Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Correspondance
LACHENAL Edmond Lettre autographe signée, adressée à M. Teyssier. Sans date ; 1 page 1/2 in-4° à son en-tête. Fentes n'empêchant pas la lecture. « Je viens de voir M. Lambert qui est venu à Chatillon avec votre lettre. Il est décidé à compter 1 100 francs. Il vous portera lundi le bas-relief à l'heure convenue. [ ] Il est bien entendu que vous me prêterez le bas-relief du 11 au 30 9bre pour mon exposition de la galerie G. Petit. » Facture signée. 29 décembre 1886 ; 1 page in-4°. Facture pour un plat Hiver et un plat Oiseaux. Reçu autographe signé. 7 mai 1887 ; 1/2 page in-4°. Reçu de 4 francs pour un plat en faïence Le Printemps. Reçu autographe signé. 17 octobre 1887 ; 1 page in-4°. Reçu de 900 francs pour des faïences : L'Automne et l'Hiver. Pièce autographe signée. Chatillon, 29 octobre 1894 ; 1 page in-8°. Reçu pour « la vente du Printemps bas relief faïence de Lachenal et Lambert soit au total onze cent francs ». Facture pour M. Teyssier pour des vases. Novembre 1901. Sur papier vert à en-tête style art déco. Sont jointes 2 lettres autographes signées de F. Lambert, sculpteur, au sujet d'un bas-relief.
Fable autographe signée
LACHAMBEAUDIE PierreFable autographe signée, intitulée « La mascarade ». Sans date ; 1 page 1/2 in-8°. « Jupiter — je l’ai lu dans les vieilles annales — Pour une mascarade, en sa royale cour, Une nuit rassembla les troupes impérialesEt les esprits sur nous veillant avec amour.On voyait se croiser sous les lambris célestes Les vices effrontés et leurs vertus modestes.Chacun d’eux, sous des traits grimaçant ou riantDéroutait les plus clairvoyants.[…]Même chose arrive ici-bas :De toutes les vertus, le vice prend le masque,Et le plus vertueux, ô caprice fantastiqueAppelle quelquefois les vices qu’il n’a pas. »
Lettre autographe signée
LACÉPÈDE Bernard Germain Étienne, comte deLettre autographe signée. 18 brumaire an V [8 novembre 1796] ; 1 page in-4°, avec adresse. « On mettra incessamment sous vos yeux la pétition du C. Célébron, militaire recommandable par cinquante ans de services distingués, un zèle soutenu, un véritable patriotisme, des vertus domestiques très rares, et de grands malheurs dignes de tout intérêt. Ce brave officier, cet excellent père de famille qui n’a cessé de combattre pour son pays qu’à cause de ses infirmités, désire dans la maison des invalides une place dont il a le plus grand besoin. Je ne vous adresse au sujet de ce lieutenant colonel, citoyen ministre, aucune prière. » Il l’assure qu’il sera touché par sa position. Peu courant entièrement autographe.
Lettre signée
LACAZE LucienLettre signée, adressée À M.Bourgeois. Paris, le 31 mai 1930 ; 1 page in-4°. En-tête « Ministère de lAir République Française ». Il lui écrit comme ancien ministre : « Vous avez bien voulu accepter de faire partie du Comité dOrganisation constitué pour ériger un monument à Caudebec à la mémoire de léquipage de lhydravion Latham 47, disparu en donnant un exemple de sacrifice quil importait de ne pas oublier. Jai lhonneur de vous faire savoir que la construction du monument doit être entreprise sous peu. » Le superbe mémorial de Caudebec sera érigé en 1931 à la gloire du Latham 47 qui transportait Roald Amundsen et son équipage parti le 16 juin 1928 à la recherche du dirigeable Italia de Nobile crashé sur la banquise.
Lettre signée
LACAZE LucienLettre signée. Paris, 10 juillet 1953 ; 1 page in-8°. En-tête imprimé « Comité France - Afrique du Nord ». « Comme vous pourrez le voir […], j’ai fondé, dans le cadre général de notre Comité International de Défense de la Civilisation Chrétienne, un Comité France-Afrique du Nord. En face des campagnes de presse et de propagande que certains, particulièrement dans les milieux chrétiens, font contre le comportement français en Afrique du Nord, faisant ainsi le jeu des puissances étrangères et de partis à leur solde, je veux, par une action à la fois d’information, de documentation et de défense, rétablir la vérité et défendre l’Œuvre civilisatrice française en Afrique du Nord, œuvre accomplie au prix de durs sacrifices et d’un travail acharné. Pour réaliser cette action j’ai besoin de moyens. C’est vers vous que je me tourne. » Il demande à son correspondant d’adhérer au Comité France-Afrique du Nord.
