Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Lettre signée
PAGNERRE Laurent-AntoineLettre signée. Paris, 6 mars 1848 ; 1 page in-8°. En-tête imprimé « Gouvernement provisoire » « Le gouvernement provisoire vous prie de vouloir bien vous rendre demain mardi 7 mars à l'hotel de ville à midi précis pour y prendre part à la discussion d'un Comptoir d'Escompte. »
Peinture sur peau de vélin
PAGE DE LIVRE D’HEURES.La fuite en Égypte. Peinture sur peau de vélin extraite d’un livre d’heures sans doute de la seconde moitié du XVe siècle. Texte calligraphié au verso. 23,2 X 16,1 cm.La Vierge porte une robe bleue à rebords d’or ; saint Joseph conduit l’âne, l’Enfant Jésus, repose dans les bras de la Vierge Marie.Une grande initiale D d’une hauteur de quatre lignes est enluminée avec soin ainsi qu’un encadrement rectangulaire à fond d’or.Les marges sont entièrement remplies par une décoration filiforme feuilletée d’or et rehaussée de fleurs, de feuillages et d’un animal à deux têtes.Dans les sociétés de l’Europe méridionale, l’intensification du culte de la Vierge et la recherche de la Rédemption se concrétisent par des pratiques dévotionnelles multiples, dont certaines ne sont pas imposées par l’Église. La récitation habituelle des Heures – psaumes, prières et oraisons – par les laïcs, en particulier les femmes, n’a longtemps été attestée que par la conservation de quelques beaux livres des familles princières et aristocratiques, alors que son usage en Europe septentrionale est large.
Photographie dédicacée « Chalom Herbert »
PAGANI Herbert (Herbert Avraham Haggiag Pagani, dit)Photographie dédicacée « Chalom Herbert » avec une étoile de David. 15 X 10 cm, sur carte publicitaire des disques Pathé Marconi.
Pièce signée
PACHE Jean-NicolasPièce signée. Paris, 17 janvier 1793 ; 1 page 1/2 in-4°. En tant que ministre de la Guerre, sur les Gardes nationales : « Il ne sera accordé de congé absolu et illimité qu’aux volontaires qui offriront de se faire remplacer par un citoyen dont le civisme sera attesté par la municipalité du lieu de son domicile et qui ne sera pas actuellement en activité de service soit dans les troupes de ligne, soit dans les bataillons de volontaires nationaux ou compagnies franches. Remplissez les formalités prescrites par cette loi pour que je puisse accorder les congés que vous demandez. »
Lettre autographe signée
OMEARA Barry EdwardLettre autographe signée, adressée à Hudson Lowe. Longwood 12 decembre 1816 ; 2 pages in-4°, en anglais. Intéressante lettre sur la circulation de Marchand et Cipriani dans l'île. O'Meara s'est rappelé que Marchand était descendu en ville le 21 juin 1816, accompagné d'un soldat angalis. Il eut une conversation avec Thomas Reade sur O'Meara. Il ne pense pas que Cipriani était présent. Il n'ose faire confirmer sans éveiller des soupcons mais il s'est avéré que c'était Pierron qui accompagnait Marchand et non Cipriani. « I have made a minute sender among my papers in order to find out the date of the circumstance attende to leg you, as I recollected that Marchand had gone down to town and that there had been some communication thereapon from sir Thomas Reade to me, as the soldier who accompanied him had separated from him on his arrival in town, which at first, had led to a belief that he had proceeded down with out having been accompagnied, conceiving it possible therefore that Sir Th. Reade letters had not been detroyed by me, and knowing that it would ascertain the date (as it was to the only time Marchand ever had gone to town since has arrival at Longwood). I made a search and have been fortunate enough to find it. It was on the 21th June last. I do not think that Cipriani was present when the letter was delivered as it recollect night, Cipriani declined going down until the next day in consequence of supposing that it would be inconvenient for two persons each of whom had a different places, to go to, to divide one soldier who was to accompany them, between them, and I think likewise that he told me he was not present. I am afraid that I could not whithout giving cause for suspicion ask, at last at present Cipriani any more question about it. I will however take to find favorable opportunity of doing so should you think it absolutely necessary how that the date has been ascertained. It was Pieron who accompanied Marchand to town and not Cipriani. »
Lettre autographe signée
OMEARA Barry EdwardLettre autographe signée, adressée à Hudson Lowe. Longwood, 20 octobre 1816 ; 1 page in-folio, en anglais. Lettre relative à l'état de santé de Napoléon qui souffre de ses gencives : « According to your direction to communicate to you any altercation which I may observe in the state of General Bonaparte health I be leave to inform you that a few days back he complained of sponging of his gums which were flucid and bled on a slight touch countenance pale than usual and respiration rather more hurried These appearances being evidently produced by his want to exercise and using a greater proportion of animal food than vegetable and to which also the state of his mind may perhaps have contributed a little, I recommended to him a large proportion of vegetable acescent food and a diminution of the animal part of his diet with an acid gargle and particularly a great deal of exercise. He has complied with any part of this, except the exercise, and has desired considerable benefit thereby especially from eating water crespes, to which he his very partial. » Traduction française : « Selon votre instruction de vous communiquer toute alteration que je pourrais observer dans l'état de santé du général Bonaparte, je vous laisse vous informer qu'il y a quelques jours il se plaignait de de ses gencives spongieuses qui étaient coulantes et saignaient au plus léger toucher, plus pâle que d'habitude et la respiration un peu plus précipitée. Cet aspect étant manifestement produites par son désir de faire de l'exercice et utiliser une proportion plus élevée de nourriture animale que végétale et à laquelle son état d'esprit aurait aussi un peu contribué, je lui ai recommandé une grande proportion de nourriture végétale et acescente et une diminution de la part animal dans son alimentation avec un gargarisme acide et surtout beaucoup d'exercice. Il s'est conformé à n'importe quelle partie de ceci, à l'exception de l'exercice, et a souhaité un bénéfice considérable de ce fait surtout en mangeant des crêpes d'eau, pour lequel il est très partisan.» Cette conversation a eu lieu le 13 octobre 1816 d'après le journal de O'Meara.
