Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Lettre autgraphe signée
COLLIEX MauriceLettre autographe signée. Paris, 16 décembre 1920 ; 2 pages sur papier signé de son en-tête «Aluminium et ses alliages Maurice Colliex ». « En réponse à vos trois demandes. 1– Il ny a d’autre limite à la vitesse des aéroplanes actuels que celle qui dépend : a) de la puissance motrice. b) de l’exellence et de la dimension du terrain. c) de l’habileté du pilote. [...] 2– Que faire pour augmenter la vitesse. Il ne faut rien faire pour augmenter la vitesse maximum avant d’avoir réussi à réduire la vitesse minimum d’atterissage. S’interdir les arrêts en terrain moyen. Il faut stopper ici et ne pas courrir à la catastrophe généralisée. Alors c’est la fin du progrès de ce coté? Mais non cherchons autre chose. Du jour ou la sustention ne sera plus absoleument dépendante de la vitesse, l’écart entre la maxima et la minima pourra atteindre la valeur et la vitesse maxima ou à peu près. Ce jour la on pourra chercher d’atteindre telle vitesse qu’on voudra en affinant la forme, en augmentant la puissance et le rendement du système de propulsion, puisqu’on pourra toujours partir et atterir à une vitesse raisonnable. [...] 3– Est ce la voiture gagnant le kilomètre lancé qui à gagné les vraies épreuves sur la route amené l’auto au point de perfectionnement actuel? Non. Les enseignements de ce genre de course ou le record furent minimes en regard des autres. Il en est de même pour l’avion. »
Second volume de cette revue, truffé de manuscrits
VARIÉTÉ. Revue française des lettres et des arts.Revue française des lettres et des arts. Édition originale. Paris, 1946 ; 33 x 25 cm ; 64 pages, couverture illustrée rempliée (dos fatigué).Second volume de cette revue éphémère dont trois numéros ont été édités. Ce deuxième numéro de la revue Variété a été imprimé sur les presses de Henry Maillet maitre-imprimeur a paris. Série luxe sur vélin pur fil Lafuma des papeteries Navarre. Exemplaire N° 1031.Au sommaire de ce deuxième numéro figurent des textes de : Marcel Arland (Échanges), Francis Jammes (La mort de l’Amour), Henri Thomas (Ruisseaux), Audiberti (Le Mur du Fond), Claude Vigée (Poème), Henri-François Rey (Monsieur Printemps), Jean Paulhan (Fautrier l’enragé), Jacques Dopagne (Cliniques), Antonio Machado (Chanson), Paul Arnold (Visage de Phèdre), J.P. Lorgen (Lignes et Harmonie). Avec des Études et critique de Jean Lambert (Critique et Histoire), Thierry Maulnier (Histoires de Famille), Maurice Toesca (Sous le signe de la belle écriture), R.M. Alberes (Les hommes et leurs pensée), F. Delanglade (Les Sculptures et les Peintres), H. Jeanson (Jouvet, comédien de l'écran), P. Darmangeat (Musique et impressionnisme).Hors-texte et dessins de Audiberti, Dubuffet, R. Dufy, Miro, Fautrier, Modigliani, Prassinos, Rossi, Tal-Coat, L. Zack.Notre exemplaire est truffé de manuscrits d’un des illustrateur de la Revue, A. Rossi :— Manuscrit autographe signé de A. Rossi (2 pages in-folio) apparemment relatif à la revue.— Lettre autographe signée illustrée de 3 dessins de A. Rossi.On joint une lettre autographe signée de Mme Hubert sur papier de la revue Variété. 29 juin 1946; 3 pages in-4°.
Photographie signée
COLLART JaninePhotographie signée. 14 x 9 cm. Photographie de Jacques Aubin.
