Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Manuscrit autographe signé
GOURMONT Rémy deManuscrit autographe signé. 13 pages in-8° (140 x 225 mm), le titre est effrangé dans la partie haute, les autres feuillets en parfait état. Chronique autographe signée de son pseudonyme Drexelius. Critique érudite et agile sur les ouvrages suivants : « La Tradition en Poitou et Charente […]. Table alphabétique des dix premières années de la Revue des Traditions populaires […]. Mélusine […]. Pol de Mont : Van Jezus. Jean Capart : Le Double […]. Saint-Vincent Ferrier : Le Moine et l’Oiseau […]. La Fille sans mains ». Manuscrit de premier jet présentant d’intéressantes corrections.
Lettre autographe signée
GOURGAUD Gaspard, baronLettre autographe signée, adressée au général Bertrand. « Neuilly ce 3 juin 1840 mercredi » ; 1 page in-8°. « Je n'ai pas vu le président du Conseil, mais d'après ce que pense le roi, la remise pourra avoir lieu vendredy ou samedy. Je m'empresse de vous en informer aussitôt que cela sera décidé et d'aller vous voir. Tout à vous de coeur Votre bien dévoué Le Lt gal Gourgaud.»
Lettre autographe signée
GOURGAUD Gaspard, baronLettre autographe signée, adressée au général Bertrand. « ce 4 juin 1840 » ; 1 page in-8°. « C'était bien dans l'intention du Roi de faire ce que vous désiriez, ainsi il n'y a aucune difficulté à ce que je vous fasse au nom du Roi la déclaration que vous demandez ; et à midi ou midi 1/2 je serai chez vous pour vous la faire. Le Roi ou vous, voila qui est bien entendu. A une heure, la réception des armes aura lieu au Palais des Tuileries, ainsi que cela est convenu. Tout à vous et aux vôtres. Le Lt Gal Gourgaud. »
Lettre autographe signée
GOURGAUD Gaspard, baronLettre autographe signée, adressée au général Bertrand. Palais des Tuileries, le 12 mai 1840 ; 3 pages in-8° avec adresse. « Mon bon ami, On présente aujourd'huy à 3h. un projet de loi aux chambres pour le retour des cendres de l'Empereur. Je viens de dire au roi que je ne vous avais pas trouvé, mais que je vous avais écrit pour vous indiquer Vendredi comme le jour ou vous remettiez les armes de l'Empereur. Tous les ministres ont décidé que cette cérémonie aurait lieu avec l'appareil convenable. Je pars à l'instant avec le roi pour Fontainebleau où je vous prie de m'écrire sur le champ un mot de réponse. Je resterai demain à Fontainebleau et serai de retour aux Tuileries à 6h. jeudi après demain et je m'empresserai de vous voir. J'aurai aussi l'honneur de vous conduire chez le ministre de la Marine pour vous concerter avec lui. Vive l'Empereur ! Le Lt gal Gourgaud. Un mot de réponse à Fontainebleau. »
Tapuscrit signé.
