Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Lettre autographe signée
BÉRANGER Pierre-Jean deLettre autographe signée. 1/2 page in-12.« Lui voulez vous donner la peine de passer rue de La Tour d’Auvergne mercredi matin, vers dix heures. Vous me trouverez. Salut au brave sergent. »
Photographie
BÉRANGER Pierre-Jean dePhotographie du tableau de E. Hader. Format cabinet (16,5 x 11 cm). Photographie éditée par Sophus Wulliams, Berlin. Reproduction de la signature en bas du document.
Lettre autographe signée
BÉRANGER Pierre-Jean deLettre autographe signée, adressée à M. Gallot. 1er avril 1830 ; 1 page 1/2 in-4°. Lettre en rapport avec le banquier Laffitte. « Je viens de vous chercher partout dans votre immense établissement sans pouvoir vous trouver […] malheureusement je n’ai rien de bon à vous apprendre. […] Il ne peut rien par lui-même, parce que sa maison s’oppose maintenant à ce qu’il prenne aucune part aux entreprises […]. J’avais prévu cette réponse. Je lui ai demandé des conseils pour votre situation que je lui ai peinte sous les couleurs avec laquelle vous me l’avez montrée. Il prétend qu’il faudrait réunir quelques amis pour former un conseil ; qu’il serait surtout nécessaire d’avoir un homme à mettre à la tête de l’affaire, et qui avançant 30000 F aurait à les reprendre avant tous autres, sur la valeur de l’établissement ».
Lettre autographe signée
BÉRANGER Pierre-Jean deLettre autographe signée, adressée à Mme Fabreguettes. 8 janvier 1827 ; 2 pages 1/2 in-8°, adresse avec marques postales. «Vous faites bien de prendre mon habitude et d'écrire quand vous voyagez. Cela m'a valu une jolie lettre bien aimable et dont vous pouvez croire que je sens tout le prix. [ ] Je veux pourtant vous aller voir cette semaine, mais voici une autre anicroche. Mme Gevaudan, qui me fait passer en revue par tous ses vieux amis et qui prétend que je lui ai donné parole pour mercredi en m'entendant dire que je croyais pouvoir aller à Bagneux demain, mardi, m'a rappelé ce qu'elle appelle ma promesse, me sommant de la tenir au nom de l'amitié. Elle est si bonne que je n'ai pas osé lui résister, cependant j'en avais bonne envie. Au moins vous ne présumez pas que c'est pour m'amuser que j'éloigne l'instant de vous aller voir dans votre solitude. [ ] Vous aurez su quelques détails du dîner de Fleury. Les deux sultanes [ ] se sont retrouvés en présence. Toutes deux ont eu une dignité mêlées de grâce et de politesse qui a été du plus heureux effet. J'étais invité, mais mon dîner chez Achille, m'a empêché d'être de cette brillante réunion, dont les journaux auraient du parler. Mon dîner chez Achille, que je redoutais tant, s'est fort bien passé. J'en suis sorti sain et sauf, et qui plus est roi. » Il a reçu une lettre d'Emilie qui doit se soigner.
Lettre autographe signée
BÉRANGER Pierre-Jean deLettre autographe signée, adressée à Mme Marceline Desbordes-Valmore. [Passy-sur-Seine,] 2 avril [1843] ; 2 pages in-8°, avec adresse. Il vient de recevoir sa lettre et « celle qu’elle contient. Ce que je voulais vous dire, c’est que j’avais 50 f. à ajouter à la petite 10e que vous avez eu la bonté de recevoir de moi. […] Prenez la peine d’envoyer chercher cet argent. Comme je garde la chambre, on me trouvera à toutes les heures. […] Permettez-moi de vous gronder. Quelle nécessité y avait-il à ce que vous disiez à cette malheureuse amie que moi, qui lui suis étranger, j’étais dans le secret de ses importuns ? Si encore j’étais en position de l’en tirer, à la bonne heure ! Car elle saurait désormais à qui s’adresser en cas de rechute. […] Vous allez lui dire que je n’ai fait que des souhaits pour elle ! […] Pardonnez-moi cette petite gronderie et croyez que je vous aime autant que je vous admire. »
Lettre autographe signée
BÉRANGER Pierre-Jean deLettre autographe signée, adressée à Mme Fabreguettes. Sans date ; 1 page in-12. « Ma chère Elisa, la petite sortie que j'ai faite l'autre jour pour aller vous voir, ne m'a pas bien réussi. La fièvre est encore revenue et j'ai un enrouement tel que je ne puis parler. je pense à me faire mettre des sangsues, demain ou après. je ne puis donc aller vous voir ».
