Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Importante correspondance de 40 lettres autographes signées, 2 cartes autographes signées.
LAVALLIÈRE Ève (Eugenia Fenoglio, dite)Importante correspondance de 40 lettres autographes signées, 2 cartes autographes signées. Ces lettres spirituelles, très denses (en moyenne 3 à 4 pages chacune), en général non datées (1919-1921), sont adressées à Lucienne Boniface Soubercaze, aux Incunables à Paris. Nous ne pouvons toutes les retranscrire, aussi nous allons vous donner quelques extraits. « Je suis ravie des bonnes nouvelles que vous me donnez sur votre santé, et le projet de Lourdes m'enchante pour vous plus que tout. [ ] C'est aujourd'hui vendredi saint. Quelle méditation sur tout ce qui s'est passé en ce jour ! non jamais nous n'aimerons assez ce Jésus pour tout ce qu'il a souffert en ce jour, jamais ! Je vous souhaite de bonnes Pâques ma chère petite Lucienne ». Thuillières, Béthanie 4 novembre 1920 : « J'ai une plume neuve qui ne veut rien savoir pour écrire. Il me semble qu'il y a bien longtemps que vous ne m'avez envoyé de vos nouvelles ! J'espère que le proverbe ne mentira pas qui dit : Pas de nouvelles, bonnes nouvelles cependant j'aimerais mieux un petit mot que tous les plus beaux proverbes ». « Ma chère petite fille, Miracle ! Jésus m'a guérie ! Je suis faible, faible, mais ça passera. J'ai bien souvent pensé à vous [ ] pendant ma maladie, je savais combien vous aussi vous souffrez pauvre chérie et je trouvais que mes souffrances à moi n'étaient rien à côté des vôtres » On joint une correspondance de la baronne R. de Galembert sur deux cartes postales : 7 février 1938 : « Ma chère Lucienne, je vous envoie ce petit mot pour vous remercier de votre longue missive m'accusant réception des lettres de la chère Eve. Je parle souvent d'elle avec Mlle Robert qui a acheté la maison de Thuillières pour y faire une colonie de vacances pour les enfants des artistes nécessiteux. La chambre d'Eve a été conservée telle qu'elle était comme un vrai sanctuaire. [ ] C'est regrettable que vous n'ayez pu entendre Mme Dussane que je connais beaucoup ». On joint une lettre autographe signée de F.C. de Saint-Chamant, Cantal, datée du 24 août 1949 sur le décès de la baronne de Galembert : « C'est de la part de la pauvre Elisabeth de Galembert que je vous écris, aujourd'hui jour de son enterrement. La pauvre avait subi fin mai une opération de l'appendicite, puis 1 mois et demi après il a fallu recommencer sur une tumeur qui après examen s'est révélée cancéreuse.[ ] Elle a été très entourée [ ], très bien soignée », etc.
Portrait en pied, gravé
LAURISTONPortrait en pied, gravé par Boilly d’après un dessin de Girardet sur une peinture du baron Gérard. XIXe siècle ; 130 X 205 mm. Gravure tirée de la Galerie historique de Versailles.
Lettre autographe signée
LAURENT PICHAT LéonLettre autographe signée. La Saulsaie, 22 juin 185? ; 2 pages in-8°. En-tête du « Ministère de l’Agriculture, du Commerce & des Travaux publics — École Impériale — d’Agriculture de La Saulsaie ». « Je vous remercie, Monsieur, de l’intérêt que vous portez à notre établissement. Votre souvenir vit toujours à La Saulsaie, nous serions tous heureux de vous y voir et, quant à moi personnellement, je serais heureux de pouvoir vous en faire les honneurs.»
