figaro. Courriers avec différents directeurs, concernant certaines de ses pièces : Procès à Jésus , La Maison de la nuit , Jeanne et les juges, Les Profanateurs. L’ensemble :
Lettre autographe signée
MOSZKOWSKI MoritzLettre autographe signée, adressée à un éditeur. Nauheim, 17 juin 1883 ; 2 pages in-8°, traces de colle au dos de la seconde page. Il le remercie pour la nouvelle de la bonne vente de son opus 31 (6 morceaux de piano) et ne veut pas donner suite à la demande de cession du petit Märschchens. « Ich danke Ihnen sehr für die angenehme Neuigkeit über den guten Vertrieb meines opus 31 [6 Klavierstücke], was indes Ihr Ersuchen um Überlassung des kleinen Märschchens anlangt, so kann ich demselben leider nicht willfahren, da ich das kleines Stück nicht einzeln heraus. Sollten sich [...] noch mehrere andere Stücke ähnlichen Charakters um dasselbe crystallisiren, so würde ich es wahrscheinlich schon Hainauer [dem Breslauer Verlagshaus] geben müssen, der seit furchtbar langer Zeit nichts von mir gekriegt hat. »
Lettre signée
GUILLAUME IIILettre signée, adressée à une musicienne. La Haye, 25 décembre 1874 ; 3 pages in-4°. Il lui est reconnaissant de prendre soin de sa « Pensionnaire de 1ère classe », Mlle Van Erps Reerink et de lavoir invitée à la soirée musicale quelle organise chez elle. Il sefforce ensuite de la rassurer au sujet de laudition que la jeune élève va donner prochainement devant un « aréopage de grands musiciens et de grands maîtres » sur la scène du théâtre du château royal de Loc : « Il suffira pour cela de vous nommer les noms de Messieurs Reber, Ambroise Thomas, Félicien David et Liszt, en effet ces Messieurs dont la plupart sont auteurs douvrages distingués qui ont obtenu de grands succès ainsi que la sanction des publics devant lesquels ils ont été joués, tous ces Messieurs savent ce que cest que des voix et quécrire pour elles et Mademoiselle Reerink na aucune crainte à avoir, ni vous pour sa réussite complète et certes que la meilleure de toutes les recommandations est celle dêtre votre élève. » On joint une lettre autographe signée de Sophie, reine des Pays-Bas, épouse de Guillaume III. Sans date ; 2 pages in-8°, en allemand. Remerciements pour une communication quelle a reçue dans sa chambre de malade où la retient une mauvaise fièvre.
Lettre autographe signée
BLOY LéonLettre autographe signée « LB », adressée à Alcide Guérin. 23 mai 1897 ; 2 pages in-8°, avec ratures et nombreuses corrections. « Après beaucoup d'hésitations, je me décide à vous écrire. Je ne veux pas renouveler les harangues inutiles, mais seulement [ ] préciser de façon bien nette la situation que vous avez créée de vous-même. Je vois en vous avec grand chagrin, une victime lamentable de l'esprit de déception & de tristesse dont vous êtes devenu la proie volontaire. » Le « langage strictement chrétien » de Jeanne a paru à Guérin « d'une exaltation dangereuse & le symptôme alarmant d'un déséquilibre mental. [...] Votre aveuglement est tel que vous ne voyez pas le piège qui vous est tendu par celui qui tient à vous éloigner de vos amis. Vous ne voyez pas que votre lettre extraordinaire vous est dictée par l'Ennemi ». Bloy le supplie: « Si vous n'avez pas pitié de vous-même, ayez pitié au moins de votre filleule. »
Six lettres autographe signées
DESCHAMPS Antoni (Antoine, dit)Six lettres autographe signées, adressées à l’écrivain et patriote italien Giuseppe Ricciardi. Montmartre et Passy, 9 décembre 1844 au 27 janvier 1868 ; environ 11 pages in-8 ou in-12, quelques adresses. Intéressante correspondance politique et littéraire à l’écrivain et patriote italien Giuseppe Ricciardi (1808-1882), exilé en France. Longues lettres témoignant de son profond attachement à l’Italie - à laquelle il dit devoir son amour pour les arts et la poésie -, pays dont il embrasse la « cause sacrée » de l’indépendance, rendant notamment hommage à ses martyrs de Calabre (allusion à l’exécution en 1844 des frères Bandiera et de Domenico Moro, après une tentative insurrectionnelle à Cosenza). Longs passages relatifs au journal La Presse, devenu quelque peu frileux après sa suspension en 1857, et à la littérature française dont Antoine Deschamps cite plusieurs acteurs : Edouard Ploviers, Alexandre Dumas, son frère Emile Deschamps, Alexandre Chodzko, que Ricciardi a eu le bonheur de lui faire connaître, etc. Il annonce en outre la mort du Docteur Blanche dont il a été longtemps l’hôte et dont le fils a repris l’oeuvre, commente brièvement un discours de Montalembert, évoque les magnifiques obsèques faites à Béranger dont il avait la plus haute estime, annonce qu’il se rend chez Louise Colet, cite le journaliste Léon de Wailly (de L’Illustration) qui a certaines antennes en Italie et peut oeuvrer pour la cause sacrée de l’indépendance de ce pays en agissant prudemment pour ne pas éveiller l’attention de l’Autriche.