GOURAUD Henri Joseph EugèneTapuscrit signé. Royat, 27 août 1942 ; 5 pages in-folio, avec lettre d’envoi à un ami.« En décembre 1916, — je commandais depuis un an la 4e Armée à Châlons-sur-Marne — je fus appelé par téléphone au ministère des Affaires étrangères où j’arrivais le lendemain. Le secrétaire général Philippe Berthelot me dit : — M. Briand veut avoir le général Lyautey comme ministre de la Guerre, et pour cela il veut vous envoyer au Maroc. Vous êtes content. Je sais que vous aimez beaucoup le Maroc. Vous allez être heureux...— Pardon... le Maroc avant la guerre, le Maroc après la guerre, d’accord ; mais maintenant, nous sommes envahis ; je commande une armée pour la défense de la Patrie... quitter mes officiers, mes soldats... Non ! »Suit le récit de l’entrevue avec le président du Conseil, Briand, qui lui fait lire la réponse de Lyautey subordonnée à que ce soit Gouraud qui reprenne son poste au Maroc. Suit le récit de son voyage au Maroc à bord du sous-marin Le Topaze qui vient d’amener Lyautey à Algésiras. Retour à Gibraltar, à cause du temps, et nouveau départ cette fois à bord d’un croiseur qui le mène à Rabat dans l’ancienne résidence. « Le Maroc était en paix. Le maréchal avait appliqué avec succès “la politique du sourire”; les foires, les expositions avaient occupé les esprits, fait gagner de l’argent. […] À la première fête musulmane, les habitants d’un quartier vinrent se plaindre que les imams de leur mosquée avaient refusé d’illuminer et demandaient à nos officiers d’intervenir. Mellier et Sicard répondirent : “Impossible, la religion musulmane exerce librement, comme la catholique ; nous ne pouvons intervenir”... Les gens s’en retournaient, lorsque l’un d’eux leur confia : “Nos imams qui ne veulent pas illuminer ont de la chance que l’affaire n’arrive pas aux oreilles du Maréchal. “ Comment ? “ C’est que le Maréchal a comme beaucoup de Français la passion de la justice et s’il apprenait que les imams, qui ont pour fonction d’illuminer les jours de fête et ne le font pas...” La mosquée fut illuminée. […] Fez avait et aura toujours son charme unique, ses rues étroites où l’on ne peut circuler qu’à pied ou à mule. Avec quelle émotion j’ai revu Karrouiine, les médersas mystérieuses, Attariine, la Médiouna, Mesboya, Sahariije, Dar Adiil, la mosquée des Andalous. »
Lettre signée
GOURAUD Henri Joseph EugèneLettre signée. 4 janvier 1921 ; 2 pages in-8°. En-tête imprimé « Haut-Commissariat de la République Française en Syrie et en Cilicie ». « Je suis heureux d’avoir reçu de vos bonnes nouvelles et vous remercie de vos voeux. Je vous envoie les miens, très sincères ». Il le félicite pour son poste.
Lettre autographe signée
GOURAUD Henri Joseph EugèneLettre autographe signée. Souk el Arba de Tissa, 2 juillet 1912 ; 2 pages in-8°, en-tête biffé « Résidence générale de France au Maroc ». « Je suis bien touché de vos félicitations […]. Je suis de nouveau en colonne sur la rive droite du Sebou. Nous avons eu des chaleurs torrides, quelques combats chauds ; cela confirme mon impression, la plus vive de celles que je rapporterai de cette campagne, sur la valeur de nos troupiers. On peut tout leur demander. Et je vous parle non seulement des vieux légionnaires et marsouins, mais aussi des artilleurs, chasseurs, et trainglots du contingent. Quels braves gens ! »
Lettre signée
GOURAUD Henri Joseph EugèneLettre signée. 4 janvier 1921 ; 2 pages in-8°. En-tête imprimé « Haut-Commissariat de la République Française en Syrie et en Cilicie ». « Je suis heureux d’avoir reçu de vos bonnes nouvelles et vous remercie de vos voeux. Je vous envoie les miens, très sincères ». Il félicite son correspondant pour son poste.
7 billets autographes signés
GOUNOD Charles7 billets autographes signés adressée à des amis. 6 janvier 1867 et sans date ; 1 page in-16° chacun, à l’encre ou au crayon de papier ou crayon bleu. À propos de places de théâtre ou d’invitations qu’il accepte ou qu’il est contraint de décliner. Le 6 janvier 1867, étant parvenu à mettre la main sur deux places pour un concert, il les a offertes à sa femme « et nous allons ensemble tantôt au Conservatoire ». N’étant pas libre pour un dîner, il envoie à son ami ses pleurs « pour en arroser la place que vous me destiniez, et où j’aurais mieux aimé arroser de quelques gouttes de q.q. chose la délicieuse terrine en délicieuse compagnie »…
Manuscrit musical autographe signé
GOUNOD CharlesManuscrit musical autographe signé. En tête de la page de titre, Gounod a inscrit un envoi : « à mon amie Bénédicte ».« L’anniversaire des Martyrs. Paroles de l’abbé Dallet, missionnaire apostolique. Musique de Charles Gounod » Avec sa signature en bas de la première page. [1870] ; cahier de 8 pages petit in-4 (27 x 17,5 cm) précédées de faux-titre et titre, plus 3 pages autographes.Cantique, sur des paroles de l’abbé Dallet, missionnaire apostolique, composé en 1869 : « Ô Dieu ! de tes soldats la couronne et la gloire ! »…L’œuvre est écrite pour chant avec accompagnement de piano à quatre mains, en ré majeur, à 6/4, Moderato e molto maestoso. Après une introduction instrumentale de 5 mesures, vient un couplet de 25 mesures, suivi d’un refrain de 20 mesures. Sur un feuillet à part, Gounod a écrit la partie de chant avec les trois couplets (musique et paroles).
