Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Lettre autographe signée
CAPOTE TrumanLettre autographe signée, adressée à son cousin John Faulk. Sans date ; 2 pages in-8° sur papier jaune, enveloppe jointe. « Forgive me not replying sooner but I have been in Calif. I talked to my tax lawyer about your matter, and there is no way I can do it unless I can write it off as a tax deduction otherwise it would cost me $8,000 to give you $1,000 — because I have to give the government 80c out of every dollar I earn (isn’t that outrageous !) […] will see if I can get a tax write off […] affectionate wishes […] Truman. »
Pièce signée
CAPOTE TrumanPièce signée. 11 septembre 1957 ; 1 page in-4°, trous d’épingles en haut. Contrat type entre Capote et CBS télévision employant l’écrivain pour établir les grandes lignes d’une histoire sans titre et être indemnisé de 1 000 $. L’année suivante, Capote publiera Breakfast at Tiffany’s.
Lettre autographe signée
CAPDEVIELLE PierreLettre autographe signée « Loui », adressée au compositeur Marcel Mihalovici. Bâle, 2 mai 1950 ; 1 page in-4°, enveloppe jointe. « Je travaille beaucoup et ma 7e symphonie prend des formes, à cette allure, je serai bientôt à la 9e, qui sera une symphonietta, rien que pour emmerder ceux qui attendent autre chose. C’est gentil, n’est-ce pas. »
Lettre autographe signée
CANSON Anne-Jacques-Barthélémy Barou de La Lombardière deLettre autographe signée, adressée au sénateur Boissy d’Anglas. Annonay, 26 juillet 1807 ; 2 pages 1/2 in-4°, adresse avec marques postales.Très intéressante lettre sur le monument dédié aux frères Montgolfier. Il a cherché des moyens plus économiques auprès de M. Duvet « Nous avons reconnu qu’il n’était point en aussi mauvais état que nous avions lieu de le craindre et il nous a paru qu’avec l’aide et les avis d’un platrier intelligent que nous avons icy, nous pourrions parvenir à nous passer de secours étrangers, à l’exception toutefois de ce qui regarde les changements d’inscriptions et la suppression des armoiries de la province que l’aigle tient dans une de ses serres. » Il propose d’envoyer la table à M. Durandé pour changer les inscriptions et l’aigle. « Si le monument ne portait pas déjà et le nom et le médaillon des frères Montgolfier, on aurait pu graver leur chiffre à la place des armoiries. […] L’ouvrier sur lequel nous fondons nos ressources est absent depuis quelques jours, mais ne tardera pas j’espère de revenir. Au moment de son arrivée nous nous emparerons de lui et nous haterons autant que possible la besogne. Il nous tarde de voir enfin élevé le monument qui a éprouvé bien des retards et des contrariétés. »
Lettre autographe signée
CANROBERT François-Certain deLettre autographe signée, adressée à une comtesse. Paris, 2 février 1858 ; 2 pages in-8°. Il n’a pu lui répondre plus tôt, ignorant son adresse : « Je serais, certes, très heureux, Madame, d’avoir eu l’occasion de m’exister votre gratitude en ayant pu faire quelque chose qui vous fut agréable ; mais dans la circonstance à laquelle vous voulez bien faire allusion, je ne crois pas avoir eu cet avantage; et je regrette qu’une conversation à laquelle je n’attache qu’une importance secondaire, en ait acquis, à vos yeux, par la manière dont elle vous a, sans doute, été rapportée. »
Photographie autographe signée
CANROBERT François-Certain dePhotographie autographe signée, dédicacée au général de Rivières. XIXe siècle ; 348 x 270 mm (petit accroc sur le support sans importance). Photographie de la Galerie contemporaine, avec ce précieux envoi : « au général de Rivières, souvenir de haute estime et d’affectueux dévouement Mal Canrobert ». Rare.RIVIÈRES Raymond Adolphe Séré de [Albi, 1815 - Paris, 1895], ingénieur militaire et général français.
