Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Photographie autographe signée, dédicacée
MURANO MarjaPhotographie signée avec dédicace autographe adressée à Mme Jeanne Mottier. 1957 ; 130 X 180 mm. Photographie Max Erlanger de Rosen, Paris (cachet au dos).
2 manuscrits
MUN Adrien Albert Marie, comte deEnsemble de 2 pièces :— Manuscrit autographe ; 6 pages in-12. Discours prononcé par Albert de Mun le 10 décembre 1907. — Manuscrit d’une autre main avec des corrections autographes. Une carte autographe signée est épinglée à la première page de ce manuscrit. Roscoff, le 16 septembre 1908 ; 29 pages in-4°. Il explique qu’il a corrigé l’épreuve et demande l’envoi de 50 exemplaires à M. Quément. Ce manuscrit est le brouillon corrigé racontant la réunion présidée par le député de la deuxième circonscription de Morlaix, le comte Albert de Mun et réunissant ses amis qui résident l’été à Roscoff.
Lettre autographe signée
MULLER Henry (né Jacques Charles Henri Muller)Ensemble de 3 lettres autographes signées, adressées à Mme Guitard :— Paris, le 10 juillet 1951 ; 1 page in-4°, en-tête « Éditions de la Jeune Parque ». « Je suis à votre disposition. Je ne sais si je pourrais beaucoup vous éclairer. Je tâcherai. Le mieux, puisque vous serez absente du 12 au 17, serait que vous me téléphoniez ici à votre retour, un matin entre 10 heures et 11 heures 30 ou une après-midi entre 15 h et 16 h pour prendre rendez-vous. Je ne m’absente pas avant le mois d’août. »— 8 septembre 1954 ; 2 pages in-4°. « Le journal auquel je collabore est ce qu’il peut y avoir de plus contraire à l’individualité. On veut des informations, on les accumule sur un sujet et un robot, fait le papier. C’est la formule Paris-Match L’opinion personnelle, l’avis, le prise de position sont pris pour crime de lèse-majesté. Voilà un signe des temps. Et j’avoue qu’ayant lu votre Chardonne, devinant ce que va être votre tournant, comment pourrais-je vous encourager à y collaborer ? »— Paris, le 14 septembre 1972 ; 2 pages in-4°. Enveloppe jointe. « Je ne connais personne au “monde” qui m’a, du reste, toujours ignoré, de Pierre-Henri Simon à Jacqueline Piatier qui a parlé une fois de mon roman “Clem” quand j’ai obtenu l’Intérallié il y a 10 ans ! Mais ce qui m’importe le plus c’est votre témoignage à vous et de l’intention que vous avez en me parlant de mes “Sans Jours”. Vous avez parfaitement saisi que le courage de tous les jours c’est autre chose que l’héroïsme à un jour et que ma lutte ne s’arrêtera pas demain. »
Lettre autographe signée
MUCHA AlphonseLettre autographe signée. « Rue de la Grande Chaumière 13. Lundi » ; 1 page in-8°. « Je suis désolée de ne pas avoir pu venir saluer hier Monsieur et Madame Manuel. Quel mauvaise infortune. Justement la semaine passée je change d’adresse en déménageant ure de la grande chaumière, en face de mon atelier et c’est pour cela, que la carte ne m’est parvenue qu’aujourd’hui. Comment réparer ma grande faute ? Peut-être dimanche prochain — serai-je importun ? Je pourrai apporter quelques dessins? Toujours à votre service, votre disposition, c’est mon plaisir. »
Photographie dédicacée
MOÜY Charles dePhotographie dédicacée à l’historien Louis Thouvenel. 1876 ; format carte de visite. Photographie d’Abdullah frères, photographes de Sa Majesté Impériale Le Sultan à Pera (Constantinople). « A mon cher Louis Thouvenel, souvenir de la conférence de Constantinople. Charles de Moüy. 1876. »De Moüy arrive à Constantinople un an avant la conférence du même nom, qui va décider du départ des ambassadeurs, et ne laisser sur place que des chargés d’affaires. Il sera chargé d’en rédiger les protocoles. C’est ainsi que de Moüy fait connaissance avec l’Orient, en pleine guerre russo-ottomane, et qu’il est responsable de l’ambassade de France. Ces responsabilités développent en lui une bonne connaissance de la question d’Orient, principal problème politique et diplomatique dans les relations internationales de la seconde moitié du XIXe siècle, et une envie de faire carrière dans le domaine diplomatique.