Lettre autographe signée
GOUNOD CharlesLettre autographe signée, adressée au compositeur Emmanuel Jadin. Montretout, mardi 18 juin 1867 ; 1 page in-4°, enveloppe timbrée jointe.« Mon cher petit, ne te fais pas d’illusions sur Faust pour vendredi : malgré les promesses actuelles de l’affiche, il ne sera joué que lundi. Je regretterai ton absence, surtout si le directeur me donne ce avec quoi j’aurais pu satisfaire ton désir. »
Manuscrit musical autographe signé
GOUNOD CharlesManuscrit musical autographe signé. En tête de la page de titre, Gounod a inscrit un envoi : « à mon amie Bénédicte ».« L’anniversaire des Martyrs. Paroles de l’abbé Dallet, missionnaire apostolique. Musique de Charles Gounod » Avec sa signature en bas de la première page. [1870] ; cahier de 8 pages petit in-4 (27 x 17,5 cm) précédées de faux-titre et titre, plus 3 pages autographes.Cantique, sur des paroles de l’abbé Dallet, missionnaire apostolique, composé en 1869 : « Ô Dieu ! de tes soldats la couronne et la gloire ! »…L’œuvre est écrite pour chant avec accompagnement de piano à quatre mains, en ré majeur, à 6/4, Moderato e molto maestoso. Après une introduction instrumentale de 5 mesures, vient un couplet de 25 mesures, suivi d’un refrain de 20 mesures. Sur un feuillet à part, Gounod a écrit la partie de chant avec les trois couplets (musique et paroles).
Lettre autographe signée
GOUNOD CharlesLettre autographe signée, adressée à « mon cher Directeur » [Nestor Roqueplan, directeur de l’Opéra]. Samedi 9 septembre 1853 ; 2 pages in-8°.Il réside actuellement « dans un petit coin sauvage […] près de Fécamp. Les bains de mer qui sont ordonnés à ma femme ainsi qu’à moi ne nous retiendront plus maintenant qu’une huitaine de jours ». Il se propose de voir Mme Bosio le lendemain de son retour à Paris. « Je travaille sans cesse ; et je puis dire que pour vous comme pour moi-même, j’accomplis, dans ma conscience au moins sinon dans mon œuvre, une véritable mission : je ne me suis jamais senti ni plus de crainte de ne pas faire assez bien, ni plus de courage pour faire tout ce qui est en mon pouvoir. »Charles Gounod travaillait alors à La Nonne sanglante, opéra que Théophile Gautier jugea « une des oeuvres les plus belles, les plus grandioses de ce temps-ci ».
Lettre autographe signée
GOUNOD CharlesLettre autographe signée. St Cloud, 22 novembre 1866 ; 1 page 1/2 in-8°.« Je prendrai le train de 4h 1/2 lundi. Javais du monde hier chez moi, je nai pu aller à lAthénée et je lai beaucoup regretté. Un mot très urgent : Je vous demande votre appui pour Reyer [ ]. Reyer voudrait obtenir le feuilleton musical laissé vacant après la mort dOrtigue. Faites tout ce que vous pourrez ».
Lettre autographe signée
GOUNOD CharlesLettre autographe adressée à une femme. Jeudi 21 mars 1867 ; 1 page in-8°. « Je n'étais pas hier en état d'aller vous voir. J'ai, de nouveau, de tels ennuis au théâtre que je vous aurais porté la figure la plus maussade. Anna m'a fait la surprise de m'emmener au Gymnase voir la pièce de Dumas : le spectacle est la seule distraction possible pour moi en pareil cas : J'écoute, je me tais, et j'oublie. »