Pièce autographe signée
LAURENT JacquesPièce autographe signée. Sans date ; 1 page in-4°. Texte écrit pour une photographie de l’écrivain par Bruno de Mones.« Ce n’est pas un regard simple, un regard objectif que Bruno de Mones pose sur le monde. Son oeil et son appareil traduisent et créent. Une seconde a suffi à cet alchimiste pour me changer une brasserie que je fréquente depuis un demi-siècle en une cathédrale et une gare dont, au dessus du lustre, je suis obligé d’imaginer la nef. »
Tirage photographique baryté
LAURENT JacquesTirage photographique baryté. 50 x 40 cm, avec marges. Épreuve d’artiste signée par le photographe (Bruno de Mones) au dos.Janvier 1983 : Jacques Laurent a tenu à se faire photographier dans la brasserie Lipp. Comprenant qu’il était très attaché à cet endroit, j’ai fait en sorte de rendre le plus possible présente l’atmosphère de cette brasserie. Je devais quelques jours plus tard me retrouver dans ce même lieu, invité par Jacques Laurent à partager quelques whiskies en sa compagnie. Il tenait à me remercier pour sa photo, qui faisait partie de ses portraits préférés.
Lettre autographe signée
LAURENCIN MarieLettre autographe signée « Votre Marie », adressée au graveur Jean-Émile Laboureur. [Cachet de la Poste : Paris, 15 août 1924] ; 1 page in-4°, sur papier bleu à son adresse, enveloppe timbrée jointe. « C’est bien gentil cette peine que vous prenez pour les trains, mais vous connaissez la môme Marie. Paresse est son fort en gares. […] Je finis mes vieilles peintailles commencées. » Elle annonce son départ pour Bagnoles Son appartement parisien « est frais et rempli de livres ».
Lettre autographe signée
LAURENCIN MarieLettre autographe signée, adressée à son filleul Jacques Berland. Paris, « Le 27 janvier » ; 2 pages in-8°. « Je voulais écrire à votre mère pour la remercier. Nous l’avons mangé le jour de Noël, c’est-à-dire une partie. J’étais seule avec notre Suzanne [Suzanne Moreau, jeune fille qu’elle éleva et allait adopter en 1954]. On a l’impression que les gens ont peu réveillonné. Partout de vieilles huîtres qui traînent — et probablement des foies gras. Et puis de nouveau les gens affolés avec cette dévaluation. […] Des revues de luxe ont paru avec des reproductions de votre marraine […]. J’ai déjeuné chez les filleules. L’aînée travaille à la radio. Elle est triste et voudrait quitter la France. La seconde, Flora, dessine pas mal du tout et aura peut-être un livre d’enfant qui sortira pour Pâques. Personne n’était gai. On se sent accablé. Mais je reviens vers vous. Je voudrais bien voir vos jouets […] Suzanne, l’ange du foyer me prie de vous transmettre tous ses vœux ».
Lettre autographe signée
LAURENCIN MarieLettre autographe signée, adressée à Gabriel Reuillard. « Atelier 15 rue Vaneau, 2 octobre » ; 2 pages in-12. Elle le remercie de l’envoi de son article. « C’est toujours si difficile de parler d’un peintre travaillant plutôt en cachette, presque à la sauvette, on ne sait pourquoi. Mais j’aime la campagne, le ciel — les nuages et surtout les bêtes. Jeune, l’herbe des fortifications me faisait battre le cœur ! Ce n’était pas loin de notre Paris, il est vrai. »
Lettre autographe signée
LAURENCIN MarieLettre autographe signée, adressée à son filleul Jacques Berland. Bagnoles-de-l'Orne, 11 juin [1948] ; 3 pages in-12 avec enveloppe timbrée. « La cure a commencé par faire un très mauvais effet sur le foie [ ]. Ici on regorge de nourriture. À l'hôtel on est admirablement nourri, du beurre comme avant-guerre, etc. Suzanne est là, je la fais rester couchée puisqu'elle ne peut pas faire la cure à cause de son foie. Je me sens déjà reposée j'étais fatiguée. On voit trop de monde à Paris et encore je fais très attention. L'incurie règne ici aussi à Bagnoles les ordures des grands hôtels sont sur la rue, il s'en dégage une puanteur sans pareille ».