Photographie dédicacée
MOÜY Charles dePhotographie dédicacée à l’historien Louis Thouvenel. 1876 ; format carte de visite. Photographie d’Abdullah frères, photographes de Sa Majesté Impériale Le Sultan à Pera (Constantinople). « A mon cher Louis Thouvenel, souvenir de la conférence de Constantinople. Charles de Moüy. 1876. »De Moüy arrive à Constantinople un an avant la conférence du même nom, qui va décider du départ des ambassadeurs, et ne laisser sur place que des chargés d’affaires. Il sera chargé d’en rédiger les protocoles. C’est ainsi que de Moüy fait connaissance avec l’Orient, en pleine guerre russo-ottomane, et qu’il est responsable de l’ambassade de France. Ces responsabilités développent en lui une bonne connaissance de la question d’Orient, principal problème politique et diplomatique dans les relations internationales de la seconde moitié du XIXe siècle, et une envie de faire carrière dans le domaine diplomatique.
Lettre autographe signée
MOUTENEY JEPHSON Arthur JermyLettre autographe signée, adressée à Jules Leclercq à Bruxelles. Bruxelles, 24 avril 1890 ; 2 pages 1/2 in-12, en anglais. En-tête du « Grand Hôtel Britannique ». Il le remercie pour les livres et revues reçus et promet de les lire dès quil sera rentré chez lui. Peu commun.
Lettre autographe signée
MOUCHEZ ErnestLettre autographe signée, adressée à journaliste, M. Velaire. Sphax, 19 mai ; 4 pages in-8°. « Les douceurs du mariage vous font complètement oublier les amis. Je ne sais pas ce que vous devenez, ce que vous faites pour votre examen ni quelle position vous avez en perspective […]. Si le pays est riche en bêtes sous marines, il est atroce par le vulgaire et je m’y ennuie prodigieusement à cause surtout de tout ce qui me rappelle ce Paris. Je n’ai ni le coeur ni la tête à ce genre de campagne […] je suis trop blasé depuis 40 ans. cette campagne est exceptionnellement dure et pénible. Le climat est détestable, il vente toujours soit du Siroco avec 36° de chaleur (en mai) soit des vents du larges qui rendent la mer détestable. Les côtes sont bordées de plages de 3 à 4 kilom de largeur de sorte qu’il faut en quittant la baleinière marcher un bon quart d’heure avec de l’eau jusqu’aux genoux pour arriver au sol et on se trouve alors dans le désert avec un petit bouquet de palmiers toutes les 5 à 6 lieues. Ils appellent cela des oasis, c’est horrible. […] Mais que de bêtes au fond de l’eau ! » Il demande si on a reçu « les 2 potiches pêchées par 70m à 80 m de profondeur ? Je n’en ai aucune nouvelle ». On joint un manuscrit (4 pages in-4°) intitulé « Passage de Vénus sur le soleil du 9 décembre 1874 » avec la liste des 6 missions envoyées par la France sur le globe.
Lettre autographe signée
MOSZKOWSKI MoritzLettre autographe signée, adressée à un éditeur. Nauheim, 17 juin 1883 ; 2 pages in-8°, traces de colle au dos de la seconde page. Il le remercie pour la nouvelle de la bonne vente de son opus 31 (6 morceaux de piano) et ne veut pas donner suite à la demande de cession du petit Märschchens. « Ich danke Ihnen sehr für die angenehme Neuigkeit über den guten Vertrieb meines opus 31 [6 Klavierstücke], was indes Ihr Ersuchen um Überlassung des kleinen Märschchens anlangt, so kann ich demselben leider nicht willfahren, da ich das kleines Stück nicht einzeln heraus. Sollten sich [...] noch mehrere andere Stücke ähnlichen Charakters um dasselbe crystallisiren, so würde ich es wahrscheinlich schon Hainauer [dem Breslauer Verlagshaus] geben müssen, der seit furchtbar langer Zeit nichts von mir gekriegt hat. »
Lettre autographe signée
MOSZKOWSKI MoritzLettre autographe signée. 6 novembre 1917 ; 2 pages in-8° à l’encre violette. Lettre de condoléance à un ami ayant perdue sa fille. « Je n’ai pu vous approchez ce matin à la fin du service religieux. Je viens donc vous dire par lettre toute la part très vive et profondément sicère que je prend au malheur indicible qui vous a frappé en la personne de votre fille. La destinée de ma propre vie m’a rendu susceptible de mesurer votre douleur et c’est pour cela que je n’ose même pas vous dire un mot banal de consolation. Dites à votre chère femme que je suis de tout coeur avec elle. »
Lettre autographe signée
MOSZKOWSKI MoritzLettre autographe signée, adressée à Madame Labori. Sans date [mars 1917] ; 2 pages in-8°, en français.« La nouvelle de la mort de Monsieur Labori m’a frappé comme un coup de foudre... En lui je voyais toujours l’incarnation de la santé et je ne me doutais pas le moins du monde que depuis quelque temps déjà il était miné par une maladie insidieuse. J’ose à peine troubler votre douleur par ces quelques lignes que je trace d’ans une émotion profonde. Vous savez quelle était ma sympathie et mon admiration pour l’homme dont toute la France pleurera la perte prématurée ».