Lettre autographe signée
LABRA CADRANA Rafael Maria deLettre autographe signée, adressée à M. Laboulaye. 5 octobre 1874 ; 2 pages in-12. « Jai lhonneur de mettre à votre disposition par ce bon officier de M. Ladislas Corvar, membre de la société abolitioniste Espagnole et rédacteur du journal Labolitioniste le livre que la société vient de publier sur la question sociale de Cuba et Porto Rico. Je dois cette preuve de considération à un des premiers abolitonistes de nos jours. »
Lettre autographe signée
LABOUREUR Jean-ÉmileLettre autographe signée. Nantes, lundi 9 décembre 1911 ; 1 page in-8°. « J’ai l’honneur de vous envoyer […] la notice d’une publication que je fais de quelques bois originaux sur les Mimes d’Herondas. J’ai su […] l’impossibilité de leur acceptation par le Livre Contemporain et il ne me restait pour leur utilisation immédiate qu’à les imprimer comme je l’ai fait. Peut-être me sera-t-il permis de songer plus tard à présenter quelque autre projet à votre société. » Il demande en post-scriptum « où se trouve la maquette des Mimes et les cinq épreuves qui ont dû être communiquées par M. Claretie. Je serai désireux de les avoir car il convient maintenant que je les détruise. »
Lettre autographe signée
LABOUREUR Jean-ÉmileLettre autographe signée, adressée à Jean René Thomé. Paris, le 18 mars 1936 ; 1 page in-8°. « Votre dictionnaire des graveurs contemporains peut certainement rendre des services, surtout dans l'avenir, mais je me demande en quoi je pourrais vous aider, les indications que je pourrais vous fournir, vous les connaissez ou les possédez certainement dès maintenant. »
Lettre signée
LABORDE Alexandre Louis Joseph, comte deLettre signée. « Palais des Archives de l’Empire le... 1863 » ; 1 page in-4°. En-tête imprimé « Correspondance de Napoléon Ier ».« Par ordre de l’Empereur et suivant les instructions de Son Excellence M. le Ministre de la Maison de l’Empereur […], j’ai l’honneur de vous envoyer le treizième volume de la Correspondance de Napoléon Ier. »
Carte autographe signée
LABISSE FélixCarte autographe signée, adressée à M. Henri Gros. [11 décembre 1980] ; 105 x 150 mm, enveloppe jointe. « Pour Henri Gros, en souvenir amical de Labisse. »
Lettre autographe signée
LA VAULX Henry, comte deLettre autographe signée. 27 octobre 1914 ; 1 page in-8°. « J’ai l’honneur de vous accuser réception de votre chèque représentant l’achat de trois cent cinquante actions de la Société Le Khédive. Je m’entends dès aujourd’hui avec M. de La Barre pour qu’il vous transmette ces pièces. »Ses lettres sont très rares.
Épreuves corrigées et bon à tirer
LA VARENDE Jean Mallard, vicomte deÉpreuves corrigées et bon à tirer de la préface qu’il avait rédigée dans l’ouvrage d’Alfred Chaudeurge Au Cri de la Chouette. 1er juin 1959 ; 4 pages in-8°. Une note de l’éditeur, imprimée à la fin de ce texte stipule : « N.D.L.E. — Cette préface est l’un des derniers textes de Jean de La Varende. Il nous en donna le bon à tirer le 1er juin 1959, une semaine avant sa mort. ». Document très rare.
Imprimé.
LA TRANSLATION DES CENDRES AUX INVALIDES.Imprimé. Paris 12 décembre 1840 ; 13 pages in-8° (22,5 x 13,5 cm); exemplaire non coupé. En-tête « Préfecture de Police ». « Ordonnance concernant les mesures d'ordre et de sûreté à observer le 15 décembre 1840, jour consacré à la translation des Restes mortels de l'Empereur Napoléon à l'Église des Invalides. »
Lettre autographe signée
LA TOUR D’AUVERGNE-LAURAGUAIS,Lettre autographe, signée « Le Gal Cte de la Tour d’Auvergne Lauraguais », adressée à Eugène Redon. Paris, 16 mai 1840 ; 1 page 1/2 in-4°, adresse avec marque postale. Il ne manquera pas d’intervenir auprès du directeur général des postes en sa faveur.
Pièce signée
LA TOUR D’AUVERGNEÉtat de service signé deux fois. Important document manuscrit relatant les états de service du célèbre officier.Dans la première partie, en haut du document, se trouve le détail des services, de sa naissance au grade de capitaine des grenadiers par lettre du 20 juin 1792. Sous ce document collé anciennement au-dessus d’un autre manuscrit « Suite des campagnes du citoyen Théophile Malo La Tour d’Auvergne Corret Kerbausset, capitaine ». Dans ce manuscrit de 2 pages in-folio, signé à la fin mais dont le début manque, sont racontés les hauts faits d’armes de cet officier hors pair : « Dans une autre sortie des Anglais, il contribua à repousser la tête de leur colonne et fit prisonnier sous les yeux de M. le duc de Crillon, un bas officier qu’il présenta sur le champ au général. Dans une autre sortie où les Anglais furent également repoussés et conduits la bayonnette dans les reins jusqu’à leur première batterie, s’étant aperçu qu’un volontaire de l’armée était resté blessé et sans secours sur les glacis de la place, il retourna au milieu du feu des ennemis le chercher ; le trouva blessé très dangereusement sur la crête du glacis, l’enleva et le transporta sur ses épaules jusqu’au poste avancé des Espagnols. Sa conduite lui ayant attiré l’estime, l’amitié et le suffrage général des deux armées, il fut choisi pour commander en second les volontaires de Crillon sous les ordres du Prince de Sangro, aujourd’hui lieutenant général ; il refusa cette place importante ne croyant pas (étant au service de la France) pouvoir n’y devoir accepter de commandement dans un corps étranger à sa nation. Il continua de servir comme volontaire dans l’armée espagnole jusqu’à ce que rappelé en France par ordre de la cour il s’y soumit et repassa le 28 janvier 1782 après avoir été nommé par le général duc de Crillon son aide de camp […]. Le 22 juin 1793, le citoyen Latour d’Auvergne Corret commandant les grenadiers de l’armée des Pyrénées à l’attaque de la redoute dite de Louis XIV qui fut enlevée aux Espagnols, il contribua à les chasser du territoire de la République et les poursuivit jusqu’au pas de Beobie où il reçut cinq coups de fusils dans ses habits. Le 13 juillet il commandait à l’attaque de Briatou la compagnie de grenadiers qui enlevèrent à la bayonnette le retranchement des Espagnols où il entra le premier. »