Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Importante correspondance adressée à Paul Brach
BENOIT PierreImportante correspondance adressée à Paul Brach. Environ 60 lettres, cartes, billets autographes signés et un télégramme. 1927-1939 ; formats divers, 35 enveloppes jointes, quelques mouillures sur certaines lettres. Remerciements, prise de rendez-vous et correspondance sur la vie littéraire et artistique parisienne, avec notamment des allusions à Marcel L’Herbier, Marcel Prévost, Paul Morand, Claude Farrère, etc. L’écrivain félicite Paul Brach pour son second mariage en 1931. Plusieurs lettres sur l’entrée à l’Académie française en 1931 de Pierre Benoit et à propos de son rôle de scénariste en 1936 du film d’Alexis Granowsky, Tarass Boulba. On joint une lettre au réalisateur et un courrier sur la naturalisation de Granowsky.
Lettre autographe signée
BENOIT PierreLettre autographe signée. La Roche-Posay, 20 mai 1951 ; 1 page in-8°. « Voici ma petite note. Vous serez bien bon de m’aviser de la date à laquelle elle sera publiée et des répercussions qu’elle pourra avoir. »
Lettre autographe signée
BENJAMIN RenéLettre autographe signée. Paris, 30 décembre 1916 ; 2 pages in-8°. « Merci Monsieur, d’avoir parlé de mon livre en des termes charmants, mais je vous supplie de ne pas y croire : 1° que j’ai décidé d’être un fabricant. 2° que mon succès de librairie m’a étourdi la tête. Ma femme et mon chien restent le meilleur de ma vie. Je me suis permis de refaire un volume sur la Guerre... parce qu’elle durait. Après j’en ferai un sur la paix ».
Lettre autographe signée
BENJAMIN RenéLettre autographe signée, adressée à Lucien Dubech. Paris, 2 mars 1924 ; 2 pages in-4°. « Ah ! mon cher Dubech, quelle bonne émotion ! Vos deux articles m’arrivent à la fois. […] Depuis deux ans que je travaille à cette pièce, que de fois me suis-je dit en prenant garde à vos critiques sur l’autre : “ Cette fois-ci qu’est-ce que Dubech dira ?” […] Vous m’avez vu avec vous au moment des Plaisirs du hasard. Rien déjà ne m’inquiétais plus que votre avis. […] Après Plaisirs, vous avez été deux hommes à me tenir un langage net : vous et Copeau. C’est tout. Ça ne s’oublie pas. […] Et n’y a-il qu’un art dramatique ? »
Lettre autographe signée, adressée à Lucien Dubech.
BENJAMIN RenéLettre autographe signée, adressée à Lucien Dubech. Paris, 2 mars 1924 ; 2 pages in-4°. « Ah ! mon cher Dubech, quelle bonne émotion ! Vos deux articles m’arrivent à la fois. […] Depuis deux ans que je travaille à cette pièce, que de fois me suis-je dit en prenant garde à vos critiques sur l’autre : “ Cette fois-ci qu’est-ce que Dubech dira ?” […] Vous m’avez vu avec vous au moment des Plaisirs du hasard. Rien déjà ne m’inquiétais plus que votre avis. […] Après Plaisirs, vous avez été deux hommes à me tenir un langage net : vous et Copeau. C’est tout. Ça ne s’oublie pas. […] Et n’y a-il qu’un art dramatique ? » Belle lettre.
2 lettres autographes signées.
BENJAMIN René2 lettres autographes signées. 26 mars 1938 : concernant son rendez-vous à Reims ; 13 mars 1938 : concernant la conférence « Le Coeur de l’Espagne » : « Je vous demanderais deux mille francs, tous frais compris. »
Pièce signée
BENJAMIN RenéPièce signée. Paris, 31 mai 1930 ; 1 page in-4°. Il s’agit du programme de la soirée du 31 mai 1930 sous la présidence de René Benjamin pendant laquelle a été représentée la comédie inédite en un acte : Le jour de Madame. Figurent les noms des acteurs.