Lettre signée
CANNING Charles-John, EarlLettre signée, adressée au vicomte Condeixa. 23 août 1844 ; 2 pages in-folio, en anglais ; on joint la traduction en français de 3 pages in-8°. En-tête manuscrit « Foreign Office ». « Je suis chargé par le comte d’Aberdeen de vous faire savoir en réponse au mémoire que vous avez adressé à sa signature, que, quoique vous ayez obtenu des lettres anglaises de naturalisation, cela ne donne pas le droit au gouvernement de Sa Majesté de requérir du gouvernement portugais de vous payer la pension et la dette que vous assurez vous être due par la couronne de Portugal en vertu de votre caractère de sujet portugais. »
2 lettres autographes signées
CANALS Y LLAMBI RicardoEnsemble de 2 lettres autographes signées, adressées à M. Teyssier :— Madrid, 22 juin 1903 ; 2 pages in-8°. « Je vous prie de m’excuser du retard à vous envoyer les deux esquisses. C’est bien de ma faute, pour avoir laissé le soin de faire l’envoi au même encadreur pendant une excursion que j’ai faite à Salamanca. À mon retour, j’ai du l’envoyer moi-même. »— Grenade, 25 mai 1905 ; 2 pages in-8°. Il fait un voyage en Espagne et en rentrant à Paris il « aurait grand plaisir à vous montrer mes nouvelles productions et comme de juste vous pourrez choisir. Je vous prie de m’excuser ce retard mais réellement j’ai eu beaucoup de mal avec ce tableau et m’a empêché de rien faire d’autre assez intéressant pour vous montrer. »
Pièce signée
LÉVIS François-Gaston, duc dePièce signée « Le Cher de Levis ». Paris, 23 avril 1761 ; 1 page in-4°.« Nous lieutenant général des armees du Roy et commandant en chef le corps des troupes de terre qui etait en Canada, certifions que le Sr Monin, capitaine des troupes de cette colonie, a servi sous nos ordres avec la plus grande distinction ayant donné dans toutes les occasions des preuves de courage, diligence et bonne volonté. En foy de quoi, luy avons fait expédier le present certificat. »
Lettre signée ou lettre autographe signée
CAMUS AlbertNous rentrons fréquemment des lettres de Camus. Nous consulter pour nos disponibilités. Prix suivant l'intérêt du texte.
Ensemble de 2 lettres autographes,
CAMPAN Jeanne Louise Henriette GenestEnsemble de 2 lettres autographes, adressées à Nancy Macdonald (fille du maréchal Macdonald et qui épousa en 1810 le fils de Régnier, duc de Massa). Écouen, 24 et 28 juin 1811 ; 1 page avec adresse au dos et 1/2 page in-4° :— En avril 1811, Mme Campan venait de faire paraître Lettres de deux jeunes amies, décrivant la vie à Écouen. « Présentez vous-même à M. le Duc [de Massa], mon ouvrage sur Écouen, et agréer l’hommage que je vous en fais comme gage d’amitié bien tendre. […] J’irai souvent vous voir et vous embrasser, car je vous aime de tout mon cœur. »— « Sollicitez votre cher beau-père, mon enfant, en votre nom et au mien, obtenez une de ces deux places, vous me ferez un véritable mais bien véritable plaisir. »Autographe peu commun. Mme Campan signait rarement ses lettres.
Lettre autographe
CAMPAN Jeanne Louise Henriette GenestLettre autographe, adressée à Nancy Macdonald, fille du maréchal Macdonald. Écouen, 26 mai 1813 ; 4 pages in-4°. Très intéressante lettre sur l’habillement des demoiselles de la Légion d’honneur : « Vous avez autant de goût que d’ordre et d’économie, tout le monde a été enchanté des objets que vous avez achetés pour Caroline Desaix. Elle a eu beaucoup de linge […] 3-12aines de chemises, 3-12aines de paires de bas, 5-12aines de serviettes de courtelle, 2-12aines de mouchoirs de batiste, 6 camisoles pour 3400 f à peu près. […] En attendant qu’elle se donne elle-même du linge et d’autres effets comme il convient surtout en province d’en avoir, car une femme ayant peu de linge et le changeant comme nous le faisons à Paris se voit lésée […] dans des familles où l’on ne fait la lessive que deux fois par an. » Elle raconte les inquiétudes de la jeune fille pour sa nuit de noces. Elle a dû rester auprès d’elle pour la rassurer jusqu’à minuit, pendant que le marié attendait dans une pièce voisine, mais « le lendemain, au déjeuner chez les cousins de Mr de Bellevaud , elle était gaie, bien portante et tout le tragique de l’affaire était parfaitement oublié. » Elle évoque « les espérances de paix ou de guerre, si nos héros […] les occasions d’étonner encore l’univers par leur valeur, l’univers a grand besoins de repos, et il est digne des nobles sentimens de l’Empereur d’en faire la première demande d’autant que son armée n’a jamais été ni plus belle, ni plus nombreuse, ni mieux disposée à combattre ». Mme Campan signait rarement ses lettres.
