Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Photographie signée
DAM José van (Joseph, Libert, Alfred, baron Van Damme, dit)Photographie signée. 14 x 9 cm. Photographie jeune. « À Monsieur Eugène Wiater avec toute ma sympathie J. Van Dam. »
6 lettres autographes signées.
DALY César6 lettres autographes signées. 1862 ; 14 pages in-8°, la majorité sur papier à en-tête de la Revue Générale de lArchitecture et des travaux publics. Il est question de géomètres et de bornage de propriétés.
4 photographies dédicacées ou signées
DALMORÈS Charles (Henry Alphonse Brin, dit)4 photographies dédicacées ou signées ; cartes postales (certaines par Klary ou Dupont à Bruxelles). Dans les rôles de Turriddu (Cavalleria rusticana), Don José (Carmen), Siegfried (Le Crépuscule des dieux), et en tenue de ville. On joint 3 autres photos en Lohengrin, en Lancelot (Le Roi Arthus) et en Siegfried. Plus une carte postale autographe signée à un ami, Rome 1913.
Lettre autographe signée
DALMA BogomirLettre autographe signée, adressée à Jean-Jacques Brousson. Samedi midi ; 2 pages in-4°, en français.« Je viendrai demain matin dimanche avec M. Svetozar Roussitch, ce jeune licencié es lettres qui prépare la thèse sur les poètes symbolistes. Il m’écrit qu’il vous a pris en affectueuse admiration et qu’il considère comme un grand honneur de vous connaître. Il me dit en parlant de vous : “un homme de si haute culture si incroyablement intelligent et profond qui bouillonne tout entier d’idées qui forcent l’auditeur ravi vers les longues méditations, si spontanément spirituel, et enfin - à ce qu’il me parait - plein de bonté véritable, un homme pareil représente pour moi un être idéal dont la présence me charme et m’élève...” Voilà, mon cher ami, la traduction fidèle de sa lettre » La lettre se poursuit sur les conquêtes féminines de son jeune ami Miroslav Milinkovitch.
Photographie signée
DAILLENS JeanPhotographie signée. 14 X 18 cm. Carte postale coloriée, représentant son biplan au dessus du château de Boussac, signée. On joint une autre carte postale avec son biplan Sommer en vol et une photographie de lui.
Enesmble de 2 lettres autographes signées.
DABRY JeanEnsemble de 2 lettres autographes signées, adressées à M. Catillon :— 13 novembre 1972 ; 1 page 1/2 in-8° sur papier à son nom. Il est en déplacement à Marseille et ne sait s’il pourra être présent à l’assemblée générale de l’APNA en raison de son état de santé.— 21 novembre 1985 ; 1 page 1/2 in-4°. Belle lettre sur Mermoz : Il a rencontré Pierre Viré et concernant Mermoz, est « d’accord avec lui avec ce qu’il dit dans ses lettres à Jacques Mortane. Jean Mermoz, bien qu’il fut à tous points de vue inattaquables a rencontré la médiocrité de ceux qui le jalousaient et l’opposition de certains dirigeants incapables […] qui ont conduit l’aviation française de cette époque dans une dangereuse insuffisance à l’approche du conflit […]. Si Mermoz a adhéré aux Volontaires nationaux du colonel de la Rocque, ce n’était pas par ambition personnelle mais pour défendre des points de vue conformes à l’intérêt du pays car les Français étaient excédés par la faiblesse des gouvernants quand ils n’étaient pas complices des financiers véreux. »
autoportrait
DABIT Eugène« L’Hôtel du nord ». Paris, Robert Denoël, 29 novembre 1930 ; in-12 demi-maroquin vert de l’époque, dos à quatre nerfs, tête dorée, couverture et dos. Édition originale du chef-d’œuvre d’Eugène Dabit, romancier de la vie populaire et peintre. Envoi autographe avec dessin original à la plume couvrant une page de garde : « À Monsieur G. de Pawlowski : tant de choses vous intéressent. Peut-être encore ces personnages, ce canal St-Martin, cet hôtel... Je le souhaite. E. Dabit, janv. 1930 ». Le dessin est un autoportrait de l’auteur. On doit à Pawlowski, journaliste et écrivain, le Voyage au pays de la quatrième dimension.
