Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Photographie autographe signée, dédicacée
BERNARD TristanPhotographie dédicacée au dos. 18 avril 1938 ; 87 X 130 mm. Photographie en noir et blanc, le représentant accoudé, assis, appuyé sur une table. « Voici, cher Monsieur Félix Bonafé, le portrait du beau vieillard en question. Avec mes sentiments les meilleurs. Tristan Bernard. »
Manuscrit autographe signé
BERNARD Tristan (Paul Bernard, dit)Manuscrit autographe signé « Achille dans les affaires ». 3 pages in-folio. Manuscrit intéressant de ce conte ironique.
Photographie signée
BERNARD Tristan (Paul Bernard, dit)Photographie signée. 18 x 13 cm. Photographie Roger Corbeau.« Pour Gaston Verdier en souvenir de Pâtes blanches. Bien amicalement de Paul Bernard. »Après l’avoir vu au théâtre, Colette écrit que Paul Bernard est un « charmant jeune premier, dénué d'humour, incapable de se caricaturer lui-même ».
Lettre autographe signée
BERNARD Jean-JacquesLettre autographe signée. Bréhat, le 23 août 1929 ; 1 page in-4°. « Je suis bien de votre avis quant à la vanité des théories. Aussi je n’ai pas voulu en émettre une, mais seulement essayer, sans la donner pour nouvelle, de dégager une vérité : la valeur dramatique de l’inexprimé. Cet inexprimé, ce n’est pas — ou du moins très rarement — ce qu’il y a sous les répliques... répliques, mais ce qu’il y a sous les répliques ... quelquefois. Rien ne serait dangereux comme de tirer de cela un procédé. Vous savez d’ailleurs qu’il n’y a pas d’art plus souple que celui du théâtre et que sa plus importante vérité est que les vérités y sont toujours relatives. Je suis bien heureux que Martine vous ait plus et très touché de la façon dont vous me le dîtes. »
Lettre autographe signée
BERNARD ÉmileEnsemble de 2 lettres autographes signées :— « Jeudi 2 février 1888 » ; 1 page 1/2 in-12 sur papier de deuil. « En souvenir de mes trop courtes relations avec vous, lesquelles se bornent malheureusement à la si amicale réception que vous me fîtes il y a quelques années, à la suite d’un concert où jouait mon ami Sarasate, je pends la liberté de vous adresser la partition de mon ouverture Béatrice. Lisez-la, je vous prie, et je serais vraiment très flatté qu’elle eut votre approbation. »— « Lundi 12 mars 1888 » ; 2 pages in-8° sur papier de deuil. « Les aimables choses que vous me dites sur cette ouverture m’ont été bien sensibles, et même votre petite critique sur le peu d’importance du motif initial, me prouve combien vous jugez sainement les questions d’art. En effet, cette oeuvre composée il y a au moins douze années, a été écrite avec la plus grande sincérité, mais aussi sous des influences musicales qui se sont bien modifiées depuis ! Et puisque il y a quelques mois mon éditeur s’est décidé à faire graver l’orchestre, je ne pouvais guère y apporter de grands changement, la réduction à 4 mains existant depuis longtemps. »
Lettre autgraphe signée
BERNARD ÉmileLettre autographe signée à son fils adoptif Michel-Ange. Venise, non datée ; 4 pages in-4. Longue et belle lettre évoquant son oeuvre et la pérennité de celle-ci. Il remercie son fils pour un article « Le portrait est très bien venu agrandi. L’article est aussi beau que tu pouvais le faire ». Il s’en prend violemment au matérialisme et aux juifs. « Pour moi je tiens pour parfait qu’ils me haissent, je ne puis désirer que la haine des ennemis de l’art. Le malheur c’est qu’ils étouffent la vérité et font les ténèbres. Il est bon de les démasquer, de les désigner, de les blâmer...» « Tu as pu voir que mon exposition chez Charpentier n’a été qu’une affaire d’art pur. Qu’elle a exité l’admiration des uns et la rage des autres. Je ne suis pas une valeur financière mais une valeur d’esprit et de talent...»
