Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Gravure
BATAILLES DU CONSULAT ET DE L’EMPIRE.BATAILLE D’OCCANA, LIVRÉE LE 19 NOVEMBRE 1809. Grande gravure représentant une scène de la bataille. Tirage du Second-Empire ; 380 X 248 mm sur un feuillet de 490 X 335 mm. Gravée par Pigeot d’après Roéhn. Tirée de l’Album des Campagnes des Français sous le Consulat et l’Empire (Collection dite Carle Vernet).
Lettre autographe signée
BATAILLE HenryLettre autographe signée, adressée à Gaston Picard. 17 février 1946 ; 3 pages in-12, enveloppe jointe.« Au moment de boucler ma malle, toujours souffrant, obligé d’aller me soigner dans un meilleur climat, je reçois votre lettre. Quand vous recevrez ceci, je serai donc parti avec Mlle de Bray et je suis tout à fait désolé qu’elle ne puisse aller dire des vers à votre conférence. A son défaut, pensez à Sergine qui dit fort bien deux des trois poèmes de la Divine Tragédie. Un amateur qui a du talent, le baron de Bermingham […] dit bien “la Charge”. Je suis désolé de ne pouvoir choisir moi-même des interprètes dans cette occasion où vous voulez bien parler de moi et de mon livre. […] Les Revues sont décidément des personnes bien extraordinaires et si les petites se mettent à avoir les manières des grandes, où allons nous, mon Dieu ! Mon Dieu !... On ne peut plus prendre des domestiques décidément ! »
Lettre autographe signée
BATAILLE HenryLettre autographe signée, adressée à Louis Madelin. Vaucouleurs, le 13 mai 1934 ; 2 pages in-4°. « Jallais vous écrire pour vous faire part de loeuvre que je viens de mettre en route pour en exhumer les ruines du château de Vaucouleurs, qui fut (avec Domrémy pour linspiration) le point de départ de lépopée. Le fait que vous avez écrit de si belles choses sur Jehanne (et dautres) est que vus êtes né dans la même région que moi, me font espérer que vous me laissez exprimer, cher Maître, à ce double titre toute ma sympathie. [ ] Je partage votre opinion que la fête de Jehanne dArc est mollement célébrée. Cest pour vous dire mon indignation que je vous écris.. À Vancouleurs, ville Jehannique tout se borne à une petite procession dans léglise !!! et quelques poteaux à oriflammes provenant du don de 100 000 F alloué par le Gouvernement au Ve centenaire ! Cest lamentable de penser quici on ne la célèbre quindividuellement. Tant pis pour eux, moi je la célèbre ! Je me suis rendu moi-même, ce matin, dans le clocher de la chapelle du château, et jai sonné tout seul les trois cloches, à tour de bras, jusquà ce que je nen puisse plus. Et à midi, à la minute où je vous écris, le carillon vole encore, éperdument par dessus la vallée historique. Cette fois, cest une douzaine denfants qui se sont fait une joie de répondre à mon appel. Rien des autorités. Mais jai résolu de leur en donner pour leur compte ! Les petites cloches qui martèlent leurs sons aigus au dessus de la plume qui vous écrit, sonneront de 11 h 1/2 à midi sans arrêt ! Le 23 février dernier, jour anniversaire du départ de Jehanne [ ] je vins masseoir sur le banc de pierre doù lon contemple limmense et douce prairie, sous le tilleul cinq fois séculaire, et jai contemplé et rêvé. Puis me levant, jai gravi lescalier aux cloches et jai sonné le réveil des âmes engourdies, le réveil du grand souvenir, assoupi comme la sève dans larbre vieux à lécorce rigide. Et puis jai pris ma plume et jai envoyé aux journaux locaux la petite légende donc je vous envoie le texte. »
Pièce autographe signée
BATAILLE HenryPièce autographe signée. 1 page in-8°, carrée. Citation tirée de « La Divine Tragédie ». « Patrie — Mère Commencement de tout. Cause premièreÔ parturition incessante des êtres !...Mère des choses : guerre et patrie créatrice !... »
Pièce autographe signée