Lettre autographe signée
CUSTINE Astolphe, marquis deLettre autographe signée, adressée à l’éditeur parisien Ladvocat. St Gratien, 7 octobre 1838 ; 4 pages in-8°.Très longue et intéressante lettre sur son roman Ethel : « D’après le projet d’acte que m’apporte ici de votre part, Monsieur Ste Barbe, il me semble, mon cher Ladvocat, que vous compliquez inutilement une question fort simple et vous me mettez dans l’impossibilité d’accéder aux nouvelles propositions que vous me faites. Voici nos conventions primitives […] je les observerai avec la bonne foi dont j’ai toujours fait profession, même en actions. Je vous vends la première édition d’un roman en deux volumes que nous publierons sous le titre d’Ethel ayant renoncé pour de bonnes raisons à celui que j’avais choisi d’abord. Je retiens 25 exemplaires de cette édition que vous me payez deux mille francs. Nous conviendrons des termes à prendre pour effectuer ce payement par billets signés de vous. il est en outre convenu qu’un mois après la publication d’Ethel vous mettrez sous presse, une seconde édition du Monde comme il est, dont vous me donnerez 12 exemplaires et pour laquelle je ne vous demande rien. Quant à l’Espagne nous en resterons dans les termes de notre convention écrite l’année dernière. Je ne veux me lier en aucune manière pour les articles de journaux, ni pour mes publications à venir ; seulement je traiterai toujours avec vous de préférence si vous êtes raisonnable et exact comme je vous ai trouvé jusqu’ici. Vous vous chargerez de toutes les annonces, de tous les frais d’insertions et d’articles dans les journaux, et si vous y tenez, je m’engagerai à ne rien communiquer du roman d’Ethel à aucun journal ni à aucune revue sans votre consentement avant la publication du livre. Le premier vol. d’Ethel est prêt […] je travaille à revoir le second et c’est une une affaire de peu de tems ; néanmoins, comme il est de mon interet plus que du vôtre de hâter cette publication, je ne veux m’engager légalement sur aucun terme. Vous savez que je travaille vite, quand je travaille de suite, et je ne quitterai pas que je n’aye fini. […] la première édition d’Ethel ne pourra pas être tirée à plus de douze cent exemplaires nets. Je ne veux pas imprimer le premier volume d’Ethel avant que le second ne soit entièrement corrigé […]. J’ai été mécontent de vos propos, l’année dernière et je veux mettre le plus grand soin à la correction des épreuves. »
Lettre autographe signée
CUSTINE Astolphe, marquis deLettre autographe signée, adressée au comte de Magneval. « Vendredi » ; 1 page in-8°, adresse et cachet de cire de fermeture à ses armes.« J’accepte avec reconnaissance l’invitation que vous me faites l’honneur de m’envoyer pour demain samedi et serai très heureux de passer quelques moments avec vous avant mon départ pour Rome qui n’est pas très éloigné. »
Lettre autographe signée
CUSTINE Astolphe, marquis deLettre autographe signée, adressée à son cousin. 2 pages in-8°. « Vous seriez bien aimable de me recommander aux journaux sur lesquels vous avez du pouvoir : la Gazette, la Nation, l’Union Catholique, qui me trouvera d’accord avec elle sur une foule de points : quand on parle comme vous l’avez fait l’autre jour, on doit être puissant […] mon ouvrage a une forme légère mais les idées en sont graves, et si on n’y rend pas le public attentif, il ne produira pas le bien que j’en espère ».
Lettre autographe signée
CUSTINE AstolpheLettre autographe, signée de ses initiales, adressée à Mme Gay. Sans date ; 1 page in-8°, avec adresse. « Je reviens de chez Madame Recamier, qui est sans voix et ne bouge pas de chez elle, ni même descend de son canapé. Elle m’a chargé de vous dire qu’elle espérait que vous prendriez cette trop bonne excuse pour vous expliquer qu’elle n’aille pas vous inviter elle-même à venir chez elle dimanche prochain […] afin d’entendre une demoiselle qui vient jouer du piano devant M. de Chateaubriand. […] J’aime à aller chez elle et j’aime surtout à aller avec vous. »
Lettre autographe signée
CUSTINE Astolphe, marquis deLettre autographe signée, adressée à son cousin. 2 pages in-8°. « Vous seriez bien aimable de me recommander aux journaux sur lesquels vous avez du pouvoir : la Gazette, la Nation, l’Union Catholique, qui me trouvera d’accord avec elle sur une foule de points : quand on parle comme vous l’avez fait l’autre jour, on doit être puissant […] mon ouvrage a une forme légère mais les idées en sont graves, et si on n’y rend pas le public attentif, il ne produira pas le bien que j’en espère ».
Lettre autographe signée
CUSTINE Astolphe , marquis deLettre autographe signée, adressée au comte Jules de Resseguier. Sans date ; 1/2 page in-8°. Cachet de cire rouge. « Les hommes qui nous raccommodent avec notre tems sont trop rares pour qu’on refuse les occasions de se rapprocher d’eux. J’ai déjà beaucoup entendu parler de la tragédie que vous voulez bien me faire connaître et je me promets un grand plaisir à vous prédire un succès ».
« UN JEUNE COUPLE »
CURTIS Jean-Louis« UN JEUNE COUPLE ». Édition Julliard, 1967 ; 135 X 210 mm, reliure d’éditeur. Édition originale. Envoi autographe signé à l’actrice Jeanine Crispin.
Envoi autographe signé
CURTIS Jean-Louis« LA CHINE M’INQUIÈTE », Éditions Grasset, Paris, 1972 ; 120 X 190 mm, broché. Envoi autographe signé : « Pour Renée et Roger Massip, avec mon très amical souvenir, Jean-Louis Curtis. »