Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Ensemble de deux lettres autographes signées
FEYDEAU GeorgesEnsemble de deux lettres autographes signées. Sans date ; 1 page in-8°, chaque sur papier de deuil. Il a appris qu’il venait de perdre un procès en cassation. « Comment se fait-il qu’on ait interjeté appel alors que par lettre à la commission j’ai déclaré que j’entendais quant à moi ne pas vouloir pousser plus loin. Qui a donné ces instructions ? »
Manuscrit autographe signé
FEYDEAU GeorgesManuscrit autographe signé. 3 pages 1/4 in-4° (29,5 x 21 cm). Superbe manuscrit sur la disparition d'Armand d'Artois le 17 mars 1867: « C'est toujours pour notre chère Société des Auteurs, un deuil de famille que la disparition d'un des siens ; mais je puis dire que son émotion se double quand elle se le voit enlever brusquement en pleine santé, en pleine sève, en plein talent ». Le manuscrit se poursuit retraçant la carrière du librettiste et dramaturge.
Contrat signé par M. Baret, Rozenberg et G. Feydeau
FEYDEAU GeorgesContrat signé par M. Baret, Rozenberg et G. Feydeau : « Il est entendu entre les soussignés que M. Baret et Rozenberg, ayant versé d’avance à M. Feydeau, à la signature des présente une somme de trois mille francs, sont autorisés à se rembourser sur cette somme par une diminution de 2 % des taux stipulés au traité, sur les villes, quelles quelles soient, qu’ils désigneront eux-mêmes », etc.On joint la copie d’époque d’une lettre de G. Feydeau à M. Robert Gangnat. 18 octobre 1904 ; 2 pages in-8°. Lettre relative à sa pièce « La Main passe ».
Carte autographe signée
FEYDEAU GeorgesCarte autographe signée. Sans date ; 2 pages in-8°, oblongues, 14 x 9,5 cm. « Mais oui, mon cher ami, j’ai traité avec Alexandre pour le Système Ribadier. Vous le savez bien puisque cet hiver, je vous avais chargé de vous entendre avec Marberry pour tâcher de faire prendre par Frotman la pièce pour le rachat de laquelle j’avais une option jusqu’à une date donnée. L’affaire est donc parfaitement régulière. Je vous serais obligé de me faire savoir si M. Strug a traité pour la tournée de Tailleur pour Dames accompagné d’un acte inédit de moi ? S’il ne l’a pas encore fait, je désire que vous lui demandiez étant donné cet acte 9 % ou s’il préfère 10 et 8 % suivant l’importance des villes. »
Lettre autographe signée
FEYDEAU GeorgesLettre autographe signée. Sans date ; 1 page in-8°. « Pour l’Angleterre et l’Amérique, 3 000 frs par pays Séance de Nuit. Allez-y ! Mais c’est le fil à la patte dont je voudrais voir Miss Marberry s’occuper ! »
Carte autographe signée
FEYDEAU GeorgesCarte autographe signée. Sans date ; 2 pages in-8°, oblongues, 14 x 9,5 cm. « Mais oui, mon cher ami, j’ai traité avec Alexandre pour le Système Ribadier. Vous le savez bien puisque cet hiver, je vous avais chargé de vous entendre avec Marberry pour tâcher de faire prendre par Frotman la pièce pour le rachat de laquelle j’avais une option jusqu’à une date donnée. L’affaire est donc parfaitement régulière. Je vous serais obligé de me faire savoir si M. Strug a traité pour la tournée de Tailleur pour Dames accompagné d’un acte inédit de moi ? S’il ne l’a pas encore fait, je désire que vous lui demandiez étant donné cet acte 9 % ou s’il préfère 10 et 8 % suivant l’importance des villes. »
Ensemble de lettres autographes signées