BATAILLE HenriPièce autographe signée, intitulée « La légende du gros Tilleul », dédicacée « à Louis Madelin, un modeste hommage dun compatriote. Henri Bataille. » Sans date ; 2 pages in-4°. « Ce matin là, lair était léger, le soleil rajeuni, cétait laube du jour et de lannée ; et, dans leur beffroi ajouré, les cloches de la Collégiale Notre Dame Sainte Marie de Vaucouleurs, assoupies sous la robe fraîche que leur avait mis la rosée, séveillèrent soudain, dans un carillon plus gai, plus claire, qui sen alla, par dessus les toits où rodèrent les premières fumées, réveiller la population... Cest que ce fut un grand jour, ce jour là en 1428. LArc que découpe dans le ciel, la Porte de France, sauréole de lumière matinale comme il devait rayonner au milieu du transport populaire quand la toute jeune Jehanne darc la franchit pour aller sauver la France ! Ramu, rugueux, trapu, le gros Tilleul ramasse sa noueuse membrane et cramponne ses racines au bord de lescarpement qui domine la vallée. Il a cinq fois cent ans. Le temps a gravé cela dans sa chair en creusant son flanc jusquà lécorce dune caverne où lon nicha une statue de pierre ! Les oiseaux sétaient rassemblés sur les plus hauts rameaux, et coulissaient pendant que sonnaient les cloches, leurs petits yeux pleins de convoitise vers les bourgeons renflés et luisants, pleins de promesses évocateurs de nid. Or tel fut ce qui se passa, voilà cinq siècles, au vu et su des oiseaux de ce temps et de ce même tilleul qui est là : cétait le moment solennel du départ de Jehanne, le peuple de Vaucouleurs entourait lhéroïne de ses acclamations, cétait une minute de joie, unique, et lheure de lespoir. Le salut nétait pas encore venu, car Orléans était encore assiégée, et Charles VII encore roi de Bourges ; mais déjà la vue de cette jeune guerrière, équipée, escortée et prête à partir, cétait le salut en puissance... Tout comme ces petits bourgeons déjà renflés, déjà luisants, cétait le feuillage en puissance. [ ] Aussi toutes les petites feuilles, menues et sensibles, blotties au sein des bourgeons, tressaillirent dans la joie unanime, tant que sous une brise merveilleuse, venue du frémissement de larbre autant que de frisson des profondeurs de lair, tout le feuillage se répandit dun coup sur la vaste ramure, et que ce pullulement de feuillez se mit à sagiter à la vue de la Libératrice comme les milliers de mains dun peuple entier pour souhaiter bon voyage à la gente héroïne. À cet instant le cheval quelle allait monter, alléché par cette verdure sapprocha dun beau tendron, le happa dune lèvre frémissante, en broya sous sa dent le jus [ ]. Ce fut cette scène miraculeuse, qui répandit dans ses veines cette vigueur inouïe nécessaire à la chevauchée record de Vaucouleurs à Chinon ! ... Ainsi est la légende du gros Tilleul telle quelle me fut racontée le 23 février 1934 par un pinson descendu des branches à côté de moi, sur la pierre des contemplations. »
Gravure représentant une scène de la bataille de Ravennes [12 avril 1512].
BATAILLE DE RAVENNES.Gravure représentant une scène de la bataille de Ravennes [12 avril 1512]. Tirage de 1852 ; 180 X 135 mm sur un feuillet de 305 X 225 mm. Gravée par Pourvoyeur d’après Ary Scheffer. Tirée du Tableaux de l’Histoire de France de Henri Martin.
Manuscrit
BATAILLE DE LA SIERRA NEGRA [1794].Manuscrit : « Rapports des batailles entre les Français et les Espagnols du 27 et 30 brumaire an 3e de la République faits par le général divisionnaire Augereau. » 17 et 20 novembre 1794 ; 7 pages in-4°.Copie du rapport d’Augereau de la bataille de la Montagne Noire en Catalogne (également appelée bataille de la Sierra Negra, bataille de Sant Llorenç de la Muga, bataille de Saint-Laurent, bataille de la Montagne Noire, ou encore bataille de Figuieras ou de Figueres), qui s’est déroulée du 17 au 20 novembre 1794 à Sant Llorenç de la Muga en Espagne, entre les troupes françaises des généraux de Pérignon et Dugommier, et les troupes espagnoles du général Luis Firmin de Carvajal. Elle se solda par une victoire des Français.