Lettre autographe signée
BÉRANGER Pierre-Jean deLettre autographe signée, adressée à Mme Fabreguettes. « Mercredi soir » ; 3 pages in-16, adresse sur la 4e page. Il regrette de ne pouvoir se rendre à l’invitation qu’elle lui propose. « Je suis bien fâché de savoir votre oncle toujours souffrant. Témoignez-lui mon chagrin. Mille tendresses à votre tante. […] Je suis bien aise de vous voir décidée à essayer le lait d’ânesse. Pourtant faites-le avec précaution […]. Voyez, il y a trois ou quatre ans, je n’aurais pas marchandé ainsi pour vous aller voir. »
Lettre autographe signée
BÉRANGER Pierre-Jean deLettre autographe signée, adressée à Mme Fabreguettes. [14 janvier 1830] ; 2 pages in-8°, adresse sur le 4e feuillet. « Voilà huit jours que je vous ai été voir et sept jours que j’ai la fièvre. En rentrant de chez vous, la fièvre me prit et fut très violente les 3 premières nuits ; cette nuit seulement j’en ai été débarrassé. […] Fleury ne sait ce qu’il dit : c’est à 5 heures qu’il est venu, car ce jour-là j’ai eu du monde jusqu’à cette heure ; mais il est vrai que lorsqu’on vient trop tard, le portier a ordre de ne pas laisser monter. […] Martin est un sot. Il faut complètement manquer de tact pour manquer de politesse avec vous. À quoi sert l’esprit ? Il y a des gens qui en dégoûteraient. […] Les salons m’ennuient furieusement et depuis ma sortie de prison, je n’y ai pas repris goût. »
Ensemble de 2 lettres signées, adressées à Mme Luce Fieschi, éditrice aux Éditions du Club de lHonnête Homme.
BÉNOUVILLE Pierre deEnsemble de 2 lettres signées, adressées à Mme Luce Fieschi, éditrice aux Éditions du Club de l'Honnête Homme. Avec une carte de visite. 1965 : « En rentrant d'un long voyage aux États-Unis je trouve votre très beau prospectus du Barrès complet. Je me réjouis de constater que j'aurai la charge de préfacer le tome 8. Je souhaiterais pouvoir lire le texte de Gerbeviller que je connais, bien entendu, pas. Je suis certain que cette série rendra à Barrès la place qu'il doit occuper. » 1967 : « Je vous prie de bien vouloir trouver, ci-joint, le double d'une lettre que je viens d'envoyer à mon ami Henri Massis pour lui demander de préparer, pour Jours de France, un article vantant le bel effort que vous faites en éditant l'oeuvre complète de notre cher Barrès. »
Manuscrit autographe signé
BENOIT PierreManuscrit autographe signé. Alexandrie, 10 septembre 1924 ; 2 pages in-8°. Extrait de « Le Puits de Jacob, chapitre VIII ». Cette page faisait partie d’un carnet de dédicaces autographes signées de personnalités artistiques et littéraires ayant voyagé entre Marseille et Alexandrie sur les bateaux Mariette Pacha et Champollion de 1924 à 1937. « Plus haut que Gethsémani au pied de la chapelle de l’Ascencion, l’automobile fit halte. Agar eut enfin sous les yeux le panorama de la ville, semblable à s’y méprendre à une immense photographie bistre, unicolor. », etc.
Pièce signée
BENOIT PierrePièce signée. Paris, 13 février 1925 ; 2 pages in-4°.Contrat signé par Pierre Benoît et Léopold Marchand par lequel Pierre Benoît accorde à Léopold Marchand le droit de tirer une pièce en plusieurs actes, de son roman La Châtelaine du Liban.
Lettre autographe signée
BENOIT PierreLettre autographe signée, adressée à une dame. 31 janvier 1885 ; 1 page in-4°. « Puisque jai décidé une fois pour toutes que cest vous que je chargerai de mon courrier pour Louis Madelin, continuons la tradition. Cette fois, cest de sa cravate de la Légion dHonneur que je vous prie de le féliciter [ ]. Quand je pense que jaurais eu la honte de lêtre avant lui ! Et quand je pense aux membres de notre Compagnie qui ont celle dêtre affreux pour avoir consenti, en reprenant une citation que Louis Madelin connnaît bien à déshonnorer leurs crimes ! Enfin pour aujourdhui, contentons nous dêtre heureux ! »
Photographie en noir et blanc
BENOIT Pierre AndréPhotographie en noir et blanc les représentant tous les deux se tenant par le bras. 25,5 x 19,5 cm. Traces dencadrement au dos.
Billet autographe signé
BENOIT PierreBillet autographe signé, adressé à Alfred Bloch. Dax, 6 février ; 1 page in-8°. En-tête imprimé de l’Hôtel des Baignots. 3 lignes sur l’envoi de deux papiers signés.
Manuscrit autographe signé
BENOIT PierreManuscrit autographe signé, intitulé « Ombres Chinoises — IIIe. Le secret de Singapour ». Sans date ; 2 pages 1/2 in-folio. « Le trajet de Calcutta à Hongkong abrégé de 1200 kilomètres. Oui mais alors, je vous le demande, à qui eussent servi les belles guinées dont l’Angleterre a payé en 1812 Singapour aux sultans de Djohore ? Non, non, c’est à Singapour que tous les navires devront passer. Et le supplément de charbon qui leur est nécessaire, ils le trouveront, au meilleur compte, dans les docks de l’Empire. […] On ne peut, sur le pont du navire pacifique qui chemine au milieu de ces fossés, s’empêcher de songer aux réseaux de mines qui du jour au lendemain y seront mouillées. On évoque les déflagrations rouges, teignant de sang les nuages qui se traînent à l’horizon. Ah ! le doux lac de Locarno, et les fleurettes fanées, sur fond de quelque cimetière des USA, sur la tombe de ce président Wilson qui apprit au monde émerveillé que l’Amérique peut être idéaliste, à condition qu’il ne lui en coûte pas un dollar. […] Seulement, la nuit venue, lorsque notre paquebot qui s’était attardé dans la rade a voulu repartir, j’ai été témoin des efforts du commandant pour obtenir son autorisation. On ne circule pas dans le port de Singapour comme dans un vulgaire port français. »