FÉVRIER Henry2 lettres autographes signées, sans doute adressées à M. Baudut. Lyon, 7 et 11 mars 1921 ; 2 pages in-12 et in-8°. Il souhaite lui exprimer ses remerciements pour des études de Gismonda au Grand Théâtre. « Tout va bien et mon ouvrage est préparé avec beaucoup de soins. » Il le remercie enfin du soin apporté au montage de sa pièce : « Je n’ai qu’à me louer de tous, artistes, orchestre, chœurs, tous, grands et petits. »
2 lettres autographes signées
FÉVRIER Henry2 lettres autographes signées, sans doute adressées à M. Baudut. Lyon, 7 et 11 mars 1921 ; 2 pages in-12 et in-8°. Il souhaite lui exprimer ses remerciements pour des études de Gismonda au Grand Théâtre. « Tout va bien et mon ouvrage est préparé avec beaucoup de soins. » Il le remercie enfin du soin apporté au montage de sa pièce : « Je n’ai qu’à me louer de tous, artistes, orchestre, chœurs, tous, grands et petits. »
Pièce signée
FÉVAL PaulContrat préimprimé complété et signé, entre Paul Féval et les Fils de Bernard Merzbach, banquiers. Paris, 24 mars 1908 ; 2 pages in-8°. Sur papier timbré (perforation affectant quelques lettres imprimées au verso).Contrat d’exclusivité d’exploitation cinématographique qui stipule que « M. P. Féval s’engage à ne fournir qu’à MM. Les Fils de Bernard Merzbach ou à la société qu’ils se substitueront, des canevas de scènes destinées à être adaptées et reproduites en projections cinématographiques » et autorise ladite société à « fabriquer, établir, éditer, vendre ou louer les bandes cinématographiques [...], d’en organiser ou autoriser des représentations publiques en quelques pays que ce soit, comme aussi de publier, soit en langue française, soit en langue étrangère, sous forme de programmes ou de catalogues, un argument abrégé desdites scènes. » Suivent, les détails de la manière de procéder convenue, et du calcul des droits. Mention ajoutée à l’encre en marge ; « Pouvoirs annulés par traités du 3 nov. 1913 ».
Lettre autographe signée
FÉVAL Paul Henri CorentinLettre autographe signée, adressée à M. Clèves. Paris, le 16 mars 1881 ; 2 pages in-16. « Je vous appelle ainsi parce que je ne connais plus d'autre Directeur que le vieux moine crocheté et expulsé qui me confesse. Voici longtemps que j'ai donné ma démission de membre de la commission des auteurs, pleine de mes amis. Sans cesser d'aimer, bien au contraire, ceux que j'aimais autrefois, je me suis absolument séparé du théâtre. Il y a certaines des pauvretés que j'appelais mes pièces dont je ne pourrai empêché la reprise à cause des collaborateurs, mais ici je suis le maître et je me refuse à donner mon autorisation. Vous n'y perdez rien, la pièce est détestable sous tous les rapports, en dehors même de l'idée religieuse ou morale. »
Lettre autographe signée
FEUILLET MauriceLettre autographe signée, richement illustrée de 9 dessins à l'encre. Bradford, 31 janvier 1891; 4 pages in-8°, légères rousseurs. « Si tu veux te figurer un type épaté, c'est bien moi quand j'ai reçu ta lettre, j'ai été tué et Nessler aussi. Heureusement tout est pour le mieux. [ ] Ici comme partout en Angleterre on joue des pantomimes. Nessler et moi y avons bien chacun 12 fois. Nous poursuivons de nos assiduités chacun une actrice. Nous les attendons à la sortie des artistes. c'est roulant malheureusement pour moi, celle que je poursuis venant de Londres, il doit lui falloir beaucoup de braise, et comme je ne roule pas sur l'or, je me vois forcé de me retirer. Nessler, lui, n'a pas jeté ses regards si hauts. Il se contente d'une figurante, après avoir été amoureux pendant toute une nuit il l'a laisse de côté. [ ] Nous aussi nous faisons du chahut mais tous les policemen nous connaissent et nous laissent tranquilles ». Il finit sa lettre par un chanson grivoise.