Gravure
BATAILLE DE HANAU.Gravure représentant une scène de la bataille de Hanau [30 otobre 1813]. Tirage de 1852 ; 245 X 150 mm sur un feuillet de 305 X 225 mm. Gravée par Beyer d’après Horace Vernet. Tirée du Tableaux de l’Histoire de France de Henri Martin.
Lettre autographe signée
BASTIA GeorgesLettre autographe signée du célèbre humoriste des années trente, adressée à Maurice Escande. Clichy, 1er avril 1968 ; 1 page 1/2 in-4°. Il demande à son correspondant de l’aider à faire son dossier de carrière pour prétendre à la retraite. Il relate son passé et son inactivité actuelle due à la désaffection pour la caricature.
Lettre autographe signée
BASCHET RenéLettre autographe signée, adressée à M. André de Fouquières. Paris, 30 mai 1910 ; 2 pages 1/2 in-8 oblongues. En-tête de lIllustration.« Absent de Paris, jai regretté de navoir pu aller vous applaudir vendredi. Nous naurions pu, en tout cas, insérer votre photographie. cela nest pas dans les traditions de notre journal. Feuilletez notre collection vous ny trouverez jamais, à propos de mondanités ou de représentations dramatiques le portrait officiel, le portrait posé chez le photographe. Il eut fallu un dessin. Mais où est aujourdhui lartiste qui rendrait le dandysme de Brummel ? »
Lettre autgraphe signée
BARTHOLOMÉ Paul-AlbertLettre autographe signée sur papier à l’en-tête de la société nationale des Beaux-Arts. Paris, non datée ; 2 pages in-8°. Lettre au sujet de Mr et Mme Dullin directeur du théâtre de l’atelier. « Connaissez-vous l’atelier le théâtre actuellement au théâtre montmartre. Si oui vous connaissez aussi tout au moins de nom Monsieur Dullin directeur de l’atelier . Madame Dullin qui est Mademoiselle Jeanniot voudrait parler de cette oeuvre pour qu’elle s’y interresse à Madame Blumenthal. Vos relations avec Madame Blumenthal vous permettent-elles de lui présenter Madame Dullin. Si oui un mot sur votre carte suffirait j’en suis sûr ».
Lettre autographe signée
BARTHOLOMÉ AlbertLettre autographe signée. 17 août 1900 ; 2 pages 1/2 in-8°. Sur une récompense qu’il reçoit. « Il m’est très doux de me souvenir aujourd’hui plus que jamais de l’aide que vous m’avez toujours donnée au milieu des difficultés que rencontrait mon travail. […] Ma joie serait plus entière encore si je pouvais dire une bonne parole au brave Escoula. Les événements vous permettent-ils de m’autoriser à le faire ? Est-il nommé ? »
Lettre autographe signée
BARTHOLOMÉ AlbertLettre autographe signée. « Jeudi 14 juin 1900 » ; 2 pages in-8°, en-tête gravé du « Randolph Hotel Oxford ». « Je ne puis quitter Oxford sans vous remercier de m’avoir permis de connaître Monsieur York Powel. Grâce à lui, j’ai passé des instants délicieux et j’ai vu des merveilles. Il m’a beaucoup demandé de vos nouvelles et chargé de vous dire qu’il viendrait à Paris, sans doute en septembre. »
Pensée autographe signée
BARTHÉLEMY SAINT-HILAIRE JulesPensée autographe signée. 15 mars 1849 ; 1/2 page in-8°. « Je hais comme l’enfer celui dont l’éloquence sait lâchement parler autrement qu’il ne pense. By St Hilaire »
Portrait gravé
BARTHÉLÉMY Jean-Jacques, abbéPortrait gravé par L. Meurillon. XIXe siècle ; 42 X 55 mm.