L’Institut d’Egypte au Caire est parti en fumée avec ses archives !

Nous apprenons la triste nouvelle de la catastrophe pour ce fameux Institut fondé par Napoléon Bonaparte au Caire pendant la Campagne d’Égypte: Le 18 décembre dernier, lors des manifestations, tout près de la place Tahrir, l’Institut d’Egypte a été ravagé par les flammes. Le bâtiment contenait des manuscrits très importants et des livres rares dont il est difficile de trouver l’équivalent dans le monde.L’Institut d’Egypte fait partie des plus anciennes institutions culturelles en Egypte. La bibliothèque contenait près de 200 000 livres, en plus de 50 000 manuscrits historiques et rares.

Les nombreuses archives qui y étaient conservées ont été ainsi détruites. Quelques personnes ont emportées des rares papiers qui avaient échappé à l’incendie. Quelles en sont l’importance ?

On lira avec intérêt les articles de l’Express : http://www.lexpress.fr/culture/livre/l-institut-d-egypte-et-ses-inestimables-archives-detruits-par-les-flammes_1063081.html

et Libération : http://www.liberation.fr/c/01012378369-c

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SAINTE-HÉLÈNE avant le retour des cendres de Napoléon.

[NAPOLÉON Ier] — SAINTE-HÉLÈNE.

Intéressant ensemble de 4 dessins (300 x 230 mm). Ces dessins ont été extraits vers 1838, d’un carnet de dessins d’un voyage des Indes en Europe, réalisé en septembre 1832, soit onze ans après le décès de Napoléon et avant le retour des cendres. Émouvant témoignage de l’île alors que le corps de Napoléon y résidait encore. Ces dessins exécutés par R.H. Cathbert, entre le 5 et le 6 septembre 1832, regroupent des vues de Sainte-Hélène :

—  3 dessins sur la vue de James Town, et deux vues de l’île depuis la mer, avec des vaisseaux.

—  Beau dessin avec deux vaisseaux et la vue de James Town en arrivant de la mer.

—  Aspect de l’île de Sainte-Hélène avec un beau vaisseau toutes voiles dehors (vue du sud-est).

—  Beau dessin représentant James Town le 6 septembre 1832.

Ces rares témoignages de l’époque, vous pouvez les acquérir en téléphonant à Arts et Autographes (01 43 25 60 48) ou en passant à la galerie pour l’acquérir. Ces précieux dessins viennent de rejoindre la collection d’un éminent collectionneur napoléonien. Vous voulez être au courant de nos dernières acquisitions? Envoyez nous par email vos coordonnées postales pour être inscrit à l’envoi de nos catalogues.

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Sarah Bernhardt s’invite chez Maxim’s

Bijour porté par Sarah Bernhardt dans Cleopatre

Sarah Bernhardt s’invite chez Maxim’s !

Dans l’atmosphère d’un appartement meublé d’Art Nouveau, chez Pierre Cardin, Sarah Bernhardt expose quelques uns de ses objets précieux dans un décor somptueux et baroque.

D’exceptionnels portraits peints, bijoux, photographies, écrits, objets et souvenirs de la grande actrice provenant de diverses collections privées et de musées vous plongent dans l’atmosphère délicieuse d’un appartement digne de sa légende.

À cette occasion, notre galerie Arts et Autographes a prêté quelques uns de ses trésors…

Mèche de cheveux coupés par Sarah Bernhardt le soir d’une répétition au Théâtre de la porte Saint-Martin en 1885, placée dans un cadre de manière à reprendre la forme du S de Sarah. Une étiquette manuscrite figurant dans le cadre au verso mentionne : « Cheveux de Sarah coupés par elle le soir de la répétition génle de Marion de Lorme à la Porte St Martin  26 décembre 1885 »

Ensemble de couverts provenant de la ménagère de Sarah Bernhardt : 3 couteaux, 1 fourchette et 1 cuillère en métal argenté monogrammé « SB » pour Sarah Bernhardt et portant la devise de la comédienne « Quand même ».

Important pectoral en métal doré composé d’une rosace ajourée, ponctuée de pierres de couleur. Diamètre : 118 mm, en l’état. Bijou de théâtre porté par Sarah Bernhardt dans Cléopâtre vers 1890.

Ornement de tête en tissu centré d’une tête de chouette rehaussée de strass. Elle est épaulée de rosaces ponctuées de pierres de couleur et de perles en verre. 65 x 570 mm. En l’état (petits accidents mineurs). Bijou de théâtre porté par Sarah Bernhardt dans Cléopâtre vers 1890.

Tout Paris se pressait à l’inauguration privée qui s’est déroulée ce mardi 15 novembre 2011.

Le Musée Maxim’s est situé au dessus du légendaire restaurant et se visite sur rendez-vous au 01 42 65 30 47.