Lettres autographes signées
FESCOURT HenriEnsemble de 3 lettres autographes signées :— 9 janvier 1966 ; 6 pages in-8°. « Je suis très heureux que mes deux veilles pièces ne vous aient pas trop déçu. Cela vraiment me fait grand plaisir car, pour avoir fréquemment lu de vos chroniques sur le cinéma, je connais votre sens critique. Que vous vous sentiez d’avantage porté sur les Oies que sur la Torche ne me surprend en aucune façon et je le comprends. Cette dernière oeuvre n’a d’autre prétention que de se présenter comme un document, un témoignage sur un important mouvement d’avant-garde qui se produisit avant la guerre de 1914 et qui est peu connu, bien qu’à l’époque, il fit grand bruit. Quant à une émission radiophonique ou de TV des Oies, je mentirais si je disais n’y avoir pas songé (les Oies avaient, du reste, été acceptées à la radio pour une émission en deux séances, mais il y eut 1940...). »— 5 février 1966 ; 2 pages in-4°. « J’ai en effet, réintégré ma chambre après huit mois de maladie. Je vais sensiblement mieux, bien que j’ai des raisons de n’être pas entièrement rassuré quant à mes lendemains proches. […] J’espère ne pas vous donner l’impression d’un être particulièrement délabré. […] J’habite la fondation Galignani. Si vous ne venez pas en auto, le meilleur moyen de parvenir jusqu’au lointain 89, bd Bineau de Neuilly est de descendre à la station métro Porte Champeret. »— 13 mars 1966 ; 1 page 1/2 in 4°. « J’ai achevé hier la lecture de votre livre que je trouve vraiment remarquable : non seulement au point de vue du reste si important de son contenu mais de la maîtrise avec laquelle vous avez dominé votre sujet dont vous avez su tirer à merveille tout le pathétique. J’ai été frappé à la fois par le climat de vérité — de vraie vie — qui baigne vos deux héros parallèles, mais aussi par cette espèce de tension extrême qui parcourt votre terrible récit et qui ne s'affaiblit en aucune page. »
Lettre autographe signée
FESCH JosephLettre autographe signée adressée à ses neveux. Rome, 1er janvier 1815 ; 3/4 page in-4°. « Je ne vous oublie pas, et à plus forte raison dans ces jours où on adresse à Dieu des vœux pour les personnes que l’on aime tendrement. Je lui ai demandé qu’il vous accorde toutes les vertus et les talents qui forment les hommes parfaits, généreux et bons. Il exaucera mes souhaits, si de votre côté vous faites tout ce qui est nécessaire pour le mériter. Je vous envoye deux pièces de canons au lieu de carnets de dragées, vous n’êtes plus des enfants, bientôt vous commanderez de grandes manoeuvres. Rappelez vous quelques fois de votre grand oncle, et soyez convenus qu’il vous aime tendrement. ».
Lettre autographe signée
FERRY EdmondLettre autographe signée, adressée à M. J. Toutain. Paris, 19 mars 1923 ; 2 pages in-4°. « Je viens de rentrer de la Ruhr où j’ai fait aux meilleures sources une enquête sérieuse et suis convaincu qu’un homme de votre envergure rendrait en cette affaire des services éminents et qui du reste sont nécessaires à la France. » Il demande à le rencontrer.
Lettre autographe signée
FERROUD Pierre OctaveLettre autographe signée, adressée à Albert Lévêque. Paris, 16 mai 1933 ; 1 page in-4°. En-tête imprimé « Paris-Soir » où il était critique musical. Il regrette de n’avoir pas répondu plus tôt à son correspondant. « Les répétitions de mon ballet à l’Opéra, puis un voyage en Italie m’en ont ôté tout loisir ! » Il compte bien à son prochain récital, aller l’applaudir. « La perspective que vous y jouiez quelque chose de moi m’est fort agréable, mais, de Prélude et Forlane à la Sonatine en passant par Au Parc Monceau, Types ou les trois anciennes Études que vient de publier Schneider, j’entends vous laisser le plus libre choix. » Belle lettre musicale.