Lettre autographe
CAMPAN Jeanne Louise Henriette GenestLettre autographe, adressée à Nancy Macdonald, fille du maréchal Macdonald. 14 mars 1812 ; 3 pages 1/2 in-4°.« Je n’entends pas parler ma chère et bonne Nancy de ces pauvres Vaucher, mais je sais que c’est le tribunal de commerce qui peut seul les faire arrêter, et par conséquent M. le Procureur Impérial du Tribunal Civil. Vous devez le connaître, il serait bien bon à vous de lui écrire que ces pauvres demoiselles ont perdu la tête, qu’elles n’ont fait la faute d’augmenter leur dette qu’avec l’espoir de chaque jour de parvenir à les acquitter, enfin en dernier lieu elles ont donné leur confiance à une femme qui en a abusé […]. Si on les arrête elles seront aussitôt mortes car elles sont malades, les créanciers ne seront pas payés et elles ne leur donneront pas une grande consolation. Je suis vraiment bien peinée de leur malheur. Elles vivaient si paisibles et si heureuses à St Germain ! Malheureusement elles n’avaient pas assez de tête pour se .... de la moindre entreprise. Ma nièce Eglé s’est accouchée d’un quatrième garçon j’irai après Pâques passer quelques jours auprès d’elle et j’en profiterai pour vous voir un peu car nous nous trouvons trop séparées après avoir passé tant d’années ensemble. Adèle a sans doute peur de m’écrire, et pourquoi ? et comment peut-elle me laisser là, comme si nous ne nous étions pas connues. Il est bien fâcheux que le Gal Dessaix ne marie pas sa fille, cette petite sotte prend son existence à Ecouen en dégout, et se conduit si mal avec moi qu’elle ne mesure pas dans le cas de lui adoucir son sort, comme je l’aurai fait si elle se fut mieux comportée, aujourd’hui encore nous avons eu une scene je la place à une table d’élèves, cela lui déplait et avant la fin ..., et avant les graces, Mlle sort et va s’asseoir dans le cabinet. On ne peut avec 300 enfans en indulger une aussi coupable, vis à vis des bienséances et du règlement sans risquer de désorganiser le régiment car une pareille ecole ressemble parfaitement à un corps militaire où doit régner la discipline. Si votre amitié peut faire quelque chose sur une semblable tête c’est un acte de bonté de l’essayer, car la guerre doit encore éloigner son etablissement. Adieu ma chère enfant. Je vous recommande encore ces pauvres demoiselles auprès de M. le Procureur impérial civil si vous le connaissez. Aimez moi toujours un peu ma chère enfant car je vous aime beaucoup et de toute mon âme. »Mme Campan ne signait quasiment pas ses lettres.
Lettre autographe
CAMPAN Jeanne Louise Henriette GenestLettre autographe, adressée à Nancy Macdonald, fille du maréchal Macdonald. 7 avril 1813 ; 4 pages in-4°.« Je viens, ma chère Nancy de faire signer un oui à votre chère Caroline en faveur d’un mariage qui me parait des plus convenables, et qui va se faire ici. Elle épouse le fils d’un ami intime de son père; fils unique, riche propriétaire d’une famille très distinguée. Le père ancien baron, membre de l’ordre de l’Union, ancien membre du Sénat de Savoie constitue un majorat de baron pour son fils, il est en demande de cette faveur. Le jeune homme a 29 ans, est bien on peut même dire, très bien, l’entrevue s’est faite aujourd’hui. Caroline riait, pleurait se tortillait devant son oncle sans vouloir prononcer, le bon oncle disait, vois mon enfant ? n’as tu pas de répugnance ? […] Moi qui voyait qu’elle n’avait nulle répugnance, je lui ai donné une plume et elle a tracé sans s’en douter d’elle un oui que j’ai donné au bon oncle. J’aurai à vous préciser ma chère Nancy de vous charger de faire faire à votre amie six robes de fantaisies bien modestes, car on est fort simple dans ce pays là, d’ailleurs ce n’est pas son trousseau, on le fera à Thonon ou à Guesde, il lui faudra aussi un shale d’imitation dans le prix de cinq à six napoléons, deux ou trois chapeaux, cinq à six jolis fichus, le tout ne doit pas passer 1500 f. car on n’a que 3000 f. J’employe le reste au linge. Le général donne à sa fille cent mille francs don cinquante en la mariant comme sa soeur et cinquante séparément en faveur de ce mariage, mais qui ne seront acquittés que dans dix ans. Ceci est pour vous et à titre d’amie, vous voyez qu’il traite très bien sa seconde fille et qu’elle avait tord d’en douter. Mandez moi si cela ne vous gene pas de vous occuper des commissions de Caroline je les ferais alors moi-même mais elle doit avoir plus de confiance dans votre goût. […] Vous avez scue la peine que j’ai éprouvée le mot dédomagé que Sa Majesté l’Empereur m’a fait dire par la Reine m’a beaucoup consolée. Adieu ma chère Nancy donnez moi de vos nouvelles, croyez à ma tendresse et à tous les voeux que je fais pour votre bonheur futur ainsi que pour votre estimable mari. »
Manuscrit
CAMPAGNE D’ESPAGNE — MANUSCRIT.Manuscrits de l’époque. 1812 ; 15 pages 1/2 formats divers.— Extrait de la Gazette de la Régence du 28 novembre 1812. 5 pages in-folio.— Extrait de la Gazette de Madrid du 5 décembre 1812. 4 pages in-8°.— Extrait de la Gazette de Cadiz [Cadix] du 12 décembre 1812. 5 pages 1/4 in-8°.— Extrait de la Gazette de Madrid du 17 décembre 1812. 1 page 1/2 in-folio.Copie manuscrite des journaux de l’époque des mouvements militaires des armées françaises et anglaises. Textes très intéressants.