Carte autographe signée
ILLICA LuigiCarte autographe signée, adressée au « Maestro Ettore Panizza », chef d’orchestre et compositeur argentin. Castella, 15 août 1912 ; 2 pp. recto-verso sur une carte postale timbrée (cachet de la poste Arquato du 15.8.1912, en italien, traduction anglaise jointe. La carte postale représente des bijoux. Correspondance musicale concernant l’opéra « Il Corso ». Concernant cet opéra, il a écrit une lettre à Guido qui lui a répondu que vous devez entrer en contact avec lui et qu’il est en bon terme avec Tito Ricordi.« Je suis en bon termes avec Tito [le librettiste Tito Ricordi jr] et quand l’occasion se présentera, je parlerai avec lui de cet opéra ». Il est étonné que Tito lui écrive que Panizza est encore en train de travailler sur les deux premiers actes. Le contrat d’Il Corso est vieux de 10 ans et pensait l’oeuvre finie. Il rappelle la citation de Cicéron : « pro domus mea ».
(Lettre autographe signée adressée au)
SUFFREN DE SAINT-TROPEZ (Pierre André de, dit le bailli de SuffrenLettre autographe signée du vicomte de Beaumont-Lemaistre, lieutenant de vaisseau à bord du Vengeur, adressée à M. de Peynier. [Aux Indes], 9 février 1783, 1 page in-4°. Le vicomte de Beaumont-Lemaistre l’informe « des dernières instructions que j’ai reçues de Monsieur de Suffren au sujet des navires danois. Les bâtiments maures avec pavillon danois qui n’auront point d’Européens à bord, arrêtés près de Madras, seront envoyés ici ou a Pondichéry pour y être examinés, à moins qu’il n’y eut des jets de papiers à la mer, des dépositions, d’autres ciconstances qui le declarassent bonne prise, alors on pourroit les brûler et couler comme les autres maures ». Lettre intéressante.
Lettre autographe signée et 5 photographies dédicacées ou signées
DECLERY MauriceLettre autographe signée et 5 photographies dédicacées ou signées. 1904-1921 ; 3 pages in-8°, et 5 cartes postales.28 avril 1907, belle lettre sur Les Maîtres chanteurs : « Quand un artiste s'attaque à l'interprétation et à la réalisation d'un personnage de l'envergure soit de Sachs, soit de Beckmesser, il y gagne bien des nuits d'insomnie, bien des heures de doute, presque de découragement. Pensez donc, nous autres humains dont les pieds restent fixés sur la terre, nous devons nous rapprocher, sans espérer jamais le saisir, d'un géant enfanté par un colosse »… Photographies dans Les Maîtres chanteurs (2), Les Contes d’Hoffmann, Marouf, Savetier du Caire, etc. Plus 2 photos en Figaro et Hamlet.
2 Lettre autographes signées
BLOY LéonBrouillon de 2 lettres autographes signées, adressées à Alcide Guérin. Réunies sur 2 pages in-8° avec ratures et corrections. Rupture avec l'ami et parrain de sa fille Véronique, modèle d'Hercule Joly dans La Femme pauvre, à l'époque de la publication du roman (15 mai 1897). Lettre signée « J.L.Bloy » (Jeanne à Alcide Guérin). 3 mai 1897 : « Comme Léon n'a pas le temps de vous écrire de nouveau, il me prie de répondre à sa place. » Léon n'a jamais promis de ne plus rappeler à Guérin ses devoirs de chrétien, et Jeanne regrette que leur ami s'y dérobe, en particulier envers sa filleule : « Envers Véronique vous êtes horriblement coupable, & je vous en accuse devant Dieu. Ne craignez pas que je vous en parle. J'ai trop de mépris pour les lâches raisons que vous pourriez me servir. [...] Faites-vous encore le signe de la Croix ? » Lettre signée « Léon Bloy ». 4 mai 1897. Bloy persiste à croire que Guérin est en danger : « Nous sommes amis depuis dix ans. À quoi cela vous a-t-il servi ? Je ne sais si vous avez jamais entrevu seulement l'énorme privilège qui vous était ainsi accordé, & le bien incalculable qui pouvait en résulter pour vous. [...] Vous vous êtes arrangé pour nous voir le moins possible, lorsque nos paroles & nos exemples devinrent pour vous, n'est-ce pas ? le cri importun de votre conscience. »