Lettre autgraphe signée
BERNARD ÉmileLettre autographe signée adressée à une bonne amie. Paris, le 2 août 1927 ; 2 pages in-4°. Très belle lettre parlant de ses peintures. « Emile Baumann est venu poser Jeudi, pour son portrait, que j’ai réussi à souhait et selon ses voeux, en trois heures ; par contre j’ai manqué absolument celui de Grolleau, sur lequel j’ai travaillé six heures. Puis je me suis remis à mon grand tableau de “ La lutte de l’homme contre la Femme ou d’Hercule contre les Amazones ” Je l’ai assez bien conduit, je crois, mais cela m’a causé de grandes fatigues, je n’en dormais pas, tant j’avais à réfléchir à son sujet. Finalement il est en voie de conclusion et je lui ai, je crois, arraché l’âme ».
Ensemble de 2 lettres et un poème
BERNARD ÉmileEnsemble de 2 lettres et un poème, [adressés à M. Eugène Langevin]. Poème autographe, signé de son pseudonyme « Jean Dorsal ». 1922 ; 1 page in-8°. Poème dédié à Eugène Langevin « Lassitude » de 14 lignes. Lettre autographe signée, [adressée à M. Eugène Langevin]. 1/2 page in-4°. Lettre illustrée d'un bois gravé d'Émile Bernard. Lettre de rendez-vous. Lettre autographe signée, [adressée à M. Eugène Langevin]. 1/2 page in-4°. Lettre illustrée de trois bois gravés d'Émile Bernard. « J'ai reçu votre protestation. C'est un magnifique article. J'ai lu aussi avec satisfaction votre belle protestation catholique. Je suis avec vous, vous le savez. Mes amitiés et à bientôt n'est-ce pas le plaisir de vous voir. À demain, jeudi.
Lavis dencre sur papier
BERNARD ÉmileSenlis. Lavis d'encre sur papier, signé en bas à droite et situé en bas à gauche. 28.5 x 23 cm à vue.
Lettre autographe signée
BERNARD ÉmileLettre autographe signée, adressée à Mme Duchâteau. Pont-Aven, 15 janvier 1940 ; 4 pages in-8°. « Merci de vous être occupée de mes tableaux. Si la caisse vous gêne, ouvrez-la, retirez les tableaux et accrochez-les chez vous. Vous la ferez se rendre à la cave lorsque vous l’aurez vidée ou vous en ferez du feu. […] Merci du bon soin que vous voulez bien prendre de mes oeuvres et de mes concierges. […] Zabeth est à St Florentin auprès de Milandre, elles m’écrivent toutes deux souvent. Elles vont bien et leurs enfants prospèrent. Moi je reste ici, dans un froid assez vif mais qui ne doit pas grand chose auprès de celui des Vosges ou de l’Alsace. Je me chauffe à mes admirations du paysage et fais quelques portraits . On aime la peinture à Pont Aven et j’y ai fait quelques ventes, ce qui m’aide beaucoup. J’espère arriver à vivre en ce pays sans grosse dépense. […] Relativement à Lamorandière je suis bien peiné de son état. J’espère qu’en reprenant la santé il se remettra. C’est pour sa femme un sort bien pénible de se voir privée de toutes es relations et vivre avec un mari ombrageux. Quelle fin malheureuse pour ce grand penseur si peu apprécié et dont j’ai lu notre petite académie les plus belles pages […]. Je lui ai consacré notre 3e réunion. Il y avait assez de monde pour que son nom soit retenu. […] En pensant à vous, je pense à lui qui était comme votre second, puisque toujours on le voyait près de votre personne (n’êtes vous pas sa véritable mère !) Pourvu qu’il ne souffre pas de ce dur hiver ! Je viens de remettre à la poste le mandat de 180. Je vous remercie des soins que vous avez pris de sauver mes tableaux. Cette exposition de Lille organisée par des socialistes, est un vrai repaire de gredins. Demandez à Dupont ce qu’il en pense. Nous avons aujourd’hui une température douce, après de bien grands froid. Dieu fasse que cet enfer du froid nous quitte au plus tôt. »
Lettre autographe signée
BERNARD ÉmileLettre autographe signée, adressée à Mme Duchâteau. Sans date [Novembre 1911 ?] ; 8 pages in-8°, enveloppe timbrée jointe. Concernant un dégât des eaux dans son atelier. « Merci de m’avertir de ce qui se passe à mon atelier. […] Les réparations, s’il y en a seront à faire ailleurs. Merci encore. Vous savez que j’ai de grandes inquiétudes quand je ne suis pas là de laisser les ouvriers chez moi. […] Si vous pouvez aller voir, je vous serai infiniment reconnaissant. Jamot est venu me voir à Tonnerre et je lui ai lu Le Juif Errant que je viens de terminer absolument. Il l’a trouvé fort à son goût […]. Je tiens compte de vos observations. […] Ils ne me persuaderont pas plus que ma forme est mauvaise que les peintres n’ont pu me persuader que je suis un crétin. Que voulez-vous, petites gens, petites opinions. Le Français est né envieux. Quant à moi, je me drape dans le mépris que mon âge et mon talent m’autorisent à avoir. […] Je veux sentir votre admiration dans votre amitié. »JAMOT Paul [Paris, 1863 - Villerville, 1939], peintre, critique d’art et conservateur de musée français.
