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Arts & Autographes

Réf : 32772 LITTERATURE

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PAULHAN Jean [Nîmes, 1884 - Paris, 1968], écrivain français.

Ensemble de 6 lettres autographes signées et 1 lettre signée.

Ensemble de 6 lettres autographes signées et 1 lettre signée. — À Georges Van Melle, 29 mai 1933 : « Il ne s’agit dans notre projet que d’un Tableau de la Poésie en France dont nous attendons plus encore que des poèmes, des témoignages sur le rôle et la raison de la poésie ». — À Gaston Picard, 5 janvier 1922 : « Merci de ce que vous me dites de Jacob Cow. Il m’est précieux qu’il vous intéresse et ne vous paraisse pas trop gros, à vous qui connaissez tant de nuances. J’ai parlé avec Roger Allard du Coeur se donne... J’espère qu’il écrira une note pour le NRF ». — À Gaston Picard, dimanche 4 avril : « Je vous remercie, Monsieur, d’avoir bien voulu m’envoyer le Bulletin des Écrivains. J’ai été heureux de la lire, et il me serait précieux d’en posséder les quatre premiers numéros. Puis-je vous prier, s’il est possible, de me les faire parvenir à Saint-Denis où, blessée et encore assez mal rétabli, je dois rester quelques semaines. » — À Gaston Picard, jeudi : « Je suis triste de devoir vous rendre le Poëte au balcon, dont Jacques Rivière apprécie bien la finesse (malgré qu’il ne reconnaisse pas assez nettement, je pense, la gravité et la poigne que cache cette finesse) mais qui ne lui paraît pas convenir à la Nouvelle revue française. » — À Gaston Picard, ce 18 mars [1918] : « J’ai reçu les bulletins et vous remercie bien vivement d’avoir songé à me les faire parvenir. Mon ami Albert Uriet m’écrit devoir renoncer, pour l’instant aux Chants de Maldoror. Il a quelque espoir pour l’avenir, si vous y consentez encore et prie de toute manière que vous veuillez l’excuser »… — À Gaston Picard, le 16 août : « Puis-je vous demander de vouloir bien rectifier mon adresse. Elle est : adjudant-interprète. T.M. 227 par B.C.M. Le dernier bulletin ne m’a rejoint qu’après d’extraordinaires voyages ». — À Gaston Picard, Frôlois, le 16 août 1919 : « Je vous remercie pour ce dernier bulletin ; il parfait une oeuvre noble, à laquelle votre nom demeurera attaché. Merci d’avoir pensé, aussi, à m’envoyer votre note sur Uriet, je suis heureux que son exposition vous ait intéressé et retenu. […] Je profiterai pour vous remettre votre exemplaire des hain-teny »…