Lettre autographe signée
BENJAMIN RenéLettre autographe signée, adressée à Maurice Guyot. Paris, le 5 juin 1913 ; 1 page 1/2 in-8°. « Merci mille fois de ton petit livre. Je lui dois une heure rare. Il a un joli titre : il est écrit avec élégance, et vraiment il est très prenant. Et puis, il est bien de toi. Tu es un monsieur lucide et précis, et tu écris comme tu regardes. Connais-tu ton il, quand il se pose sur les gens ? Eh bien, tes descriptions au moins sont comme cet il-là. C'est net ; c'est écrit une fois pour toutes ; on sent que tu aimes les vers parce qu'ils sont la plus brève manière de bien parler. Ainsi, tes Marines, tes Diligences, ton Village au Soleil donnent une impression de plénitude, qui m'a rempli d'aise ; c'est étonnamment ça ; il n'y a plus rien à dire. Mais j'ai goûté aussi comme il convient tes Litanies et ton Ariette. C'est d'une drôlerie bien finement touchée. Et enfin, dans les autres pièces, qui sont plus furtives et plus délicates, j'ai retrouvé toute la sensibilité retenue d'un Guyot, qui a peur de se montrer. »
Lettre autographe signée
BENJAMIN RenéLettre autographe signée, adressée à Lucien Dubech. « Vendredi matin 29 » [1934 ?] ; 3 pages in-8°. « Merci, d'abord, merci ! [ ] Je devine que je vous embarrasse. Et miracle ! Votre article ne trahit pas l'embarras. Le cur a caché ce qui gênait l'esprit. Ah! cher Dubech, je suis content ! Je tiens tellement plus à l'amitié de l'homme qu'aux vérités du critique. [ ] Le théâtre est un amusement. [ ] Je confesse d'avoir toujours adoré les chansons des rues. J'ai voulu simplement, dans l'une d'elles, mettre ce que j'ai pu de vérité et... et d'âme. Un poncif n'en est pas un, dès qu'on l'anime. Le tout est de savoir si je l'ai animé ! » Belle lettre.
Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs
BÉNÉZIT Emmanuel.Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs. Gründ; édition en français. Illustré, avril 1999. 14 volumes reliés ; 13300 pages. 51,6 x 36,8 x 34,2 cm.La nouvelle édition du Bénézit est parue en mars 1999. Dix années de travail auront été nécessaires pour la refonte entière de l’ouvrage, qui compte aujourd’hui dans ses 14 volumes 170000 entrées et 20000 renvois pour en faciliter la consultation. Les sources utilisées sont constituées de centaines de milliers de documents, allant de l’encyclopédie spécialisée jusqu’au plus petit article de presse, en passant par les monographies, les catalogues d’exposition, les revues d’art et les données de places de ventes publiques du monde entier.Relié: 13300 pages. Gründ; Édition en français. 51,6 x 36,8 x 34,2 cm
Photographie signée
BEN GOURION DavidPhotographie signée. Sans date ; 13,5 x 13 cm. Traces de foulage d’écriture très légères et à peine perceptibles.
Pièce signée
BELLMER HansPièce imprimée avec mots autographes et signée. 9,5 x 24,5 cm. Bulletin de vote intitulé « Qui après Paul Fort ? », à retourner à M. Pierre Béarn. « Je ne vote pour aucun Prince des poètes. Avec mes regrets. » Sur le bulletin, figurent son nom et son adresse.
Carte autographe signée
BELLMER HansCarte autographe signée, adressée à la galerie Jeanne Bucher à Montparnasse. Castres, 28 septembre 1942 ; 1 page in-12.Carte postale interzone pré-timbrée envoyée de la zone libre. Bellmer demande quelques livres dont « Le livre ouvert » par Paul Éluard ou encore un « petit recueil de Marcel Duchamp édité par Hugnet » ; ceux-ci seront remis à « …M. Lapeyre de Castres qui passera à Paris après le 10 octobre… ». A la fin de la lettre il demande « Ne serait-il pas possible que vous madame ou Paul Éluard insistiez un peu pour mes travaux ? » Rare.
Ensemble de lettres signées
BELLENGER GeorgesEnsemble de 8 documents sur ses exploits d’aviateur. 5 photographies et 3 lettres signées. Ces documents ont été signés postérieurement aux photographies.— Photographie (retirage) signée, le représentant en buste (1910).— Photographie (retirage) signée, le représentant en buste, la main levée vers le ciel (1911).— Photographie (retirage) signée, représentant son avion dans le ciel, depuis un village sur la route vers Bordeaux (1911).— Photographie (retirage) signée, représentant son avion, dans le ciel, à son arrivée à Pau le 1er février 1911.— Photographie (retirage) signée, représentant son avion dans le ciel, en mars 1910.— 3 lettres signées, adressées au docteur Fernand Fossier. 14 juin 1970 ; 1 page in-4°, chaque. Lettres intéressantes concernant les photographies ci-dessus.
Lettre signée
BELLE-ISLELettre signée « Le Mal duc de Belleisle », adressée à M. Brunaw dans le régiment de cavalerie allemande de Nassau. Versailles, 2 février 1760 ; 2 pages in-folio. « Jay rendu compte au Roy de la lettre, Monsieur, que vous mavez fait lhonneur de mecrire le 6 du mois dernier au sujet de la reforme de Mal de camp que le Roy vous avoit accordée : mon objet en proposant cette grace a été de concourir a une chose que vous et M. vôtre pere paroissiés désirer ; et le titre de reforme étant incompatible avec celui de capitaine en pied il êtoit indispensable que vous quitassié vôtre compagnie, mais Sa Majesté ayant egard a vos representations dont elle a reconnu que le principe étoit latachement que vous avé pour son service, et dont vous auriés craint davoir moins doccasions de donner des preuves dans letat de Mal de camp reformé, Elle a bien voulu en vous conservant vôtre compagnie, convertir en pension sur le Trésor Royal les dix huit cent livres dapointemens quelle vous avoit accordés comme Mal de camp reformé. »