Lettre autographe signée
BERNARD DE MARIGNY Charles-René-Louis, vicomte deLettre autographe signée, adressée à son ami St-Laurent. La Rochelle, 25 juin 1784 ; 4 pages grand in-8°. « J'ai dernièrement chargé un officier d'artillerie qui va à Bordeaux, de plusieurs paquets pour l'Inde, sur la nouvelle que j'ay eu du départ d'un vaisseau marchand de ce port destiné pour ces mers. Tu recevras par le batiment une liste de 84. avec les mémoires faits contre M. de Grasse, qui par le dernier jugement a été pleinement condamné. Je suis icy d'hier et à sa comedie j'appris qu'un batiment de commerce partait au premier bon vent pour l'Inde. Je n'ay pas perdu un instant et je me suis informé dans ma chambre pour causer quelques moments avec toy... je te parle bien Bt de Bordeaux de M. de Suffren, mais dans le cas cette liste parviendrait la première je vais encore t'en entretenir. Il est vic amiral, cordon bleu et recherché à la Cour de France comme le français le plus précieux à l'état. Il n'a encore rien fait paraître sur le sort des subalternes qui ont servi sous ses ordres, mais le public qui dans cette circonstance n'a d'yeux que pour M. de Suffren et ceux qui étaient de son escadre veut que nous ayons tous un grade de plus, et en conséquence je te fais mon compliment sur ton nouveau grade. J'aimerais mieux t'en faire un sur ton nouveau retour, je gagnerais davantage par le plaisir que j'aurais à t'embrasser. C'est un bien doux moment que celuy de se revoir en Europe après s'être trouvé dans l'Inde je ne puis m'empecher de sauter au col de tous ceux que je revois icy de cette manière.[ ] Bonjour, mon cher St Laurent, aime moy toujours comme ton camarade le plus attaché à toy. Salam. Marigny. »
Lettre autographe signée
BERNARD ClaudeLettre autographe signée, adressée à un autre académicien. Paris, 21 avril 1868 ; 1 page 1/2 in-8°, sur papier de deuil. « J’ai reçu trop tardivement votre note pour la communiquer à l’Académie. Vous m’aviez adressé votre lettre à l’Institut d’où elle a été renvoyée. » Il lui renvoie la note intéressante sur laquelle il lui fait « une seule observation, c’est qu’étant toute philosophique, il me semble qu’elle incomberait plutôt à l’Académie des Sciences morales et politiques ».
Photographie dédicacée
BERNARD ArmandPhotographie dédicacée. 23 x 17,4 cm. Photographie du studio Piaz à Paris. « Pour Walter Wottitz mon très amical souvenir, Armand Bernard. ».
Contrat dactylographié, signé
BERNARD (Tristan Paul Bernard, dit)Contrat dactylographié, signé par Tristan Bernard, Fernand Vanderem, Franc Nohain et M. Beaulieu, directeur du théâtre de la Comédie des Champs-Élysées. Paris, 18 février 1914 ; 2 pages in-4°. Contrat pour les droits de représentation et les conditions de paiement des pièces De l’eau dans son vin et La victime .