Lettre autographe signée
OZERAY MadeleineLettre autographe signée. 7 avril 1956 ; 1 page in-4°. « J’ai égaré votre adresse et votre numéro de téléphone et vous seriez si aimable de m’appeler à Pas 0324 dans la matinée de lundi. Je dois jouer Bérénice au théâtre de la cité universitaire le 19 avril et j’aimerais vous en parler. Mille amitiés à votre charmante femme. »
Carte autographe signée
OZENFANT AmédéeCarte autographe signée, à la troisième personne, adressée au peintre Constant Baruque. Sans date ; 1 page in-12 au dos d’une photographie représentant son oeuvre Vie (Musée d’Art moderne de Paris). « Ozenfant remercie Monsieur Baruque de ses voeux et lui adresse les siens. »
Lettre autographe signée
OUDOT RolandLettre autographe signée. 18 août 1943 ; 1 page in-4°. « J’apprends par M. Pierre Bordas que vous avez l’intention de faire figurer dans “Un siècle de Peinture française” quelques reproductions de mes toiles. Je tiens à vous en remercier, et à vous dire combien je suis touché du fait que vous me voyez une petite place dans une anthologie de la peinture. Je tiens à vous signaler, au cas où cela vous intéresserait que Marc Vaux possède les clichés d’un très grand nombre de mes tableaux - de toutes les époques, et qu’il se mettrait avec empressement à votre disposition ».
Lettre autographe signée
OUDOT RolandLettre autographe signée, adressée à M. Lassaigne. « 27 janvier » ; 1 page in-4°. « Je vous envoie l’autorisation que vous me demandez. Je connaissais naturellement l’Almanach en question et serais désolé que la reproduction d’une de mes toiles vous occasionne des frais supplémentaires. »
Lettre autographe signée
OUDOT RolandLettre autographe signée, adressée au peintre Constant Baruque. 29 avril 1968 ; 1 page 1/4 in-8°, enveloppe timbrée jointe. « Votre livre est certainement chez moi, à Paris. J’ai passé le moi de mars en Italie et suis ici en Provence jusqu’au 15 mai. […] Je ne manquerai pas de vous retourner cet éloge avec un mot. Aussi soyez sans inquiétude, livre et timbres ne sont pas perdus ».
Reçu autographe signé
OUDINOT, marquise.Reçu autographe signé. 13 décembre 1825 ; 1 page in-8° oblongue.« Reçu de Monsieur de Cailleux un petit tableau représentant une marine. La Mise Oudinot »
Pièce signée « le pr. de Nassau Siegen »
OTHON DE NASSAU-SIEGEN Charles Henri NicolasPièce signée « le pr. de Nassau Siegen ». Paris, 1er février 1779 ; in-folio oblong (24 x 32 cm), sur vélin.Brevet de chirurgien major pour le sieur Pierre Laval, élève de l’hopital de Bicêtre.
Brochure « De l’organisation des partis politiques aux États-Unis », dédicacée : « À M. Cillière, souvenir affectueux, M. Ostrogorski ».
OSTROGORSKI MoiseyBrochure « De l’organisation des partis politiques aux États-Unis », dédicacée : « À M. Cillière, souvenir affectueux, M. Ostrogorski ». 24,5 x 16 cm, couverture fariguée et restaurée (mal) très anciennement. 8 lettres autographes très intéressantes de l’auteur sont insérées au début. Vendu en l’état.
Carte autographe signée
OSSIP-LOURIÉ (Ossip Davidovich Lourié, dit)Carte autographe signée, adressée à M. Gallois, directeur du Courrier de la Presse. Paris, 10 décembre 1900 ; 1 page in-12. Il lui adresse des réclamations sur son service de coupures de presse.