Ensemble de lettres signées
MORO NABA KougriEnsemble de 2 lettres signées, adressées au colonel Regondeau :— 14 janvier 1954 ; 1 page 1/2 in-8° oblongue. En-tête imprimé « Moro-Naba —Empereur des Mossis ». Sur la mort de son fils Nabyoure : « Mon fils est mort en défendant une noble cause, c’est l’essentiel. Je ne manquerai pas ainsi que toute ma famille de renouveler à chaque fois que le besoin se fera sentir, tout mon dévouement à la cause française. »— 27 décembre 1957 ; 1 page 1/2 in-12 oblongue. En-tête imprimé « S.M. Le Moro-Naba Kougri — Empereur des Mossis — Ouagadougou ». « C’est avec une vive joie que j’ai reçu votre lettre de félicitations à l’occasion de mon intronisation comme Empereur des Mossi. »
Lettre autographe signée
MORLAY Gaby (Blanche-Françoise Fumoleau, dite)Lettre autographe signée, adressée à M. Romilly. Boulogne-Billancourt, 12 mai [1935] ; 2 pages in-8°, enveloppe jointe. « J’aimerais beaucoup lire Les Preuves de l’existence de Dieu. Je ne puis le trouver. On me dit que ce livre est épuisé. Peut-être en avez-vous un ou deux exemplaires ? Au besoin je vous le renverrai après l’avoir lu. »
Lettre autographe signée
MORELLET AbbéLettre autographe signée, adressée à M. Godin, négociant à Lorient. « Thimer, près Chateauneuf en Thimerais, le 20 juin » [1789] ; 3 pages in-4°, adresse sur la 4e page.Très belle lettre écrite le jour du serment du Jeu de paume, prélude de la Révolution française.« Ne croyes pas qu’il y ait eu de ma part aucune negligence à repondre à votre obligeante lettre et à vous remercier de votre envoi non moins obligeant de bon caffé dociden[d’Occident] et de Betelfagui [Turquie]. Le lieu d’où vous voyes ma lettre datée me servira d’excuse. […] Je n’y recois les lettres que deux fois par semaine quoique je ne sois qu’à 22 lieues de Paris ce qui entre dans les admirables arrangemens de mrs [messieurs] des postes et ce qui est très facheux pour ce pays cy et puis votre lettre est restée à Paris parce qu’on m’y attendait de jour à autre et enfin je vous repons d’icy parce que mon incertitude sur mon retour est encore la même. J’ai envoyé votre lettre à Madame Helvetius à Auteuil afin qu’on y recut le caffé et qu’on payat le voiturier en mon absence mais je n’ai pas encore reçu nouvelle de son arrivée. Il faudra s’il vous plait que vous attendiez mon retour à Paris pour etre payé voilà à quoi on s’expose avec trop de confiance pour des hommes qui vont courant comme moi et que leurs creanciers ne savent où prendre, mais vous ne perdres rien. Pour parler plus serieusement faites moi la grâce de m’indiquer quelqu’un de vos correspondans à Paris à qui je puisse remettre ce que je vous dois à mon arrivée qui sera à ce que j’espere d’icy à 7 ou huit jours. Je verrai avec grand plaisir votre député lorsqu’il sera question de notre chere compagnie qui ne tiendra pas je crois beaucoup contre le retour de vos reclamations. Je suis icy asses mal au courant de vos nouvelles. Je sais seulement que les espoirs sont encore loin d’etre raprochés. Je me felicite tous les jours de n’etre pas dans cette galere, je plante mes choux, je mange mes pois et mon lait. J’arrange la retraite de mes vieux ans qui est fort jolie. Songes bien que si vous venes à Paris et que vous ne preniez pas la route d’Angers qui passe à ma porte et qui est fort belle je ne vous le pardonne ni à la vie ni à la mort. Quand vous etes à la poste de Chateauneuf vous etes precisement à 500 toises de Thimer où vous trouveres un bon lit et bon visage d’hôte et si mes femmes y sont je vous y promets les plus jolis reversis du monde. Vous voyes bien que je ne puis vous donner de nouvelles des affaires de Paris avec lequel j’ai des communications si difficiles. Les papiers publics vous en instruisent mieux que je ne pourrais faire. Mais je peux vous dire du pays que j’habite une mauvaise et une bonne nouvelle. La mauvaise est que la misere est horrible et le bled à 55# le septier de Paris de 240 #, la bonne est que la récolte dans cette partie de la Bausse (car je suis encore en Beausse) n’est pas mauvaise et qu’on peut esperer quelque soulagement. Je vous prie de ne point m’oublier et même de me mettre au nombre des personnes sur le tendre attachement desquelles vous aves droit de compter. Je suis avec une respectueuse consideration, Monsieur, Votre très humble et très obéissant serviteur. L’abbé Morellet. »