Cette exposition étonnante, hors du temps, vous sera présentée jusqu’au 15 mars 2012, par Pierre-André Hélène qui se fera une joie de la commenter avec passion.

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BOYLESVE : NYMPHES DANSANT AVEC DES SATYRES avec des dessins de Polat

Faisant l’objet de la couverture de notre dernier catalogue : le beau livre de René Boylesve est enrichi de 3 grands superbes dessins en sanguine représentant des scènes bibliques. La beauté des dessins est saisissante, le prix modique, nul doute qu’il trouvera preneur pour le bonheur d’un bibliophile ou d’un amateur d’art.

BOYLESVE René (René Tardiveau, dit) [La Haye-Descartes, 1867 – Paris, 1926], écrivain français. (lot 27556)

« NYMPHES DANSANT AVEC DES SATYRES ». Ouvrage illustré de 20 eaux fortes originales de T. Polat. Les Éditions d’art Devambez, Paris, 1930. Un des 151 exemplaires, imprimé spécialement pour la Société nouvelle des Éditions d’art Devambez. Reliure en plein maroquin rouge sombre de Gruel. Reliés au début, trois grands dessins originaux de Polat à la sanguine, signés. Il est joint une carte postale autographe signée de René Boylesve (1910). Dos légèrement passé, sinon très bel exemplaire.

Vous pouvez l’acheter en téléphonant à Arts et Autographes (01 43 25 60 48) ou en passant à la galerie pour l’acquérir. Lien sur la fiche de l’ouvrage : ICI.

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Bulle papale : Benoit XV

Les clients recevant notre catalogue papier ont eu le privilège de découvrir en avant-première cette exceptionnelle bulle du pape enrichie d’une lettrine en couleur dans le style médiéval :

BULLE DU PAPE — BENOIT XV Jacques Della Chiesa [Gênes, 1854 – Rome, 1921], pape durant la Première Guerre mondiale.

Bulle papale sur vélin. 525 X 340 mm, sceau papal pendant en plomb rattaché au velin par un cordonnet tressé. Cette bulle, donnée par Benoît XV durant la seconde année de son pontificat, est admirablement illuminée à la main dans le style médiéval traditionnel, en rouge, bleu, vert, jaune et or. Bulle papale donnée à Philip R. McDevitt [Philadelphie, 1858 – Harrisburg, 1935], prélat américain, quatrième évêque d’Harrisburg (capitale de l’État de Pennsylvanie), comme confirmation de sa consécration épiscopale le 21 septembre 1916. Nombreuses signatures dont l’archevêque Edmond Francis Prendergast, l’évêque John Joseph McCort, John Edmund Fitzmaurice, etc. Ce document est d’une qualité « musée ». c’est la preuve que l’on peut encore de nos jours se constituer une collection d’autographes renommée. En devenant client de notre galerie, vous aurez les conseils judicieux de Jean-Emmanuel Raux, l’expert de la galerie. Une collection ne se constitue pas en restant tout seul entre les 4 murs de sa maison, il faut rencontrer un professionnel passionné ! Ce précieux document a trouvé preneur et est le fleuron d’une grande collection.

Cette bulle est vendue.

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Liszt répond favorablement à une invitation au 33ème festival de la musique rhénane

LISZT Franz [Raiding, 1811 – Bayreuth, 1886], compositeur et pianiste hongrois.

Lettre autographe signée. Weimar, 14 mai 1855 ; 1 page in-4°, en allemand.

« Sehr geehrte Herrn, Mit dem aufrichtigsten Dank für Ihre freundliche Einladung zu den 33ten Rheinischen Musik Fest welches, unter der Leitung des Herrn Kapellmeister Hiller ein so würdiger Kunst Interesse darbietet, hege ich die angenehme Erwartung demselben beizuwohnen, und Ihnen baldigst persönlich die Versicherung der ausgezeichnetsten Hochachtung zu erneuern, die Sie zu genehmigen bittet, Sehr geehrte Herrn, Ihr ergebenster F. Liszt. Weymar 14ten Mai 55. »

Traduction : « Messieurs Avec mes remerciements sincères pour votre aimable invitation au 33ème festival de la musique rhénane qui, sous la direction du chef d’orchestre Monsieur Hiller offre un intérêt digne de cette musique, j’attends avec joie d’y assister et de pouvoir à nouveau vous exprimer personnellement mon estime la plus sincère Votre dévoué F. Liszt Weimar, le 14 mai 55. » Le compositeur et grand chef d’orchestre Ferdinand Hiller (1811-1885) dirigeait à l’époque l’orchestre du Gürzenich et du conservatoire de Cologne.

Vous pouvez acheter cette lettre chez Arts et Autographes. Lien direct : ICI

 

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