Ensemble de 2 lettres autographes signées
COLLAER PaulEnsemble de 2 lettres autographes signées. Malines, 1926 ; 1 page in-4°, chaque.— Malines, 21 octobre 1926 sur papier à en-tête « Concerts “Pro Arte” ».« Je compte jouer votre suite pour piano d’après les choeurs dont m’a parlé Milhaud, le 13 décembre. Vous me feriez un très grand plaisir en pressant votre éditeur pour qu’il m’envoie une épreuve à bref délai, car je prends toujours beaucoup de temps pour l’étude d’une oeuvre, de façon à pouvoir la présenter dignement ».— Malines, 14 décembre 1926 sur papier à en-tête « Association internationale de Musique Contemporaine ».« Vos choeurs ont bien porté. Le public a été, je crois, unanime pour en reconnaître les grandes qualités, et leur a fait un accueil très chaleureux. Je ne puis vous en dire davantage en ce moment, car je suis très fatigué. Figurez-vous que samedi je me suis payé le luxe d’une bonne petite grippe. J’ai réussi à me tenir droit à coup d’aspirines. Maintenant que l’effort a été fourni, j’ai besoin de repos. Je vous renvoie le matériel d’exécution aujourd’hui même. Vous trouverez dans la partition un programme du concert. ».
Aquarelle
COLIN Paul-ÉmileAquarelle représentant un pont.Cachet de l’atelier au dos.17,2 x 25,2 cm.Provenance : vente de l’atelier.
Huile
COLIN Paul-ÉmileHuile sur papier représentant des baigneuses.Cachet de l’atelier au dos (frappe partielle)14 X 18,6 cm
Aquarelle
COLIN Paul-ÉmileLa Basilique.Aquarelle sur papier.Cachet de l’atelier en bas à droite.10,5 X 16,5 cm à vue.Pièce encadrée.
Aquarelle
COLIN Paul-Émile« La Basilique ». Aquarelle sur papier signée « P.E. Colin ». 16,5 x 10,5 cm. Pièce encadrée.
Aquarelle
COLIN Paul-ÉmileLavis représentant un couple. Cachet de l’atelier en bas à droite ; 20,4 x 13,7 cm.
Aquarelle
COLIN Paul-Émile« La Basilique ». Aquarelle sur papier portant le cachet de l’atelier. 105 x 165 mm à vue. Pièce encadrée.
Aquarelle
COLIN Paul-ÉmileAquarelle représentant un paysage arboré.Signée en bas à droite au crayon.Au dos figurent des notes autographes pour des coloris avec trois dessins dont une tête de chameau.12,7 x 21 cmProvenance : vente de l’atelier.
Aquarelle
COLIN Paul-ÉmileLa basilique. Aquarelle sur papier portant le cachet de l’atelier. 115 x 190 mm à vue. Pièce encadrée.
Aquarelle
COLIN Paul-ÉmileAquarelle signée en bas à gauche au crayon, représentant une vue de Grasse. 21 x 13 cm. Provenance : vente de l'atelier.
Aquarelle signée
COLIN Paul-ÉmileAquarelle représentant deux femmes à la fontaine. Signée en bas à droite au crayon. 25 X 20,4 cm.
Lettre autographe signée
COLETTE (Sidonie Gabrielle Colette, dite)Lettre autographe signée, adressée à Mlle Claude Chauvière, sa secrétaire et amie. Paris, 9 octobre 1931 ; 3 pages in-8° sur le papier de l’hôtel Claridge à Paris, enveloppe timbrée jointe.« Mon petit Claude, as-tu lu le feuilleton que te consacre - que nous consacre - Robert Brasillach dans l’Action Française ? Il nous fait honneur à toutes deux, et j’en suis très contente. On sait que Brasillach remplace Bidou, désormais aux Débats. […] Alors, c’est la gaffe, ma demande de bouquin ? Je suis désolée, j’abîme tout ! Mon petit Claude, merci de me préparer de si beaux exemplaires. Bruel va encore faire des folies ! Ce matin je reçois un beau grand papier de chez Didot, qui faut-il remercier ? Je travaille aussi, mais quelle lenteur... Il faut que je me hâte, j’ai coupé les ponts derrière moi, je passe tout de suite après Kessel »...