Envoi autographe signé
LAUGIER Jean« LA HUITIÈME COULEUR ». Éditions René Debresse, Paris, 1952 ; 140 X 192 mm, broché. Édition originale. Un des 200 exemplaires sur alfa mousse navarre numérotés de 1 à 200. Bel envoi autographe signé, adressé à Robert Sabatier. « À Robert Sabatier — oui, sûr... ce n’est pas une preuve d’amitié, ça !. Allez quoi, fi des mondains, des let-tristres et vive le vin rouge en bonnissant le vin blanc et le deuxième cigare. Mais tu es un sacré grand poète. Laugier. »
Lettre signée
LAUGHTON CharlesLettre signée, adressée à M. et Mme Dumaine. 6 décembre 1938 ; 1 page in-4°, trace de ruban adhésif au dos en haut à gauche. En-tête gravé « 34, Gordon Square », en français. « Vous allez pardonner, j’espère, l’exécrable français que j’écris. […] Tous les jours j’ai dit à mon chauffeur : “Allons quitter ce climat vilain de Londres, et houp à Saulieu !” - mais hélas, cela n’a pas été possible. j’espère de tout mon cœur que vous avez eu le bonheur d’avoir chez vous des clients sympathiques, qui ne vous ont pas demandé d’une voix rauque , ‘Ham and eggs’. […] J’ai beaucoup parlé de chez vous à ma femme et nous avons l’espoir de vous visiter ensemble un de ces jours.»
Carte autographe signée
LATTRE DE TASSIGNY Simone deCarte autographe signée. Mouilleron-en-Pareds, 9 mars 1967 ; 2 pages in-16 oblongues.« C’est en Vendée et par la presse que je viens d’apprendre la mort de Monsieur Edmond Heuzé et je veux vous dire aussitôt toute la part que je prends à votre grande peine. Le Maréchal avait beaucoup d’amitié pour “son” peintre et il évoquait souvent les séances du quai Conti. Je m’unis à votre chagrin et à vos prières pour celui qui vous a quittée, et je vous assure, chère Madame, ainsi que tous les vôtres, de ma sympathie la plus vive et très émue. S. de Lattre. »
Lettre autographe signée
LATREILLE Pierre AndréLettre autographe signée, adressée au comte Dejean. Yérey, 12 septembre 1825 ; 3 pages in-8°, quelques taches de rousseurs.« J’ai attendu, pour vous remercier au sujet du premier volume de votre Species des Coléoptères, qu’une personne sûre et partant pour Paris se chargea de ma lettre. Je n’ai pas encore eu le temps d’étudier à fond votre ouvrage, mais d’après ce que j’en ai vu, je puis assurer que vos descriptions par les détails où vous entrez et leur exactitude, ne laissent plus d’incertitude sur la détermination de l’espèce. Mon seul regret, c’est que votre entreprise soit, j’ose le dire, à l’âge où vous l’entreprenez presque gigantesque. La plupart des membres de l’Académie ont chuchoté, lorsqu’on a annoncé que votre ouvrage se composerait de vingt volumes »…
Portrait gravé en bistre.
LATOUR Maurice Quentin dePortrait gravé en bistre. Gravure de Ad. Varin d’après un autoportrait. XIXe siècle ; 75 X 100 mm sur feuille 220 X 310 mm.
Lettre autographe signée
LATAPIE Louis [Sur BRASILLACH Robert]Lettre autographe signée du peintre Louis Latapie, adressée à Maître Jacques Isorni. Paris, 30 janvier 1945 ; 1 page in-8°. « Je souscris à votre demande de recours en grâce pour Brasillach. Pour que cessent les haines et les luttes entre Français. […] J’apprends que les Russes ont supprimé la peine de mort. Quelle belle leçon en pleine guerre ! »